Cyrillo

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Au bureau

Bien que totalement seul dans mon activité professionnelle, mon bureau est situé au sein d'un complexe avec d'autres services. Heureusement, une salle de café et une salle fumeur me permettent de rencontrer ces collègues de locaux. En deux ans, j'ai déjà pu remarquer que certains d'entre eux sont charmants.

Je suis particulièrement troublé par un grand brun, Alexandre, d'environ 30 ans, élancé qui a l'air légèrement poilu et surtout arbore fièrement un joli paquet quand il met un pantalon moulant. Malheureusement, il ne fume pas. Les rencontres sont donc simplement du bonjour bonsoir, tout de même appuyées par une bonne poignée de main. Je ne manque pas de la mater à chaque fois qu'il passe devant mon bureau.

Le service dans le quel il travail fait régulièrement appel à des intérimaires, c'est lui qui embauche. Habituellement, les personnes retenues sont toujours de filles, car les taches sont principalement du secrétariat.

Au début de la semaine, alors que je fumais tranquillement ma clope, la porte s'ouvre et un superbe brun d'environ 25 ans entre. J'ai un peu de mal à lui dire bonjour sans lui sauter dessus. Les yeux bleus, un pantalon velours moulant son petit cul et son paquet sans pur autant provoquer, un visage carré, mal rasé, on devine même des muscles. Bref, le fantasme qui devient réalité.

Au cours de la semaine, j'essaie donc systématiquement de surveiller la salle de pause pour m'y rendre en même temps que lui.
J'apprend que son contrat ne dure qu'une semaine, et ne parvient pas à lui faire part de mon attirance. De toute manière il est nécessairement hétéro. Pour autant, il ne porte pas de bague, et ne fait pas référence à sa vie privée.

A chaque pause je me débrouille pour m'installer à côté de lui et à laisser traîner mes pieds dans sa direction au cas ou il souhaite me montrer de l'intérêt.

Rien, aucun signe. J'en prends donc mon parti, le vendredi arrivant, je sais que je ne le reverrais sans doute jamais.

Ce jour là, je termine plus tard que d'habitude, et avant de partir, je pense que les locaux sont vides. Pourtant, je vois sa voiture sur le parking ce qui est étonnant pour un intérimaire à cette heure.

Je pars alors à la photocopieuse qui n'est pas loin de son bureau. Tout semble calme et vide.
Je me résous alors à rentrer chez moi. En repartant, je passe à côté du bureau d'Alexandre, et j'entends comme un gémissement.
Je m'arrête et écoute. Par la vitre, je regarde discrètement. Alexandre est assis à son bureau mais ne semble pas travailler, il est comme ailleurs.

Je me décide alors à frapper et à entrer sous un prétexte futile : " à quelle heure tu part ? "

Il est surpris de me voire, et a du mal à articuler une réponse : " ben, bientôt, je fermerais si tu veux.... Enfin sauf si tu veux rester un peu "

" Je veux bien rester un peu, pourquoi faire ? "

J'étais alors très excité, je pense que la bosse qui gonflait dans mon pantalon avait retenue son attention.

" Approche " La voix était douce, grave et suave. Je fait le tour du bureau et constate que la braguette est ouverte, et qu'une magnifique pine d'au moins 20 cm en sort. Elle est turgescente, humide, chaude et raide comme un piquet.

Sous le bureau j'aperçois notre intérimaire, un peu gêné, mais avec des yeux plein d'envie.

" Tu veux jouer avec nous "

" avec grand plaisir, nous sommes seuls dans les locaux ? "
" oui "

je me jette alors sur Alexandre, lui roule une pelle et descend doucement vers son chibre.
Quand je le prends en bouche, il est bon chaud, vigoureux, Alexandre commence à me masser le paquet. Ma queue ne tiens plus dans mon slip, il déballe le paquet.

Pendant ce temps l'intérimaire me roule une pelle, nous suçons Alexandre ensemble.

La position n'étant pas confortable, l'intérimaire sort du bureau, nous nous foutons à poil et nous installons au sol. Chacun prend une queue en bouche avec avidité. Le plaisir est intense, fabuleux. Je baise avec deux fantasmes vivants.
Notre jeune intérimaire semble en vouloir plus, Alexandre commence à lui triturer la rondelle, il aime. Il le prend alors doucement. (Comme par hasard, il avait des capotes dans son bureau.) Puis plus sauvagement, pendant ce temps je le suce, et Alexandre me branle.

Nous jouissons tous ensemble en déversant notre semence sur l'intérimaire.
Heureusement que nous étions seul, car les cris ont été importants.

Le jeune intérimaire nous informe alors que c'est sa première expérience homo, mais certainement pas la dernière. Chacun rentre chez soi.

Le lundi suivant, je croise Alexandre, et discrètement, je lui dis que s'il a besoin, je peux l'aider à recruter du personnel.

Le petit intérimaire reviendra peut-être nous voir.

P'tit cadre

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