Cyrillo

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Passes à Amsterdam

Aziz, français de souche kabyle, 24 ans, 1,79 m 72 kilos, bisexuel, actif et parfois passif vit de sa beauté, de son charme et de sa grosse queue, 22 x 7 cm : strip tease, porno, passes... Nouveau récit.
Les récits que j'ai déjà publiés sur ce site m'ont permis d'avoir plein de contacts, des bonnes baises et de l'argent. Je continue donc en vous racontant une séquence de mes derniers quinze jours à Amsterdam.

Je les ai passés, pour l'essentiel, dans un bordel de garçons, près de la gare centrale. Appelons le le "Wait and see". J'étais accompagné par un très célèbre ancien champion de tennis français reconverti, entre autre, dans le porno gay, ce qui lui permet notamment d'assouvir régulièrement son goût très marqué pour le voyeurisme, l'exhib et les partouzes, de préférence avec des jeunes blacks ou beurs très bien montés. Il a en effet besoin de très grosses queues pour jouir vraiment profondément et spectaculairement du cul. Appelons le Luc. Je le nique souvent et depuis longtemps, mais ce qu'il aime encore plus avec moi, c'est que je le laisse assister à des baises avec des mecs, des nanas, des clients...
Seul ou avec d'autres putes, souvent sous l'oeil de sa caméra, je lai donc baisé très souvent et ai partouzé avec lui et d'autres, à Amsterdam, comme je le fais à Paris. Mes 22 cm épais et circoncis le rendent vraiment fou de plaisir par tous les trous.

Luc, qui prenait très largement en charge tous mes frais et me faisait mener un train de vie de top model, m'avait fait promettre de ne pas baiser ou être baisé sans qu'il soit là. L'idée comblait l'hyper exhib que je suis. Plusieurs fois, donc, j'ai enfilé ou me suis fait enculer devant lui, à l'occasion de passes, de "private shows", bref de baises, avec des clients du bordel. C'était tantôt avec des putes, en général des étalons de couleur, comme Luc aime - et moi aussi -, tantôt avec des papys ou des mochetés, clients du bordel, qu'il suppliait de le laisser mater quand ils étaient dans la salle de ciné porno ou dans une chambre avec moi.

Dans tous les cas, j'ai adoré avoir et donner du plaisir. Soit que les mecs me plaisaient, s'exhibaient bien pour Luc, avaient des culs et des gorges profondes ou des bons zobs à m'enfiler. Soit parce que je jouissais de voir Luc et les clients me désirer, de les sentir excités par mon cops, mon culot, les invraisemblables poses pornos que je prenais pour eux et pour Luc, jouissant de les faire jouir, giclant souvent de les voir gicler sur moi ou sur eux.

Dans le bar du "Wait and see", juché sur le comptoir du bar du rez-de-chaussée ou sur la scène du bar du 1er étage, seul ou avec d'autres, j'ai aussi adoré faire le hard stripper, maté par Luc et d'autres mecs en chaleur qui n'en revenaient pas de me voir branler ma grosse queue, montrer mon anus, prendre des poses obscènes pour eux. Les billets pleuvaient dans mes chaussures, tout comme les demandes de rendez-vous, les numéros de téléphone...
Que mon plaisir soit d'exciter, d'être désiré et maté et de donner du plaisir aux autres, quel que soit leur physique - s'ils sont propres - demeure un grand mystère pour beaucoup !
La passe la plus excitante, du moins celle qui frappera le plus les lecteurs, c'est quand Luc m'a présenté à un de ses amis, un très célèbre chanteur de rock québécois qui était venu tourner une émission de télévision à Amsterdam.

Dick, appelons le comme ça, était un très beau mec d'une quarantaine d'années. Je savais qu'une rumeur l'accusait d'être pédé. Quand Luc m'emmena à son hôtel et me dit qu'il lui avait parlé de moi, je compris qu'il avait envie de me mater baiser avec son pote. Qui allait saillir l'autre ? Je ne tardai pas à le savoir.
Il était environ une heure du matin quand nous rejoignîmes directement Dick dans sa suite, accompagnés par un de ses musiciens, un beau grand sénégalais venu nous récupérer dans le hall du palace.

- Dick vous attend, nous dit Hassan - c'était son nom - en rigolant. Je sais pourquoi vous venez. Je l'ai déjà baisé ce soir mais il en veut encore. Moi j'en peux plus.
Vêtu simplement d'un caleçon et d'un débardeur, Dick nous reçut très gentiment. Il avait l'air un peu saoul ou défoncé au cannabis, sans doute les deux, mais restait gentil et cool. Je le trouvai beau, sensuel et excitant. Il nous fit asseoir dans le salon de la suite.
Hassan nous laissa en me faisant un clin d'oeil. Je lui rendis son immense sourire. J'aurais bien aimé qu'il reste et nous baise, mais Dick ne le retint pas.
- J'aime les beaux arabes virils comme toi, me dit Dick, avec son accent rigolo et après quelques banalités; surtout si ils ont une grosse queue; et il paraît que c'est le cas. Luc m'a tout dit, tu sais...

