Week-ends à BarbèsEnviron une fois par mois, Monsieur Paul, professeur d'université dont j'avais été l'élève puis le gigolo, allait tout un week-end avec moi, dans un petit hôtel du quartier Barbès, à Paris, pour sucer et se faire enculer par ;des nègres et des arabes. Moi, Aziz, 26 ans (et 23 centimètres épais), franco marocain, j'étais son garde du corps, son rabatteur, son copartouzeur et son voyeur préféré. Il avait d'autres rabatteurs, d'ailleurs, puisque son principe était qu'un mec de couleur doté d'une grosse queue connaissait forcément un type doté d'une encore plus grosse queue et disponible pour s'en servir,moyennant finances. Et çà marchait ! De très ;nombreux arabes, blacks et métis hyper membrés (il y a vraiment à Paris d'incroyables gros zobs), le plus souvent hétérosexuels, venaient et revenaient, souvent accompagnés, ces week-ends là, pour se faire sucer et pour enculer et renculer Monsieur Paul pour 40 euros chacun, voire ;plus s'il le fallait vraiment. Moi, je faisais le surveillant, le distributeur de préservatifs et surtout le voyeur; parfois aussi le photographe; et j'adorais ça. Je participais aussi, souvent, ;plus directement. Souvent je les avais fait préalablement un peu boire ou fumer. Comme au début ils faisaient généralement les timides, c'est moi qui les poussais à s'approcher du lit et à se laisser palper l'entrejambe puis débraguetter par Monsieur Paul. Il finissait le plus souvent par les faire bander rien qu'en les tripotant et, dans tous les cas, il adorait comme moi ce moment de la découverte obscène où jaillissaient les zobs plus ou moins raidis. Il les avalait alors systématiquement; l'un d'abord, l'autre après puis, ce qu'il préférait, les deux à la fois. Tandis ;qu'il léchait et pompait bite et couilles des gigolos je leur découvrais le corps nu, dodu et flasque de Monsieur Paul en les incitant à s'en emparer : "caressez le... Pincez ses tétons... Touchez son cul... Ouvrez le... Doigtez le... Elle adore çà cette chienne..." Parler de Monsieur Paul au féminin l'excitait beaucoup et donnait souvent du coeur au ventre des mâles plus ou moins hetéros, en leur permettant d'imaginer ;qu'ils allaient enfiler une femme alors que c'est un vieux pédé qu'ils allaient saillir. Monsieur Paul leur demandait alors de se dévêtir, car c'est nu qu'il voulait voir, sentir et toucher ces corps de couleur généralement jeunes et magnifiques. Lorsqu'ils étaient deux, c'était un moment délicat : deux arabes, en particulier, ont du mal à s'exhiber nus ensemble pour baiser un pédé. Souvent, je devais intervenir pour les déshabiller, négocier, voire admettre qu'ils le défoncent l'un après l'autre, même si souvent le second rejoignait quand même le premier lorsque Monsieur Paul avait commencé à jouir du cul et implorait une bite à sucer. Superbe spectacle que la vieille chienne lubrique tronchée longuement par la bouche et par le cul, par de splendides hommes de couleur aux dures, longues et grosses ;queues. J'aimais me mettre nu aussi, voir, souvent toucher et parfois lécher les pines en action. Certaines fois, je leur donnais même mon cul ou, au contraire, j'enculais les gigolos quand ils s'étaient laissés doigter l'anus et que je sentais qu'ils aimaient çà, qu'ils ;étaient prêts, sans pudeur, comme moi, à jouir par tous les bouts, par tous les trous. Monsieur Paul en redemandait toujours pour son cul insatiable, sa bouche, goulue, ses mains baladeuses, ses yeux de mateur fou. Il avait un autre ;point commun avec moi : il adorait que les mâles se finissent en se branlant au dessus de son visage et lui crachent leur sperme chaud dessus. Il y avait souvent compétition entre nous pour repérer, saisir et déculer les zobs prêts à jouir du cul devenu largement ouvert, glisser nos visages dessous et surexciter par tous les moyens les baiseurs en rut, jusqu'à ce qu'ils nous déversent des flots de sperme chaud sur la gueule. Comme Monsieur Paul aimait autant que moi s'exhiber et se vanter à des amis ou sur Internet de ce genre d'exploits, nous accueillions souvent, dans la chambre, lorsque nous forniquions avec les plus impudiques de nos amants, un ou deux voyeurs. Plus ou moins discrets, habillés, déculottés ou nus, parfois laids et âgés mais peu importait (c'est leur regard sur nous et leur excitation qui nous plaisaient, ainsi que le petit billet qu'ils me glissaient souvent), ces invités qui reluquaient et parfois participaient, photographiaient ou filmaient, en rajoutaient à notre excitation et souvent à celle de Mouloud, Samba, Hassan, Farid, Moussa et les autres... Partageur Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |