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Ce matin là...
Déjà plus d'un mois que j'étais surchargé avec des journées de travail de plus de 10 heures. Compte-tenu de ces difficultés professionnelles, le stress accumulé me réveillait très tôt le matin, parfois une ou deux heures avant la sonnerie du réveil. Ce jour-là, je m'étais réveillé à 05h30.
J'étais allongé sur le ventre juste à côté de Bruno, mon partenaire depuis bientôt dix années. Il dormait, son bras gauche enroulé autour de notre ami Stig arrivé à Paris cinq jours plus tôt pour passer deux semaines de vacances avec nous.
Stig est norvégien, célibataire, rudement beau. Un mek hyper chaud qui aime le sexe.
Il a un très beau corps et surtout un cul des plus agréables, ses fesses sont bonnes à caresser. Depuis son arrivée, nous nous étions retrouvés tous les trois pour de merveilleux ébats au moins une ou deux fois par jour. Quel pied,jamais je n'avais joui si fort et si souvent.
Alors que je cherchais vainement la solution à un problème en suspens depuis deux jours, Bruno, que je croyais endormi, s'est retourné vers moi et j'ai senti sa main se balader sur mon dos nu. Au bout de plusieurs longues secondes, sa main avait atteint le creux de mes hanches. Avec une caresse aussi sensuelle, j'étais déjà entrain de bander. Sa main était maintenant entre mes jambes jouant avec mes lourdes couilles rasées...
Bruno s'était glissé le long de mon corps, sa bouche vorace essayant d'attraper ma bite. Au bout d'un moment, je me suis retourné. Dès qu'il y eut accès, il a commencé à embrasser ma bite maintenant bien dure puis l'a introduite dans sa bouche chaude et humide, petit à petit jusqu'à ce qu'il l'ait toute avalée.
Rien ne le satisfait davantage qu'une énorme bite traçant son chemin jusqu'au plus profond de sa gorge.
C'était vraiment bon, la pipe que me taillait Bruno provoquait l'effet désiré et après de longues minutes de ce merveilleux traitement, ma bite était prête à exploser.
L'ayant senti, Bruno s'arrêta et se pencha vers moi, sa bouche vint à la rencontre de la mienne. Sa langue avait commencé à sonder ma bouche, ce fut un des baisers les plus érotiques qu'il m'ait été donné de recevoir.
Puis je lui ai demandé de se mettre en position à quatre pattes m'exhibant ainsi son petit trou d'homme tout chaud. J'ai pris une petite dose de gel et ai lubrifié mes doigts. J'ai commencé à travailler son petit trou, d'abord avec un seul doigt. Bruno a commencé à gémir et à jouer des hanches pour l'avaler tout entier. Dès qu'il fût assez détendu, je lui ai appliqué encore plus de gel et ai introduit un deuxième doigt, le plus profondément possible. Son cul s'ouvre bien, facilement, il a été bien entraîné. Je l'ai ainsi baisé pendant de longues minutes.
J'ai demandé à Bruno de se retourner vers moi ainsi je pouvais le voir en train de se branler. Je voulais le voir cracher son jus d'homme sur mon ventre.
Louison, je veux ta queue, mets la moi profondément.
Je ne pouvais pas résister à cet appel. Ses désirs sont des ordres.
Je l'ai alors attrapé par les hanches, plaçant ma bite contre son petit trou chaud, humide et très serré et commençai doucement mais fermement à m'y introduire. Il commençait déjà à haleter, j'ai fait une pause en lui demandant de se détendre. Quand il fût accoutûmé à ma tige bien dure, j'ai poussé autant que je pouvais, mes boules collées contre ses fesses et alors lentement j'ai commencé à le baiser méthodiquement...
Son trou était toujours aussi serré et de plus en plus chaud. Bruno, jouant des hanches, commençait à prendre les choses en main.
Tu aimes çà, n'est-ce pas ? Elle te plait ma bite ?
Avoue ! Dis-le que tu aimes çà ! lui ordonnais-je alors que je faisais toujours glisser mon pénis dans son cul, poussant jusqu'à la garde, de grands coups de queue qui le faisait hurler.
Oui c'est bon. J'aime çà ! Oh yeahhhhh, fuck my ass ! Oui, encore, encore ! Ne t'arrête pas !
