Cyrillo

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Histoire de bonhomme de neige.

C'est vrai que la saison s'y prête quelque peu, on est en hiver après tout? C'est juste au cas ou certains n'aurait pas remarquer le changement de saison.

Un dimanche, plutôt banal comme les autres, un ami me téléphone, et me dit que fais tu, je lui réponds rien de bien spécial ; je lui retourne donc la question, il me répond rien du tout, je lui dis, donc de passer prendre un café. Une heure plus tard il arrive.

A peine arrivé qu'il glissa devant chez moi, en sortant de sa voiture, je ne vous dit que ça, de la partie de fou rire, qui s'en est suivi. Je lui dis de rentrer, et de se mettre à l'aise. Je lui dis, qu'est ce qu'il y a comme neige, en ce moment, on se croirait dans le grand nord?
Il me dit, tiens puisque l'on est là à rien faire, autant s'occuper, et faire un bonhomme de neige ?
Je lui dis tu n'as pas peur que l'on nous prenne pour de grand enfant, il me répondit : "hey alors ? on est toujours des enfants quelque part ?". Sur ces bonnes paroles, on a revêtu nos vestes, bonnets....., je lui ai même prêté une paire de gants, et nous sommes partis faire notre chef d'oeuvre de neige.

Biensur vous vous en doutez, la construction du bonhomme de neige, n'avancait pas très vite; mais alors pas vraiment, au vu des batailles de boule de neige que l'on se faisait.

Enfin, tant bien que mal, on avait pu assembler, disons deux énormes boules de neige, l'une sur l'autre, et au moment de mettre la touche final, c'est à dire le fameux bonnet sur la tête, badoum, la tête qui chavire et l'ami qui se retrouve sur les fesses, avec une montagne de neige qui le recouvre.

On est parti à rire tous les deux, et je lui ai dit de venir se changer à l'intérieur, que je pouvais lui prêter des vêtements secs s'il voulait. Nous sommes donc rentré, et nous nous sommes dirigés vers la salle de bain. J'y suis allé en premier, pendant que Stéphane se séchait tant bien que mal. Je suis sorti, en t-shirt, caleçon et je lui ai dit vas y rentre et prend une bonne douche, ça te fera du bien. Après tu viens dans la chambre choisir les vêtements que tu veux porter.

Je me suis allongé sur mon lit pendant qu'il prenait sa douche, et il est venu me rejoindre en peignoir. Je lui dit tiens, choisit, ta tenue. Il choisit un caleçon blanc, et je lui dis montre, il lui allait à ravir. Il prit par la suite un t-shirt blanc lui aussi, et se retourna vers moi en me disant, c'est parfais comme tenu. D'un coup, sans que je comprenne pourquoi, il se jeta sur moi pour me dire, tu vas voir à me balancer de la neige sur la tête toi, tu vas me le payer.

On se chamaille quelque peu, il se relève et là je vois à travers le caleçon que son pénis est gonflé, j'essaye de comprendre pourquoi, et il le remarque. Il me dit, tu vois avec tes conneries, maintenant dans quel état je suis; je lui dis, ah bon mes bêtises, ok. Il se relève moi je lui tire le bras, et il tombe sur moi. Il se retourne, et commence à essayer de m'embrasser, je l'esquive. il me dit désolé je voulais pas te braquer. Je lui dis non, mais bon soyons un peu sérieux pour une fois. Il me dit, on ne peut pas être plus sérieux. Alors à ce moment là, il m'embrassa longuement et de façon très tendre, ce qui me procura, une certaine protubérance au niveau de mon caleçon, ce qui ne le laissa pas indifférent.

Il commença à me relever le t-shirt, et à m'embrasser tout le torse. J'étais au paradis, je savourais tous morceaux de cet instant magique. Je lui rendis bien l'appareil , et en lui faisant une fellation qu'il ne pourra pas oublier de sitôt. Alors il me demanda, si j'avais une capote sous la main, car il voulait aller plus loin, je lui tendis la capote qu'il enfila aussitôt.
Il me retourna, pour venir me lécher l'anus de façon de plus en plus fougueuse, ce qui me faisait gémir. Après, il s'appuya sur mon dos, et là je sentais qu'il allait me pénétrer. Ce qu'il fit quelques secondes plus tard, il le faisait avec beaucoup de tendresse, et j'en étais d'autant plus comblé. Il accéléra le mouvement, de plus en plus.

Sentant qu'il allait jouir, il me dit, de bouger, quelque peu, pour venir m'asseoir sur lui, et là je le fis sans aucune hésitation. Je donnais le mouvement à suivre, et puis je l'embrassais en même temps, ce qui nous donnait à tous les deux un plaisir immense.
Il se retira, me fit m'allonger sur mon dos, et vint m'éjaculer sur le torse, le bonheur se lisait sur nos visages, on venait de prendre un pied inimaginable. Par la suite on s'est embrasé, et on a fini la nuit dans les bras l'un de l'autre, après un bon repas bien mérité, devant un joli feu de cheminé.

STORY

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