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Je suis animateur dans une radio.
Habituellement, je bosse aux matinales (6h-10h), ce qui me laisse finalement peu de temps pour sortir... ou dormir !
Autant dire que malgré une libido débordante, je n'ai pas souvent le loisir d'assouvir ma soif de sexe et ma main me sert souvent de passe temps et de "tire plaisir".
J'ai 30 ans, j'ai été marié 10 ans, je pense avoir toujours été bi même si mon penchant pour les garçons prend avec l'âge, de plus en plus l'ascendant sur mes conquêtes féminines.
Je mesure 1m73, 75 kilos, assez carré, une allure plutôt sportive, crâne rasé et parait il un sourire ravageur... C'est vrai que ce dernier point n'est pas le plus important pour la radio...
Ce jour là, mon responsable d'antenne me demande de remplacer Nicolas, l'animateur de la tranche de la nuit (23h-01h). J'accepte volontiers trop heureux de pouvoir enfin me lever tard et me coucher tard...
L'émission que je dois animer laisse une grande place aux auditeurs... Une sorte de "libre antenne" où les jeunes parlent le plus souvent de sexe.
Ce soir là, bien installé devant mon micro, j'écoute avec plus ou moins d'attention les histoires de cul de jeunes adultes toutes plus excitantes les unes que les autres.
Celle de Nico, un jeune de cité, retient un peu plus mon attention. Il raconte comment lui et ses potes ont commencé à se branler dans les caves de son immeuble.
Un peu paumé, il avoue être très attiré par le "leader" de la bande et explique comment il avait été contraint de lui faire une fellation après avoir perdu un pari ridicule.
Nico semble très perturbé par cette histoire et je ne sais plus trop quoi faire de ce témoignage. Etait-ce un viol, était-il consentant ?
C'est Nico qui m'a apporté les premières réponses. Ce qui le perturbait, c'était le fait d'avoir pris du plaisir dans cette fellation... Il avait aimé " tenir le gros calibre de son pote entre ses mains et le lécher"... Jusqu'à ce qu'il lui jouisse dans sa bouche et son torse...
Nico allait beaucoup trop loin dans ses explications et j'ai malheureusement, de peur d'avoir des problèmes avec le CSA (Conseil Supérieur de l'audiovisuel) dû le couper en le rassurant sur ses orientations sexuelles. Ce n'était après tout qu'un jeu et il aura bien le temps de découvrir plus tard, sa vraie sexualité !
Cette histoire m'avait excitée. Je m'imaginais à sa place, une grosse queue de lascar dans la bouche, puis avalant ses longs jets de foutre... Une sérieuse bosse s'était formée dans mon pantalon, ce qui n'avait pas échappé à Yvan, le technicien de l'émission.
Nous étions séparé par une petite vitre mais il ne perdait rien au spectacle de ma queue se dessinant sous la toile du vêtement.
Yvan ne s'en est jamais caché, il affiche clairement son homosexualité.
De mon côté, je suis plutôt du genre à me cacher : pas de sexe au boulot et encore moins avec un garçon.
Mais ce soir là les bonnes résolutions sont tombées en même temps que mon pantalon.
De l'autre côté Yvan faisait mine de se masturber.
En fait, là où je me trouvais, je ne pouvais pas vraiment voir s'il faisait semblant ou s'il se branlait vraiment.
Très excité parce que je venais d'entendre et par mon collègue de plus en plus provocant, je n'ai pas pû résister bien longtemps.
J'ai fait glissé ma main dans mon caleçon pendant qu'une jeune fille à l'antenne m'expliquait comment le préservatif de son copain au membre beaucoup trop gros selon elle, avait fini par craquer.
Yvan, envoyait alors rapidement une page pub puis venait me rejoindre à la table d'animation.
"- On a 2 minutes avant la reprise, laisse moi te sucer !"
Je ne me suis pas fait prié, je libérais ma queue de son étui, une queue fière de retrouver un peu de liberté. 18 cm qu'Yvan pris dans sa main pour rapidement les porter à sa langue.
Je n'en pouvais plus.
Le lieu, le temps très court que nous avions, la peur de se faire surprendre, le plaisir était grand !
Mais les pages pubs sont parfois trop courtes et il du interrompre son travail pour reprendre les commandes de l'émission.
Pour donner un peu plus de piquant, il se déshabilla complètement, nu derrière sa console
c'est ainsi qu'il termina la réalisation de ce "libre antenne" que je ne suis pas prêt d'oublier.
30 minutes plus tard après un dernier "au revoir, merci et à demain" un peu bâclé, je me suis également complètement déshabillé.
Le générique de l'émission était à peine parti, qu'Yvan revenait à la charge pour terminer ce qu'il avait si bien commencé.
Yvan est un peu plus jeune que moi, 25 ans, blond, une gueule d'ange, une musculature bien dessinée et une queue magnifique. Une 20aine de cm, épaisse et dure comme je les aime.
Beaucoup trop excité pour me contenir plus longtemps, je me retirais de cette bouche gourmande pour engloutir à mon tour ce braquemart très appétissant.
Yvan semblait apprécié, mais ne souhaitait visiblement pas en rester là.
il sortit une capote et après m'avoir enduit d'un peu de gel, présenta sa queue contre mes fesses.
Je me retrouvai penché sur la "table d'animation", un micro à quelques cms de la bouche et une queue prête à s'enfouir au plus profond de moi.
Ma respiration n'a pas tardé à s'accélérer. Sentir se gland prêt à fouiller la partie la plus intime de mon corps me procurait déjà un énorme plaisir.
Visiblement, Yvan savait s'y prendre. J'avais un peu peur des premières brûlures qui accompagnaient en général, chez moi, les sodomies.
Mais cette nuit là, pas une seule douleur, que du plaisir.
"- T'es prêt ?" Je n'ai pas eu le temps de lui répondre qu'il avait déjà enfoncé sa queue jusqu'à la garde.
Il commença alors tout doucement à aller et venir jusqu'à ce qu'il se sente parfaitement à l'aise dans un cul qui n'avait jamais été aussi dilaté.
Encouragé par mes râles de plaisir, il accélérait le mouvement après avoir glissé sa main entre la table et mon ventre pour attraper ma queue prête à exploser.
J'étais devenu "sa chose" et il me labourait maintenant avec force les entrailles.
J'avais du mal à respirer, plié sur cette table, le nez sur les micros, tenant difficilement debout tant ses coups de boutoirs devenaient violents.
Je n'en pouvais plus et sans même avoir eu le temps de l'avertir, je lâchais alors de longs jets de foute sur la table et les micros.
Yvan s'enfonçait alors encore plus profond. J'avais l'impression que mon cul allait exploser. Sa queue prenait des proportions inquiétantes. C'était le dernier gonflement avant l'explosion. Dans un dernier râle il lâchait prise dans un préservatif, remplissant le réservoir de son jus épais et blanchâtre.
Après une petite tape sur les fesses en guise de remerciements, il partit chercher une éponge pour faire un peu de ménage. Une odeur de sperme flottait dans l'air dans notre petit studio.
J'appris un peu plus tard qu'Yvan n'en était pas à sa première aventure devant les micros... Mais je n'ai jamais su qui avait également reçu les assauts de ce bel étalon.
Ah j'oubliais l'essentiel. Ce soir là, il y avait une webcam dans le studio...
Dans l'action, je lavais complètement oubliée.
Je me demande encore aujourd'hui si des auditeurs avaient été spectateurs de cette baise que je ne suis pas prêt d'oublier.
FIN
Fab
fabrix@tiscali.fr
Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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