Bar à hétéro ?C'était il y a un peu plus d'un mois, j'avais décidé de sortir seul en comptant amortir mon célibat. Je m'appelle Benjamin, j'ai 24 ans et bosse actuellement en tant que commercial. Assez grand et carré, je fais du rugby et de la muscul depuis plusieurs années pour m'entretenir. J'étais donc seul allant de bar en bar, il ne devait pas être loin de minuit et je reconnu un gars avec qui j'avais fais une bonne partie de ma scolarité. Il était au comptoir. J'avais toujours fantasmé sur lui, l'hétéro de service à l'époque et à première vue il n'avait pas perdu sa virilité. Je m'approche et lui adresse la parole, il ne me reconnait pas, il faut dire qu'à l'époque ma carrure n'était pas la même. "- Salut Alex, tu vas bien ?" Un peu gêné, je ris bêtement puis nous discutons un moment, il m'explique l'histoire avec sa copine, il voulait lui donner une bague de fiançailles qu'il me montra et m'expliqua qu'il avait réservé une chambre d'hôtel pour la nuit. Je commence à imaginer tout et n'importe quoi quand d'un coup il pose sa main sur ma cuisse. A ce moment là il me prend par le col de ma veste et me demande de le suivre dans les wc. Après avoir fermé la porte, il est a quelques centimètres de moi et je me rend compte à quel point ses yeux sont bleu et sa barbe de deux jours terriblement sexy. J'approche mes lèvres des siennes, il se laisse faire, je l'embrasse tout en lui mordillant la lèvre inférieur. Sa main descend dans mon dos tandis que la mienne est posée derrière sa nuque. Quelques minutes plus tard il retire ses lèvres et me dis en riant. "- Ta barbe pique un peu. Tu serais d'accord pour passer la nuit avec moi, j'ai une chambre de réservé je te rappel." Je l'embrasse à nouveau, il souri. Il me conduit à l'hôtel, une fois descendu de la voiture, je me rends compte qu'il ne s'est pas foutu de sa copine. Le réceptionniste lui donne un pass et il commande du champagne et des fraises. Je commence à me demander si ce n'est pas un grosse blague. Nous rentrons dans l'ascenseur, une fois les portes fermées il me plaque contre le mur son torse contre le mien et sa langue dans ma bouche. Arrivé au 8ème étage, il ouvre la porte de la chambre avec le pass et pose sa veste sur le lit. La chambre était immense, il y avait une petite valise à côté du lit, il était surement déjà passé dans la chambre pour poser ses affaires. J'enlevais ma veste et allais dans la salle de bain. Il était en boxer et remplissait la baignoire d'eau. Ses pectoraux étaient puissants, ses abos marqués et ses bras forts, voyant que je le regardais de haut en bas, il me prit la main et la posa sur son torse. Je le caressais pendant qu'il enlevais un à un les boutons de ma chemise. J'étais surexcité et à l'étroit dans mon pantalon, sa queue commençait à sortir de son boxer sous l'effet des mes caresses et de mes baisers. Au bout de quelques minutes j'étais dans la même tenue que lui, il jouait avec ma bite à travers le tissu du boxer. Après quelques baisers, il enlevait son boxer et rentrait dans la baignoire. Il me prit par les cuisses en me faisant signe de m'assoir sur le bord de la baignoire. Une fois assis, il était à mes genoux et approchait sa bouche de ma bite. Après avoir retiré d'un coup sec mon boxer il l'avait prise entièrement dans sa bouche, ce n'était visiblement pas la première fois qu'il faisait ça à un mec. Ma queue ne cessait de gonfler et il avait du mal à garder la bouche ouverte. Je mis mes deux mains sur sa nuque et commençais à lui baiser la bouche. Il gémissait, ses lèvres faisaient des allés et venues sur mon gland, sa langue en faisait le tour. Il salivait comme un goret, sa salive descendais jusque sur mes cuisses. Je poussais des râles qui ne faisaient que lui faire gober encore plus ma bite pendant que mes mains qui lui tenaient toujours la tête. Je sentais que j'allais me vider dans sa bouche, je me retirais pendant qu'il se relevait pour m'embrassait tendrement. Je rentrais à mon tour dans la