L'aspergeVendredi, début d'après midi, il fait beau, j'ai fini ma semaine de travail. Je flasche tout de suite sur l'un d'eux : une grande asperge, un grand maigre, brun, bouclé, il porte un haut de jogging à capuche gris et noir, un jean large, taille basse avec ceinture à clous, ras la raie, on voit le haut de son slip. Un peu remué par ce mec, je vais au tabac chercher mes clops et en sortant, mon premier réflexe est de regarder s'il est toujours là. Il est un peu plus loin et parle avec un autre mec. Quelques instants plus tard on est dans ma voiture et c'est parti ! A peine sur la nationale, toutes mes vitesses passées, je mets la main sur son genou, pas de réaction. Ennivré par son odeur de beu, je passe la main à l'intérieur de sa cuisse, il ne dit rien. Bon! je pense que c'est dans la poche et je lui met la main au sac. Il me regarde, me sourit d'un air béat. C'est gagné ! Je glisse ma main entre son jean et son slip, je lui malaxe le paquet qui se met à prendre du volume. Moi je bande comme un salop, j'ai du mal à me contenir et les derniers kilomètres avant l'aire de repos sont interminables. Enfin on y arrive, il n'y a personne, je prends mon nécessaire de baise (capotes, gel, lingettes) je l'entraine dans le bois, on s'isole dans un coin discret et là, n'y tenant plus, je me jette sur lui, je lui enlève son jean, je lui arrache son slip, j'enlève aussi mon jean (je n'ai rien desous), je le tourne, je lui met une noisette de gel sur la rondelle, je le fouille de mes doigts le plus profond possible, j'élargis le trou et quand c'est prêt, j'enfile une capote, je mets mon gland à l'entrée de son cul, je pousse doucement et en une seule poussée je suis rendu au point où mes couilles touchent des fesses. Puisque c'est comme ça, je commence mes vas et vient sans m'occuper du rythme, je le baise à la hussarde en lui pinçant les tétons, en lui agaçant le gland, en lui tâtant les couilles et aussi en passant mes doigts dans ses cheveux bouclés. Maintenant, je vais m'occuper de sa queue à lui. Je suce, pourlèche, gobe, tête, tout en jouant avec ses boules et en lui doigtant le cul de peur qu'il ne se referme. Il reste toujours aussi passif et me laisse prendre toutes les initiatives. On fume une clop pour faire une pause et je me marre en moi-même du tableau qu'on fait : deux mecs, culs nus, bites pendantes en train de fumer dans un bois. Nos clops fumés, je me mets au travail pour la faire remonter, ça ne prend pas beaucoup de temps et quand elle est à nouveau bien dure, je la couvre d'une capote, je met du gel à mon cul que je lui présente. Il s'enfonce doucement lui aussi et en une seule fois mais il n'a pas la fougue que j'avais tout à l'heure. Il est toujours aussi passif et c'est moi qui suis obligé de serrer er desserrer les fesses pendant ses va et vient. Malgré tout, je trouve ça bon surtout en reniflant son odeur avec délice. Le mec lui se contente de me tenir par les hanches et d'accompagner les mouvements jusqu'au moment où il se raidit (un peu trop vite à mon gout) et décharge. Il veut se retirer tout de suite mais je serre les fesses pour le garder encore un peu, je ne peut pas le garder à cause du gel. Comme moi, il fait un noeud à sa capote et la pose près de la mienne sur la mousse. Entretemps, je bande encore bien dur et je me le referais bien une deuxième fois. Plus tard, après avoir enterré nos capotes, fait une rapide toilette, on reprend la route. Il s'endort au bout de quelques kilomètres. Arrivé à sa destination, je suis obligé de le réveiller pour qu'il descende. Il sort de la voiture, me remercie poliment et la grande asperge se perd parmi les passants, on dirait un extra terrestre. Zicomsylvestig@orange.fr Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |