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Bon Anniversaire

ce jour-là j'avais envie de faire plaisir au premier venu qui me le demanderai.
Non pas pour ME faire du bien , mais pour faire du bien à quelqu'un qui ne me plait pas forcément.

Je me baladais boulevard des Italien. Je croise un monsieur d'environ 70 ans. Il me regarde de la tête au pied et s'approche de moi. Il est super bien fringué. Une allure très classe. Il me demande si je serai ok pour prendre un verre avec lui. J'accepte et nous voilà entrain de boire une coupe de champagne dans un restau pas loin de la bourse.

Il me dit qu'il a un truc étrange a me demander. Je dis que je suis près à tout. Il m'explique qu'il a un ami homo qui est en pleine dépression suite à un accident de voiture qui a bousillé sa main gauche. Il m'explique que ça fait maintenant deux ans qu'il ne sort plus, ne drague plus et qu'il reste enfermé dans sa chambre devant son ordi en buvant une bouteille de champagne le matin et une l'après midi. Il me demande si je suis ok pour l'accompagner chez lui et essayer de le sortir de là en lui faisant du bien.

Je dis que je ne suis pas homo. Il baisse les yeux et s'excuse. Il sort son portefeuilles et, sans rien dire, règle l'addition et se lève pour partir. Il me fait de la peine. Je me lève et je lui dit:
"Ok je vais venir mais je ne ferai rien je resterai passif"

Il se retourne vers moi, les yeux mouillés et me remercie chaleureusement.

Nous voilà dans un taxi. Nous allons vers le 16ièm. On s'arrête devant une résidence fermée. Il a le code, nous entrons dans un parc superbe. Je ne savais même pas que des endroits comme cela existaient à Paris. On descend du taxi et on entre dans un hôtel particulier. Il y a un ascenseur. Nous arrivons au troisième. Nous entrons dans un appartement cossu. Il me demande de rester dans l'entrée. Il entre dans une chambre, referme la porte sur lui.

Au bout de deux minutes il ressort avec un garçon d'une beauté incroyable. Il est grand, blond, mâchoires carrées, yeux verts, épaules massives, pecs énormes moulés sous un pull fin, il ne porte pas de pantalons ni de slip et je vois son sexe long et épais qui pend entre ses deux cuisses galbées et ciselées de muscles puissants. Le monsieur fait les présentations. Nous allons au salon. Salon rouge aux rideau de velours, tenture épaisses et aux meubles somptueux sortis de je ne sais quel atelier de déco pour personnes aisées, comme on dit. Le monsieur s'approche de moi et dis à son ami:
"C'est mon cadeau d'anniversaire pour toi, déshabille-le, lèche-le, suce- le, encule-le, fais -toi du bien."
le beau garçon se lève et viens vers moi. Il dit:
"excusez-le, il est malade. Je ne suis pas homo et lui, il désire me regarder en train de jouir avec un garçon. Vous êtes le cinquième hommes qu'il me ramène comme cela cette semaine."

J'observe que sa main gauche est en parfaite santé. Je suis stupéfaits. Je reste comme un con, assis, le visage à la hauteur de son sexe long, mou et veineux qui pend nonchalamment le long de ses cuisses.Je dis :
"que faisons-nous alors?"
Il me dit:
"on va lui faire plaisir, si vous le voulez bien."

Il me tend la main et je me lève, il m'attire doucement contre lui et pose ses lèvres charnues sur les miennes tout en massant ma nuque avec sa main gauche. Je sens sa langue qui cherche à entrer dans ma bouche. J'entre ouvre mes lèvres et, nous nous embrassons fougueusement. Il tâte mon torse et je l'aide a me déshabiller.

Nous voilà nu tous les deux. Le monsieur est assit sur le canapé et branle sa nouille molle . Il a la bouche ouverte et les yeux exorbités. Le garçon se baisse et met ma queue raide dans sa bouche et commence à me sucer avec frénésie. On dirait qu'il voudrait aspirer mon jut de couilles. Je masse ses trapèzes puissants, je me penche un peu et titille ses tétons durcit par l'excitation. Il se relève se retourne et dis:
"enfonce ton dard turgessant dans mon trou du cul affamé de bites".

Il écarte ses fesses musclées et me tend sa rondelle sans poils. Je m'y engouffre; son trou béant semble m'aspirer à l'intérieur de lui. Il grogne, le vieux se sturbe, je sens que je vais jouir.

Je masse ses pecs et ses abdos magnifiques. Je sors de son anus moite et je le retourne pour lui rouler un patin baveux. Il me branle la tige. Je branle la sienne. Il malaxe mes burnes pleines. Je lèche le fond de sa bouche. Soudain, il s'arrête et dit:
"Bon, le vieux doit aller faire son caca".

Et c'est là que je me réveille, dans mon lit, avec du foutre plein les draps.

Pascal

pascalsport@orange.fr

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