Cargo de nuitLe port de commerce, les quais, les bars, les marins. . . Premier rade, plein de monde, en buvant ma bière je regarde s'il y a un mec qui me convient. Bien que je me fasse mater, ils sont tous en groupe, ce n'est pas là que je vais trouver. Deuxième rade, en entrant, je l'ai repéré, j'ai le flair pour ça. Il est accoudé au comptoir, seul, blond, bouclé, la braguette lourde. Je vais près de lui, demande une bière, je lève ma chope vers lui, il fait pareil et quelques minutes après on est déjà copains. Je paie ma tournée et on va s'asseoir à une table. Je pose une main sur sa cuisse, il fait pareil. C'est dans la poche, il me propose d'aller sur son bateau. On arrive à son bateau, un cargo, on franchit la passerelle, on traverse le pont, on descend un escalier métallique, un couloir, puis on entre dans sa cabine qu'il referme à clé derrière nous. On se fout à poil, il bande déjà, il me fout à genoux devant lui et me fourre sa grosse bite dans la bouche. Putain l'engin ! J'en ai plein la gueule, il me la fout presque entière, j'ai le nez dans ses poils, ça pue la pisse et le poisson, mais tant pis, un morceau comme ça, ça ne se refuse pas. Je le pompe avec frénésie pendant un bon bout de temps jusqu'à ce qu'il se retire violemment et gicle des grands jets de sperme chaud sur mon visage, j'en ai sur la joue, dans les sourcils, dans les cheveux. Il prend une serviette de toilette douteuse, s'essuie la bite avec en premier et me nettoie la figure après. Ensuite, il me tourne, dos vers lui, se penche et commence à me brouter le cul, sa langue épaisse s'enfonce dans ma prunelle et me lape furieusement. Sa bite qui s'était ramollie se redresse bien dure, il arrête de me bouffer le cul et s'apprête à me pénétrer. Stop ! Pas sans préservatif ! Je lui en mets un et aussitôt il me fout sa grosse tringle dans le trou. Il m'avait bien préparé avant, la douleur est pas trop méchante, il se démène activement, il ne prend pas de précautions, une vraie bête ! Et vas-y que je te baise. . . Comme il a déjà juté, il met du temps à recracher ses spermatos. Qu'est-ce que je prends dans le cul ! J'en veux plus, j'en ai encore ! Enfin je le sens se raidir, il arrête de me défoncer. Il se retire, jette la capote, se couche sur son lit et s'endort aussitôt, je l'entends même ronfler. Il m'entraine dans sa cabine et la ferme à clé derrière nous.On se fout à poil, sa bite est comme son propriétaire, longue et maigre, un sacré barreau bien dur. Il passe derrière moi et sans rien demander il veut me la foutre dans le cul comme ça, sans rien. Stop ! Pas sans préservatif ! Je lui en mets un et aussitôt il se met à me tringler. Par contre, lui c'est un doux, il prend son temps, il s'applique à faire des mouvements bien calculés qui me donnent bien du plaisir. Pendant qu'il me baise, il n'arrête pas de jacter mais je ne comprends rien de ce qu'il dit, il ne parle pas français. Pourtant il me murmure sans doute de jolies choses à l'oreille et je remarque qu'un mot revient souvent dans ce qu'il me dit c'est "Gina". Tout d'un coup je comprends tout : il est en train de me sauter en pensant à sa meuf ! On me l'avait encore jamais faite celle-là ! Mais bon, c'est quand même moi qui en profite, en plus il baise bien, on sent qu'il a le truc pour faire jouir tout ce qu'il touche, c'est un pro de la baise, sa bite arrive où on ne l'attend pas, il sait bien jouer avec. Il parle toujours, quelle chance elle a cette Gina ! Qu'est ce qu'elle va prendre à son retour à terre ! Mais pour l'instant, c'est moi Gina et je ne m'en prive pas. J'ai donc droit à un deuxième service. Comme ses copains, il ferme à clé et nous nous mettons à poil (c'est un rite chez eux ?) j'entreprends de le sucer en premier mais ça ne dure pas longtemps, ses poils puent le chat crevé, alors cette odeur mélangée à celle du mazout et de la peinture me donne l'envie de gerber. Je ne peux pourtant pas le planter là ! Alors je me relève, je lui pose un préservatif et je lui tends mon cul. Ouf ! Il n'attendait que ça ! Après le sauvage et l'amoureux, j'ai affaire au travailleur, il m'encule méthodiquement, ses mouvements sont lents, réguliers, on dirait qu'il est sur une chaîne : quand il rentre ça fait schlack, quand il sort ça fait slurp, j'ai donc droit à un longue série de schlack et de slurp qu'il me fait en cadence. Contrairement à ses collègues qui ne m'avaient pas touché la queue, il a empoigné la mienne et s'en sert comme un levier de vitesse, il l'abat et la relève au rythme des schlack et des slurp, ça m'amuse beaucoup, on ferait presque une musique là-dessus. Il me pilonne longtemps, longtemps, je commence à avoir le cul qui chauffe, tout à l'heure le préservatif va sentir le caoutchouc brûlé. Enfin après une éternité il envoie la purée. Je sors sur le pont, ça fait du bien de sentir l'air frais, j'approche de la passerelle, merde ! Un marin est en train de la monter, je suis obligé de le laisser passer. Tu ne veux pas me faire un câlin ? J'ai besoin d'amour ! Il est tellement mignon et en plus je n'ai pas baisé alors je le suis dans sa cabine à l'avant du bateau. Je me marre dans ma tête, il a fermé sa porte à clé et on s'est foutu à poil, comme ses équipiers. J'ai été debout toute la soirée, je le prends donc à la paresseuse, je m'étends sur le lit et il vient s'empaler sur ma queue (protégée) toute droite, il monte et descend le long de ma bite, c'est bon ! Ses couilles frappent mon bas ventre et me donnent des frissons à chaque coup. On s'est offert plus tard une deuxième troussée. Je le quitte après lui avoir donné mon numéro de téléphone (on remet ça chez moi la nuit prochaine, le cargo part dans deux jours). La nuit fraîchit, il est plus de quatre heures... Zicomsylvestig@orange.fr Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. 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