Il se leva et vint s'agenouiller entre mes cuisses ouvertes, au pied du canapé sur lequel j'étais assis. Il passa son visage sur mon paquet puis me tata les fesses et la bite, qui gonflait dans mon jean. Il se mit à la mordiller a travers le tissu et se rendit compte de sa grosseur.
- Putain tu as une super queue; tu vas me défoncer avec, dis...
- Oui ma pute répondis-je instinctivement, sentant, au risque de me tromper, qu'il avait envie que je prenne l'initiative, le domine et le baise. J'avais gagné !
- Oui je vais être ta pute Aziz, et Luc va nous regarder en se branlant. Ca va m'exciter; et toi ?
- Oui ma pute, sors ma queue, baisse ton froc, j'ai envie de ton trou du cul et que Luc mate tout ça, qu'il te voit te faire tringler comme une chienne.
- Ah maudit Aziz, fais voir ça, dit-il en ouvrant ma ceinture puis ma braguette. Mes 22 cm hyper épais et archi bandés pointèrent leur gros gland brun.
- Fous toi à poil, lui demandai je, en me levant pour me déshabiller. Je m'exhibai en me mettant nu très lascivement, heureux de sentir leurs regards sur moi et ma grosse queue, que je ne lui avais pas encore laissé le temps de sucer.

Luc vint s'asseoir sur le canapé, juste à la place que je venais de quitter, et commença à se toucher le paquet en nous matant nous dénuder.
J'attirai Dick au pied du canapé pour lui rouler une pelle profonde en le branlant a proximité immédiate du visage et du regard de Luc. Le chanteur avait une bonne queue, dans les 19cm, dure, épaisse veinée, bien décalottée. Mais ce sont ses belles fesses lisses qu'il me présenta immédiatement en se retournant, en s'agenouillant, puis en se mettant à quatre pattes et en s'écartant à deux mains un cul magnifique, imberbe, à la rondelle encore rougie, sans doute par les coups de queue d'Hassan.

Je me jetai sur lui.
Une demi-heure d'enculade plus tard, la star était devenue une lope rouge et en nage, allongée sur le dos, sur le sol, se branlant d'une main et pinçant ses tétons de l'autre, exhibant entre ses cuisses ouvertes un trou noir, son anus qui ne se refermait plus, tellement je l'avais tringlé dans tant de positions.

Luc, en nous regardant intensément, en nous caressant parfois, s'était mis nu progressivement et se branlait debout au dessus de Dick. J'avais adoré voir ses yeux sur moi quand j'enfilais ou renfilais Dick, quand je bouffais son cul ou, au contraire, quand j'étais assis sur le visage du chanteur. J'avais adoré que Luc me caresse les couilles et mette un moment un doigt dans le trou du cul de Dick, le long de ma grosse queue qui le pistonnait.
Je n'en revenais pas d'avoir fait de cette idole des minettes, que j'avais vue tant de fois à la télé, une chienne brûlante râlant de plaisir comme une femme sous mes grands coups de queue.
Viens jouir sur moi Aziz; et toi aussi Luc, nous dit-il, donnez votre sperme.
Luc et moi, nous attendions depuis déjà longtemps le moment de gicler. Nos deux queues se retrouvèrent dans la bouche écartelée de Dick puis nous nous branlâmes au dessus de son visage en nous matant dans les glaces et en nous roulant des pelles. Lui se branlait frénétiquement la bite et le trou du cul, dans lequel il s'était remis deux doigts. Il était beau à voir, doux et chaud à caresser, tordant son corps dans tous les sens. Ses muscles saillaient à la lumière, les miroirs reflétaient notre trio en rut, la sueur, luisante, coulait de tout son corps, comme du mien, d'ailleurs.

Je le sentis se tendre encore plus, ses abdominaux se contractèrent, sa queue, très dure, avait grossi. Il allait jouir. Un râle profond puis saccadé accompagna les premières giclées qu'il envoya en l'air au moment précis où je ressortais de sa bouche pour déverser sur son visage des flots de sperme chaud et gluant. Luc avait eu la bonne idée de me remettre un doigt dans le cul au dernier moment et se branlait lui aussi au dessus du visage de Dick. Quand il vit mon sperme dégouliner sur la face du chanteur, il vint en rajouter autant, se vidant lui aussi complètement les couilles sur la gueule de la star.

Si j'ai tant joui ce soir là et si ma queue est énorme encore quand j'écris ce texte, c'est bien sur que j'ai baisé un mec célèbre, qu'il était beau et avait le cul serré, profond et chaud. Mais c'est surtout que Luc matait et tatait parfois ma queue, mon anus, mes mains, ma langue, mon corps en joie. Là, d'ailleurs, maintenant, je vais me branler et jouir comme si tous les lecteurs qui vont parcourir cette histoire me regardaient. Après avoir joui en pensant à moi, mettez moi un mot pour me raconter, m'exciter ou contactez moi pour un plan réel.

beletbon@hotmail.com se touche en pensant à vous. Pensez à moi !

AZIZ

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