MON POTE ME BRANLE DANS LE METRO.Plus on est de fous, plus on jouit... Son truc à Victor, c'est de s'envoyer en l'air devant des gens. Plus il yen a, plus la situation est " dangereuse ", mieux c'est pour lui. Moi, ça ne me dérange pas trop mais un peu quand même ! Dès que la rame démarre, Victor se colle contre moi. Sa cuisse se frotte avec insistance sur ma braguette et je me mets évidemment à bander. Voyant qu'il me fait de l'effet, il appuie un peu plus son attouchement, et remplace très vite sa cuisse par une main. Au milieu de tous les voyageurs, je commence à être plutôt gêné, d'autant qu'il sait y faire pour m'exciter, Victor ! Ma résistance l'excite. Plus c'est risqué, plus il aime ! Encore moins discrètement, il se met à me peloter la queue à pleine main. Je me recule légèrement, mais il insiste. Les gens autour de nous commencent à se retourner. Victor est aux anges, ça décuple son audace. Il se fout complètement de ce que je lui raconte ! Au contraire, ça l'amuse... Le R.E.R. stoppe à une station. Mouvements de foule. On est encore plus nombreux, plus serrés. Haletant d'excitation, Victor me tripote la queue avec de plus en plus d'acharnement. Ses doigts vont et viennent sur ma bite dressée. Ils la décalottent doucement et roulent mon gland avec fermeté. Je respire difficilement. " Tu vois bien que tu aimes ça ! Petite sainte Nitouche ! Je te sens prêt à décharger ! " Le voyageur qui est juste à côté de moi me regarde fixement en souriant. Il se colle un peu plus à moi et il se met à me caresser les fesses avec insistance. Je ne peux pas protester : qu'est-ce que je pourrais dire ? Je le laisse faire et lui tends mon cul... Victor a vu le manège. Je le préviens en chuchotant : Il astique mon zob à toute allure, sans la moindre discrétion, comme si on était seuls dans la rame. Son coude va même frapper le dos d'une femme qui évidemment fait volte-face, l'air très fâché. J'ai honte, je sens les pleurs monter, mais je serre les dents pour ne pas râler de plaisir pendant que je jute dans mon pantalon, sur les doigts de Victor. Histoire extraite de MARCUS #2, 1990. etienne02etienne02500@caramail.com Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |