BAGUETTE DU DIMANCHEC'était un dimanche vers 12h30, j'allais acheter mon pain. Pour me rendre à la boulangerie, je dois emprunter un chemin qui longe une rivière. C'est un chemin aménagé où il y a des gens qui font du roller, du vélo ou du jogging. C'est l'occasion de voir des mecs sportifs en plein effort. Alors que je revenais ma baguette à la main, j'ai vu un mec en survêtement qui courait mais se retournait pour mater les mecs qu'il croisait. J'observais son petit manège, je pensais être discret pour ne pas me faire voir, mais il m'a aperçu, il s'est approché de moi, il a souri et m'a dit : " c'est agréable de courir dans le coin ". Je lui ai répondu des banalités car j'étais surpris qu'il s'adresse à moi et cela m'a déstabilisé. Il m'a alors demandé si j'habitais loin. Je me voyais mal lui dire non, j'avais une baguette de pain à la main, je ne pouvais pas lui dire que j'allais acheter mon pain à des kilomètres, surtout que j'étais à pied. Il m'a alors proposé de courir avec lui, que c'était plus sympa de courir à deux tout en me fixant droit dans les yeux. Je ne sais pas si je me faisais des idées ou pas, mais j'ai eu l'impression à ce moment là, qu'il avait une autre idée derrière la tête, et qu'il me draguait. Cela commençait à me troubler, et je crois qu'il s'en est aperçu. J'ai accepté sa proposition, mais je lui ai dit que je devais me changer, mettre un short et ramener mon pain. Il m'a alors proposé de m'accompagner. J'habite à environ 300 mètres, nous avons fait le trajet en échangeant des banalités. Quand on arrive dans l'immeuble, on se dirige vers l'ascenseur, il y avait déjà du monde qui attendait, c'étaient les voisins du dessous. Je me mets au fond de l'ascenseur avec mon bel inconnu, et les voisins sont montés ensuite, pour pouvoir descendre plus facilement à leur étage. Les portes de l'ascenseur se sont refermées et à ce moment là, j'ai senti qu'on me caressait. Je ne savais plus où me mettre, je ne voulais pas que mes voisins se doutent de quoi que ce soit et en même temps, ça m'excitait et je ne voulais pas qu'il s'arrête. Mes voisins sont arrivés ;à leur étage, sont descendus de l'ascenseur, et les portes ont eu juste le temps de se refermer, que mon bel inconnu s'est approché de moi, il m'a roulé une pelle, tout en me caressant le cul. Je n'ai pas eu ;le temps de réagir, mais j'ai trouvé ça très bon On est arrivé à mon étage, on est sorti de l'ascenseur, et pendant que je cherchais mes clés, il a continué à me caresser, il s'est collé contre moi, il frottait sa queue contre mes fesses, elle ;commençait à être raide, ça m'a troublé et j'ai eu du mal de trouver la serrure. J'ai eu peur que les voisins m'aperçoivent en train de me faire tripoté mais en même temps, ça me faisait bander. J'ai eu juste le temps de refermer la porte, qu'il m'a plaqué tout contre, il m'a embrassé dans le cou, il m'a caressé ma bite par dessus mon survêtement et j'avais beau dire non, il a continué à me caresser, il m'a roulé une pelle avec sa langue bien humide et là, j'ai compris que j'en avais vraiment envie, et que je l'allais me laisser faire. J'ai commencé aussi à ce moment là à le caresser. On s'est embrassé, j'ai passé mes mains sous son tee-shirt, caressé ses pectoraux, je lui ai enlevé son tee-shirt, et j'ai commencé à lui lécher le corps. J'ai mordillé ses tétons, ça l'excitait et il m'a demandé de continuer. J'ai descendu avec ma langue le long de son corps, il me caressait la nuque pendant ce temps là. J'ai descendu son survêtement, et j'ai vu qu'il avait déjà une belle bosse dans son boxer. J'ai léché ses couilles et sa bite à travers son boxer, sa queue enflait à vue d'oeil, ce qui n'était pas pour me déplaire. J'ai continué à le sucer à travers son boxer qui était maintenant tout mouillé. Il continuait à me caresser la nuque et il m'encourageait à poursuivre. Sa queue était bien raide et son gland dépassait de son boxer. Je l'ai léché, et j'ai enlevé son boxer. Il m'a dit qu'il avait envie de me déshabiller, qu'il voulait me bouffer le cul et le bourrer bien profond. J'avoue que j'en mourais d'envie, je n'ai donc rien fait pour l'en empêcher. On est allé dans ma chambre, je me suis allongé sur le lit, il m'a enlevé mon tee-shirt, il s'est mis sur moi, m'a caressé, et m'a embrassé dans le cou et il m'a mordillé les oreilles. Cela m'a vachement excité. Nos corps étaient l'un sur l'autre et nos 2 queues se touchaient. Il m'a demandé de lever les jambes et les mettre sur ses épaules. Il a alors commencé à me lécher le cul, j'ai senti sa langue bien humide sur ma rosette. J'adore quand on me bouffe la chatte, et ça m'excite terriblement. J'en gémissais de plaisir et ça l'excitait encore plus. Il m'a doigté pour bien me dilater mon petit cul, et je sentais ses doigts qui m'entraient dans le cul. Il m'a léché à nouveau, et sentir ses moustaches sur mes fesses, ça me faisait frémir tellement c'était bon. Je me suis alors à quatre pattes, j'ai écarté mes fesses, il a continué à me lécher puis m'a dit qu'il voulait me limer le cul. Il a alors approché son gland de ma rosette, il a commencé à me le faire pénétrer dans le cul tout en douceur et m'a mis un grand coup de rein pour faire rentrer sa queue toute entière. Cela m'a fait un peu mal au début, puis il a commencé à faire des mouvements très lentement et j'ai commencé à me prendre du plaisir. Il m'a caressé la queue tout en continuant à me limer le cul. Il m'a pris par les hanches, il m'a mis des petites claques sur le cul, et ça m'a excité. Il m'a ensuite bourré le cul plus rapidement, j'ai senti ses couilles qui claquaient contre mes fesses. C'était vachement bon et je me demandais combien de temps j'allais encore tenir avant d'éjaculer d'autant qu'il continuait à me branler. Il s'est retiré de mon cul, s'est branlé et a voulu balancer son sperme sur mon corps. Il m'en a mis partout, s'est allongé sur moi, et m'a roulé un patin. On s'est caressé, embrassé mais on n'a pas fait de jogging... REGISRêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |