Cyrillo

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la baise la plus och du mylénium

Ce mec (je tais) son nom, je l'ai eu quatre ans, et mon regret, c'est nos plan intégral...

quand j'y repenses je le tutoies dans ma tête, et je rêve à la nouvelle salope virile à qui je pourrais refaire tout ça, allez hop !

D'abord tu me suces bien la teub en travers du lit, tout y passe, mordillage jean puis déboutonnage, bouffage mouillage slip blanc: tu passes ta bouche d'abord sur ma braguette gonflée, ton nez et tes lèvres fourragent, pétrissent, raclent le tissu bleu foncé salé en moulant le gros jonc tubulaire en semi érection qui grossit de plus en plus.

le premier bouton saute, un autre, encore, lentement oui, comme ça, oh ça me rend fou, c'est bon mais pas autant que ce qui va suivre, ça l'annonce juste; j'ai les escalopes qui baignent, et ma grosse pine , à l'odeur douceâtre, confite, cuite, presque fumée, tend mon slip, et tu pétris cette lourde verge au travers, rendant le tissu transparent avec ta bave, tu me la prends bien en main, tu me la serres, me la désires, et à travers sa faible prison c'est encore plus excitant...

Enfin, tout doucement, tu relèves le rebord de l'élastique sur ma grosse queue couchée moulée, par le côté ou par-dessus tu découvres la bête qui apparaît lentement, ma belle pine de jeune métis, d'abord la grosse prune rose où perle la mouille mousseuse, puis tout le long tube brun et veiné.

Tu dardes et pointes alors ta bonne langue pour humecter le frein, tu t'attardes un peu sur les couilles qui débordent pour lécher ces deux grosses boules molles et moites, mes roustons gonflés et poivrés, tu gobes et aspires ces deux petites pommes granuleuses.

Ta salive gicle et tu l'étales avec ta bonne grosse langue, je regarde fasciné ce mélange écumeux, glaireux, napper la hampe, enrober ma pine, elle reluit, douce et luisante, je te l'offre oui mange ma grosse bite gluante oui avale-la, vas-y relèche et suce, crache, possède mon beau zob, fais-moi reluire de ta salive et baffre, branle et gobe le tout !

Ouii ;ii...j'aime quand t'es och bâtard, quand je te gave ta gueule de teupu, j'aime tes coups de langue de dessous le frein jusqu'au bout du gland, juste sur la hampe, vraiment comme pour une glace.

Tu me la prends bien brune dans le creux de ta paume bien pleine bien blanche pour me manger cette partie comme on boit de l'eau de fontaine de village à même, puis tu me l'avales en gorge profonde, tes amygdales deviennent un sphincter, mon gland est branlé par ton palais et le fond de la gorge, il s'y loge et y coulisse, tu hapes et me pompes, la pointe de mon gland touche ta glotte.

Très lentement d'en haut jusqu'en bas, tu l'enfournes en ouvrant les mâchoires à fond puis remontes lentement en bavant bien, la langue balayant le frein bien en éventail comme tu fais oh oui lentement hum...putain ma pute...t'as pas oublié comment on fait hein ?

Oh ouais, tu m'lèches trop bien la bite, ouais, j'vais te péter le cul quand tu m'l'auras bien saucée !...
Je vois la salive couler par petits filets c'est trop top, je vois lentement ma colonne de chair ré-émerger de tes lèvres retroussées à fond sur ce mandrin.

Alors je branle un peu ma grosse queue gluante pour te laisser reprendre ton souffle, tu ne donnes que de tout petits coups de langue par-ci par-là pendant ce temps c'est excitant aussi puis à ton tour tu me la branles en crachant à fond dessus, bien en la tordant par derrière, ça écume, ça coulisse, oh putain stop, tu as commencé ça cul déjà nu et ta rondelle se dilate tu te doigtes déjà complètement chaud, ouvert et trempé , bien lubrifié au gel depuis une heure, on change, je me lève tu me suces un peu debout et je m'entraîne déjà à enculer ta bouche juste à la bonne hauteur, ouais j'ai trop envie de te mettre un coup derrière les étiquettes.

Oh putain, faut qu' je te fasse le cul , j'ai envie de me faire ton cul, ouais je vais te faire le cul mecton, grave, ça y est tu te bascules en arrière, machine à laver, bureau, buffet, n'importe quoi pourvu que ce soit juste à la bonne hauteur.

Tu bascules, tu te cales, acrobate excité, tu t'écartes les miches à fond tu me montres comment ton cul bouffe bien le gode lubrifié, tu te l'enfonces bien lentement en le tordant progressivement pour que je vois bien les poils poisseux bien coller et ta rondelle mouler les veines de plastique noir lentement tu m'rends dingue avant, arrière, avant, arrière, tu le ressores pour le sucer et puis c'est le moment tu écartes et bascules à fond tu dilates ton trou qui s'ouvre et se ferme et crie à la bite !!!..

C'est bon je frôle ta pastille de mon gros gland prêt à éclater parce que je me suis bien branlé en te matant te goder. Je pose le frein sur ta cerise et en la contractant elle me masse le frein puis j'amorce ma pompe je suis dessus une toute petite pression les chairs meubles et tièdes s'écartent, m'attrapent, me happent même et pop !

Mon abricot est enfoui d'un coup il se loge, alors la c'est vraiment l'éclate moi je tire en arrière comme un arc prêt à éclater, tendu au max, tu m'aspires lentement c'est presque toi qui me branles, m'avales, me manges, me mâches la bite en t'empalant, le gland et tout le gros tube sur toute sa longueur peu à peu, la queue bouffée littéralement, plantée jusqu'à la racine, enfouie et moulée dans ton vagin de mecton tu me suces avec ton cul et je vois cm par cm ma colonne veinée et brune avalée, ton cul pompe ma bite de béton à son rythme, bordel c'est bon...

La hauteur est si idéale que bras dans le dos je bouge à peine, je me hisse à peine, je me balade tranquillement dans ton fion de salope tu te fais aller et venir sur ma grosse pine chaude et juteuse puis j'entre de plus en plus en action, ressortant bien à chaque fois jusqu'à la couronne pour t'agacer le pourtour et replonger pour fouiller de plus belle ! Variant la vitesse, tu te contractes, ton sphincter comme ton palais et ta langue tout à l'heure me font plein d'effet, j'accélère. Je t'emmanche, je t'engrosse, je te défonce, te baise, ma grosses queue puissante pompe et tire la rondelle souple de ton cul ouvert comme du beurre tu me sens bien hein ?!...

Et j' explose en mille gouttes en toi, comme toi tu éclates aussi en éjaculant... je ressort mon glaive marbré, reconnaissant, repu, vidé.

flameboy

edouarddia@noos.fr

Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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