Cela était vraiment excitant d'observer mon mek en train de se branler tout en s'empalant littéralement sur ma hampe, il montait, descendait, remontait tout en ondulant son merveilleux corps.
A ce rythme là, j'étais certain de ne pas pouvoir tenir très longtemps, je devais me contrôler pour ne pas éjaculer tout de suite, je voulais rester en lui encore longtemps. À ce moment, Stig s'est réveillé. Après nous avoir observé pendant quelques minutes, il a abaissé le drap de soie découvrant son corps ferme entièrement nu. Il s'est alors tourné vers nous, révélant sa bite exceptionnelle, il était déjà en érection.
Sa bite se déploya rapidement jusqu'à se retrouver fièrement dressée, le gland bien dessiné hyper gonflé par l'excitation. Il la prit en main et commença à se branler. Bruno éprouvait de plus en plus de plaisir à chevaucher ma bite et Stig était maintenant complètement éveillé et vraiment excité. Il commençait déjà à mouiller. Du bout de mes doigts, je récupérais les premières perles de son jus d'homme pour porter ce nectar à mes lèvres. Allongé à mes côtés, un bras autour de mon cou, Stig m'embrassait avidement, ses doigts jouant avec le piercing de mon téton gauche pendant que Bruno se penchait pour venir titiller l'autre du bout de sa langue. Des frissons parcouraient mon corps des pieds à la tête.
Stig a alors changé de position pour venir s'asseoir à califourchon sur mon torse. Il était face à Bruno. Ces deux garçons hyper chauds s'embrassaient maintenant profondément tout en se branlant. C'était vraiment trop excitant d'avoir Stig assis sur mon torse, je contemplais ses fesses bien faites, la raie de son petit cul juste sur mon visage pendant que Bruno était empalé sur ma tige.
Stig a un petit cul musclé, vraiment magnifique. J'ai enfoui mon visage dans sa fente pour lui titiller la rondelle et introduire ma langue aussi loin que je le pouvais. C'était un vrai régal ! Il a commencé à frétiller de plaisir.
C'est ce que je fis. Sans hésiter, je commençai à mettre un doigt dans son cul, mon index allait et venait, de plus en plus vite, de plus en plus fort dans son petit trou bien serré.
Stig se leva, sa queue était maintenant juste face à Bruno.
Donnes-moi ta queue ! Stig s'est introduit lentement dans la bouche de Bruno, il s'est retiré pour mieux le pénétrer à nouveau. Avec ma queue bien plantée dans son anus, Bruno était au septième ciel... Stig lui a bloqué la tête et a poussé sa tige en entier jusqu'au plus profond de sa gorge. Il glissait dedans et dehors de plus en plus rapidement. Ses couilles frappaient inlassablement son menton.
Vas-y Louison, fuck him ! Il aime çà ! s'écria Stig, tout en plaçant ses mains sur les épaules de Bruno le plaquant sur ma tige, à chaque fois un peu plus fort... pour l'empaler encore plus profond.
La respiration de Stig s'était accélérée, la sueur perlait dans son dos et s'écoulait goutte à goutte sur ses reins et jusqu'au creux de ses fesses.
Le plaisir m'était devenu insupportable. C'en était trop, j'avais atteint le point de non retour. Tout mon corps s'est contracté et j'ai éjaculé violemment, c'est un geyser de mon jus qui inonda les entrailles de Bruno.
Ummmhhh que c'était bon !
Je suis resté longtemps avec ma bite au plus profond de lui, appréciant la moiteur de son intimité. Son anus se contractait, prolongeant encore mon plaisir.
Bruno était encore en train de sucer Stig, il s'arrêta soudainement,
OOOOHHHHHHHH, Je vais cracher !
Do it ! Do it ! s'écria Stig.
Il a craché tout son jus, de belles longues giclées, abondantes, mon torse était couvert de son foutre. Du bout des doigts, j'ai tout récupéré et l'ai avalé, goutte par goutte jusqu'à plus soif.
Stig ne pouvait plus se contenir, son sperme a fusé en longs jets chauds maculant le visage de Bruno, les lourdes gouttes blanches s'écoulant ensuite sur son beau torse lisse.
Nous étions totalement épuisés, nous nous sommes effondrés sur le lit nous embrassant mutuellement jusqu'à ce que notre respiration soit redevenue normale.
Ce matin là, je fus en retard au bureau... mais quel délice j'avais goûté.
Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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