Cyrillo

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Amitié virile.

Didier et moi étions partis en vacances tous les deux pour faire de la randonnée dans les gorges du Verdon. Il connaissait mon penchant pour les mecs, mais cela ne le gênait pas. Pour lui, nous étions amis et c'est tout. Son hétérosexualité me désespérait, mais j'avais appris à vivre avec. Il est vrai qu'il m'était arrivé à plusieurs reprises de le caresser pendant son sommeil lorsque nous passions des soirées arrosées et qu'il s'endormait sur mon canapé.
Une fois, je l'ai même sucé. Mais c'est frustrant. J'avais envie de le sucer avec son consentement, qu'il prenne ma tête entre ses mains et me caresse les cheveux pendant que je lui gobe les couilles. J'avais surtout envie de goûter sa semence qu'il lâcherait dans un râle de plaisir.

Enfin bref, quoiqu'il en soit, je devais faire contre mauvaise fortune bon cour, et ne rien attendre de plus que son amitié. Pour nos randonnées, nous avions loué un petit studio où nous nous rendions tous les deux jours, les autres nuits étant passées sous une tante. Les premières nuits, nous tombions épuisés par notre journée et dormions à peine la tête posée sur l'oreiller. Nous avions des lits superposés et je dormais en bas.

La cinquième nuit, nous commencions à nous habituer à notre nouveau rythme, et nous écroulions moins vite dans notre pieu. Nous discutions un peu de tout et de rien jusqu'à ce qu'on s'endorme. Cette nuit là, j'avais du mal à m'endormir et je restais silencieux sur mon matelas, me caressant doucement les couilles en pensant à l'homme qui dormait au dessus de moi. Tout à coup, le lit fut pris de petits tremblements secs.
Je compris immédiatement que Didier devait penser que je dormais, et qu'il était parti dans une masturbation d'enfer ! Celle-ci dura longtemps, et m'excita au point que les draps formaient un chapiteau. J'écoutais les râles du mâle que j'aimais et m'imaginais que c'était ma main qui le branlait. Sa branlette touchait à sa fin. Je le sentis clairement se crisper pendant qu'il déversait sa précieuse semence dans un mouchoir en papier.
Je n'osais toujours pas bouger le moindre centimètre carré de ma peau, malgré la douleur musculaire que j'éprouvais dans le bras gauche dont la position n'était pas des plus confortable. Une question me traversa l'esprit : qu'allait il faire de son mouchoir ? J'attendais un peu et je vis que le côté du matelas de Didier qui étais contre le mur s'écarta un instant : il avait coincé son mouchoir entre le mur et le matelas, juste au dessus de moi ! J'attendis un long, très long quart d'heure qu'il s'endorme afin de tenter de récupérer ce mouchoir.

Une minute plus tard, j'avais entre les doigts un morceau de papier fortement humide, fortement chargé d'une grande quantité de sperme. Je portais ce précieux trésor à mon nez afin d'humer le parfum de la liqueur de mon homme. Je ne pus résister à la tentation et je goûtais sa semence du bout de ma langue : elle était merveilleusement salée. Mon érection repris de plus belle, et je me branlais à mon tour. Je crachais dans un mouchoir propre que je mis à la place de celui de Didier. Imaginer que Didier allait prendre ce mouchoir avec mon sperme dans sa main me faisait trembler de plaisir, même si lui pensait qu'il s'agissait de son mouchoir.

Le surlendemain, au moment du coucher, je lâchais sur le ton de la plaisanterie que j'allais probablement avoir recours à la masturbation très bientôt. Cela nous a fait rire, mais Didier ne tarda pas à m'avouer que depuis qu'il était célibataire (il avait quitté sa dernière conquête depuis 6 mois maintenant), il relâchait régulièrement la pression de ses couilles par la branlette. Je lui expliquais que pour moi, c'était naturel, et que je me branlais au moins une fois par jour. A tout hasard, je lui dis que si un soir il avait envie de plus qu'une branlette, si une fellation lui manquait vraiment, il n'avait qu'à descendre de son lit, sans rien dire, et venir me rejoindre. Il pris cela comme une plaisanterie, et repoussa cette éventualité " je ne suis pas pédé moi, désolé " me dit-il.

Une demi-heure plus tard, après que l'idée ait fait son chemin, Didier descendit de son lit totalement à poil, sa queue raide lui touchant presque le nombril ! Je m'attendais à ce qu'il ne dise rien et vienne près de moi pour que je le suce mais il me regarda et me dit :
- j'ai bien réfléchi à ce que tu m'as dit. Et je veux que tu saches que je ne suis pas homo. Mais après tout, si tu as envie de moi, et que moi j'ai envie de sexe, j'accepte ta proposition jusqu'à ce que je me retrouve une gonzesse. Que tout soit bien clair.

J'acquiesçais dans un hochement de tête et ouvrit mon lit à l'homme que je convoitais depuis si longtemps. Il est superbe. Son torse est légèrement velu de poils blonds comme les blés. Ses tétons sont petits et fermes mais très érectile. Son sexe s'érige fièrement au dessus de la plus belle paire de couilles qu'il m'ait été donné de voir, de toucher, de gober, de lécher. Non pas par la taille, mais par leur forme, leur douceur. Maintenant je le sais, je suis fou amoureux de lui. Je prends son sexe dans ma bouche et en savoure le moindre endroit. Elle est si bonne. Je joue avec son prépuce, son méat et le branle lentement. Je ne veux pas qu'il jouisse trop vite, je veux profiter longtemps de lui. Quand ma bouche quitte son sexe, c'est pour parcourir le reste de son corps. Son ventre, son nombril, ses seins. Même ses aisselles m'excitent. Je lui lève les bras et commence à lui lécher les poils. J'entends des râles de plaisir m'indiquant que c'est probablement la première fois que quelqu'un lui fait ce traitement. Il aime, il adore. Je lui ai fait l'amour comme ça pendant plus d'une heure. Il a lâché son doux sperme dans ma bouche et je le nettoyais complètement avant de quitter son sexe à grands regrets. Il resta quelques longs instants sans bouger puis me dit :
- Jamais je n'avais joui de la sorte. Cela risque d'être difficile de ne pas être accros.

Et il parti dans son lit en me souhaitant bonne nuit. J'étais aux anges. C'était notre première nuit, et déjà il semblait conquis. Les autres nuits n'ont pas tardé à s'enchaîner en évoluant. La suivante, il resta près de moi après qu'on ait joui pour discuter avant de remonter. Celle d'après, il s'endormit près de moi et y passa la nuit. Celle d'après, il m'embrassa. J'ai bien cru fondre sous ses baiser. Maintenant, il passe des nuits entières avec moi, et je l'initie doucement à la sodomie. Il aime me prendre. Peut être que la nuit prochaine il me dira qu'il m'aime ?

Borsalino

Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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