baignoire bien décidé à avoir la bouche pleine. Il s'allongeait pendant je m'assaillait entre ses cuisses. J'étais à 5 centimètres de sa largue queue, pendant quelques minutes je jouais avec son gland, ses râles en disaient long, il ne tenait plus et donnait un grand coup de rein faisant rentrer sa bite complètement dans ma bouche. Elle cognait contre le fond de ma gorge pendant que ses jambes se resserraient autour de moi. Je voyais qu'il commençait à ne plus tenir quand d'un coup de grands jets de foutre me remplissaient la bouche. Je recrachais tout en bloc sur son torse bien décidé à me venger un peu surtout que mes couilles étaient toujours pleines. On sonnait alors à la porte, j'enfilais en vitesse un peignoire pendant qu'il nettoyait son foutre sur son ventre. C'était le champagne et les fraises qu'il avait commandé, le garçon est rentré à tout posé sur la table et est reparti. Alex ressortait de la salle de bain en peignoire et il me donnait une coupe pendant que je rapprochais le bol de fraise à moi. Après quelques gorgées, je présentais une fraise à ses lèvres qu'il mangeait rapidement. Il s'allongeait sur le lit et saisissait la valise au sol, quelques secondes plus tard il en sortait un gode, des capotes et du gel. Il s'était allongé sur le lit les jambes écartées et commençait à jouer avec son gode qu'il avait lubrifié avec sa salive. J'étais étonné de le voir ainsi, il se défonçait littéralement le cul en allant de plus en plus vite. Je m'approchait de lui et commençait à le caresser avec ma main sous son peignoire. Il se retournait pour se mettre à cheval sur moi et m'entourait de ses bras, je prenais en main le gode. Il était assit sur mes cuisses pendant que je le soulevait et le baissait l'empalant complètement avec le gode serré entre mes cuisses. Son cul mouillait, après quelques minutes je décidais d'enlever le gode. J'enfilais une capote et le portais jusqu'à se qu'il s'empale sur ma bite toujours droite. J'avais son souffle dans le cou pendant qu'il râlait au rythme de mes mouvements de bassin. Son cul était serré, ma bite était dans un étau pendant que la sienne frottait contre mon ventre. Il desserait ses bras puissant pour que je m'allonge. A présent c'était lui qui menait le jeu et faisait des vas et viens sur ma queue à la force de ses bras. Je devenais comme fou et rajoutais à ses mouvements de grands sursauts de bassin qui enfonçaient ma bite encore plus profondément. Mes mains caressaient ses cuisses, les siennes s'appuyaient sur mes pectoraux. Nous étions en sueur et râlions comme des animaux en rut. D'un coup il se déversait sur mon torse pendant que je remplissait peu de temps après la capote, je me retirais et il commençait à étaler son sperme sur mes pectoraux en m'embrassant. Il descendait progressivement vers mon cul en passant par mes tétons et mon ventre. Il ouvrait mon cul à la force sa langue en faisant des allés et venus pendant que j'étais sur le dos, épuisé. Puis je sentais qu'il avait rentré un doigt, puis deux. Brusquement il enfilait une capote et mettait mes jambes au dessus de ses épaules. D'un coup sec il rentrait en forçant le passage et en tirant mes cuisses vers lui, je râlais puissamment. Il était face à moi, je voyais son visage, ses pectoraux ses bras en action, il reprenait sont statut de mâle. Alex était entrain de me bourrer le cul de plus en plus vite, mes mains s'accrochaient à ses cuisses je n'en pouvais plus. Il rentrait, sortait, jouait avec mon cul comme un jouet. Ses couilles tapaient contre mes fesses quand je sentais le sperme remplir la capote. Il se retirait puis prenait ma bite dans sa bouche, cette fois elle touchait le fond de sa gorge. Peu après je me déversait littéralement dans le fond de sa bouche. Il s'allongeait à mes côté trempé et épuisé. Après cette nuit nous ne nous sommes plus revus, mais je vais peut-être faire appel à un prof à domicile. Benbenjaminatplay@gmail.com Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |