Du beurre dans les épinards.Suite à la fermeture de mon entreprise, j'ai connu une période difficile dans ma vie. J'étais prêt à faire n'importe quel boulot pour pouvoir mettre, comme on le dit, du " beurre dans mes épinards ". Une petite annonce trouvée chez mon boulanger faisait état d'une personne âgée cherchant quelqu'un pour l'aider dans ses tâches ménagères. Je n'étais pas en situation de faire le difficile et la proximité de ce job pour lequel je n'avais pas besoin de moyen de transport firent que je me portais candidat. C'est ainsi que je me suis retrouvé à aller plusieurs fois par semaine chez ce petit papi qui habitait à deux pas de chez moi. Au début, tout se passait très bien, je faisais ses courses, son ménage, je préparais ses repas. Veuf depuis plusieurs mois et il était incapable de se débrouiller tout seul, c'est typiquement le genre d'homme qui est totalement perdu sans son épouse. À 70 ans, Roger était encore alerte et bien conservé. Il ne tarissait jamais d'éloges à mon égard. J'étais pour lui le prototype du serviteur parfait, joli, dynamique, souriant, il me trouvait plein de qualités et me taquinait souvent sur mes talents de " femme de ménage " Évidemment, il connaissait tout de mes soucis d'argent, c'était un peu mon confesseur. Jusqu'au jour où ses propositions se firent soudain beaucoup plus précises : Tout d'abord étonné par cette proposition indécente, je sortis de chez lui convaincu qu'il ne me reverrait pas de si tôt. Pour qui me prenait-il ? Mais, la nuit portant conseil, je suis malgré tout retourné à son domicile dès le lendemain matin, après avoir cogité des heures durant... Les traites de l'appartement, le crédit pour la voiture, j'étais vraiment juste. Il ne s'agissait, après tout, que de satisfaire quelques rares désirs d'un vieux papi lubrique, rien à voir avec faire le tapin ou même la call-girl. Pour moi qui avais tellement besoin d'argent, l'occasion était vraiment inespérée et à ne pas rater. Dans mon esprit, cela ne devait en plus pas aller bien loin. À cet âge-là, les désirs devaient être quand même moins vivaces. Que voulait-il donc, ce vieux cochon ? Me voir tout nu ? Me toucher ? Il avait du mal à avaler sa salive, il frisait la crise d'apoplexie. Maintenant qu'il s'était bien rincé l'oeil, j'attendais sa proposition concrète : Lorsqu'il revint, il bandait dur et droit. Pour son âge, il était incroyablement viril. Il posa quelques billets sur une desserte et revint s'installer sur son canapé. Je n'avais vraiment pas l'impression de me prostituer, car j'avais vraiment très envie de cette queue, je pris beaucoup de plaisir à la sucer. Même le contact rugueux de ses mains rêches et ridées qui me tripotaient la poitrine ne me semblait pas désagréable. Mieux, j'étais incroyablement excité. La verge de cet homme me faisait baver d'envie, je me reconnaissais à peine dans ce désir salace. " Prends moi " me surpris-je à lui dire Un doigt vint titiller mon oeillet, puis il me pénétra. Je le sentais tourner, entrer, sortir...Je n'aurai jamais pensé que cela pouvait procurer autant de sensation. Un deuxième doigt vint rejoindre le premier. Je ne ressentais aucune douleur. Mon cul comme ma bouche l'avait fait auparavant, se mit à onduler, à anticiper le mouvement des doigts, il cherchait à les engloutir, à les avaler. Le plaisir grondait au fond de moi, j'en voulais plus encore.Il retira ses doigts et ses mains m'écartaient maintenant les fesses, mettant au grand jour ma rondelle assouplie. Je senti alors son gland se poser sur mon cul et d'une longue poussée, lente mais ininterrompue, il me prit en levrette, en me traitant de petite pute. Il me baisa ainsi un long moment, en accélérant sa cadence avec force. Je sentais ses grosses couilles battre contre les miennes. Il semblait inépuisable et finit même par me faire jouir : comble du comble, une gourgandine qui prend plaisir avec son client ! J'éjaculais longuement, sans me toucher, un autre plaisir m'envahissait, je jouissais du cul, j'étais en transe, le cul ondulant. Les contractions de ma jouissance eurent raison de lui et il déchargea son foutre au plus profond de moi, ses mains crispées sur mes hanches pour mieux me coller à lui et profiter ainsi pleinement de son plaisir. Finalement, il se retira et parti faire un brin de toilette. Je restais allongé à plat ventre sur le canapé , épuisé, pantelant, les cuisses écartées, le cul bien ouvert avec son sperme qui coulait sur mes couilles. J'étais heureux, je venais d'être sodomisé, enculé au plus profond de moi. J'avais reçu dans mes entrailles un sexe long et large. Il avait joui en moi et son sperme dégoulinait de mon anus distendu, ouvert et qui portait la marque évasée de la queue qui venait de le défoncer divinement. Quand il eut fini, j'occupais à mon tour la salle de bain pour prendre une bonne douche. Lorsque j'en sortis, j'entendis la voix de Roger dans le salon. J'ai recommencé doucement... Mmm, je suçais cette bitte, cette verge, cette queue... Tout cela me passait par la tête... Je me rends compte avec le recul que je n'avais pas du tout honte... Au contraire, je suçais et j'étais heureux...Ses mains se posèrent sur ma tête et me donnèrent sa cadence. Soudain, il se cabra et je sentis son liquide couler tout chaud dans ma bouche... Je l'avalai... C'était un peu amer mais l'idée que j'avalai sa semence m'excita beaucoup... J'ai continué à le sucer doucement... J'ai adoré le sentir fondre dans ma bouche... C'est l'un des souvenirs les plus forts de ma vie... Ce jour-là, c'est avec un petit pécule que je repartis heureux de chez mon petit papi. Il s'était vraiment montré très généreux. Tout ça pour avoir pris mon pied, c'était vraiment trop génial Je pris rapidement goût à cet argent facile. Me vendre dans ces conditions était finalement assez aisé. Les semaines qui suivirent, j'ai souvent recommencé. Mon client était satisfait de mes prestations. Et quelle vitalité ! Il me baisait tout le temps avec force et ne débandait pas. Plus j'avais d'argent et plus j'en désirais, je ne pouvais désormais plus revenir en arrière. L'étape suivante fut pour moi de demander à cet homme si, par hasard, il n'aurait pas quelques amis qui auraient besoin, eux aussi, de mes services. Non seulement il me fournit des noms, mais il me proposa en plus d'organiser chez lui une après-midi coquine pour me faire connaître. J'en fus enchanté et m'arrangeai pour qu'aucun de ses invités ne soit déçu. Il en allait pour moi de mon avenir (professionnel, devrais-je dire). Non seulement ils me baisèrent tous les quatre une après-midi durant (et ça c'est une autre histoire), mais ses copains furent séduits par mes prestations puisqu'ils m'invitèrent tous par la suite pour des rencontres coquines, chez eux ou à l'hôtel. Désormais, avec ces quatre papis, j'ai largement de quoi subvenir à mes besoins, et je peux m'offrir tout ce que je souhaite. Il m'arrive néanmoins, de temps en temps, de faire aussi quelques petits extras. Michbru30@wanadoo.fr Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |