Mon petit chaserCeci est le récit d'une rencontre qui a fait vaciller mes certitudes, et qui à ses débuts m'a vraiment désorienté. Tout a commencé un soir, cet hiver.... J'ai rendez-vous pour 20h chez un habitué qui apprécie tout particulièrement de visiter ma bouche. Ce soir, pour me faire plaisir (mais aussi pour lui), il a invité un mec que je ne connais pas et il a prévu de me bander les yeux afin que ce dernier, un peu timide, ne soit plus à l'aise. Moi j'aime bien ce genre de plan où ma bouche est mise à dispo de mecs par un pote, surtout lorsqu'il les a averti auparavant qu'ils vont aimer ça... ça renforce l'idée que je vais "passer à la casserole", et qu'il n'y a rien que je puisse faire pour échapper à mon sors de salope. Bref, ça m'excite! Cependant, on ne peut pas être au top tous les jours! Même les meilleures salopes doivent de temps en temps sucer sans conviction... Et là, justement, je ne suis pas très chaud. Comme je suis plutôt en avance, je décide donc d'aller chasser un peu dans les bois derrière la fac. Comme dit l'adage: l'appétit vient en mangeant, et c'est exactement l'effet que j'en attends. Sucer quelques queues va me chauffer pour me montrer bien gourmand avec mon hôte. En arrivant sur le parking, il y a quelques voitures. Mais à cette heure-ci ça peut aussi bien être des membres du personnel de la fac, ou des étudiants. Pas de quoi s'affoler. Mais pendant que je me gare, je remarque qu'une voiture qui venait de manoeuvrer pour partir entreprend de faire demi-tour et se range à nouveau à proximité. Tout de suite je comprends que je devais surveiller le mec qui va en sortir, il y a sans doute là une queue qui a une grosse envie. Effectivement, il m'embarque le pas dès que je m'avance vers le couvert discret du bois qui s'étend jusqu'à la rivière, en contrebas. En temps normal, le comportement de ce mec, bien décidé à me suivre, m'aurait mis la gaule aussitôt avec émotion, un serrement au ventre accompagnant avec délice la certitude que j'allais devoir donner tout le plaisir désiré à cette queue qui me prenait en chasse. Mais ce soir, ça va un peu vite. J'aimerais disposer de quelques minutes seul pour faire tourner mon imagination, quitte à utiliser ma main droite, avant qu'un mec ne se décide. Je ne suis pas du genre à me défiler, et puisqu'il était déterminé, je m'incline donc à ses pieds lorsque nous nous retrouvons à l'abri des regards. Je ne prends pas le temps de le détailler: un coup d'oeil m'indique qu'il doit mesurer environ 1m70, être âgé de 25-30 ans, et qu'il est plutôt fin. J'admire la platitude de ce ventre qui descend vers un relief excitant sous la ceinture. C'est suffisant pour me motiver à lui prodiguer mes "soins". Sa queue est douce, ni longue ni très épaisse, mais très dure de la base au bout du gland. Il en veut: il me tient très vite la tête derrière la nuque pour encourager mes mouvements. Son geste n'est pas brutal, mais il n'y avait aucun doute sur son intention: pas question de lui suçouiller le bout de la queue et de se défiler ensuite. Bien que peu motivé, je m'applique donc à lui procurer le maximum de sensations, et il ne met pas longtemps à me récompenser de quelques salves de sa sève chaude, que je m'empresse d'avaler avec délice, prenant soin de lui épargner le recours à un mouchoir en papier. Je n'aime pas faire les choses à moitié... Et je sais qu'agir ainsi est la plus sûre façon d'avoir ce mec pour moi la prochaine fois qu'il me verra. Habituellement, on s'en tient là... Parfois le mec se montre un peu loquace, mais le plus souvent il remballe et s'en va vite fait. Mais ce mec là a quelque chose en tête. Il veut m'embrasser.. Rien de plus banal que de se bécoter un peu, me direz-vous... Oui mais pour moi, non. Je n'embrasse pas. Réaction plutôt curieuse pour un mec si salope qu'il avale plus souvent qu'il ne recrache... Mais bon, il doit y avoir autant de façons de vivre sa sexualité qu'il y a de mecs sur terre, non? Les rares qui ont tenté jusqu'à maintenant ont presque toujours essuyé un refus poli, mais ferme, définitif. J'ai toujours trouvé le roulage de pelle répugnant, la simple image d'un mec un peu mature s'approchant de mon visage pour m'embrasser me donnant envie de vomir... A part une exception l'été dernier, qui m'avait laissé songeur sur ce sujet: je me souviens que j'avais dû céder aux caprices d'un grand métisse de 25 ans, si mignon, si désirable, qu'il avait pu me demander n'importe quoi pourvu que j'ai droit à ma récompense à la fin. Il ne s'en était pas privé! Et c'est vrai que, curieusement, j'avais appris avec lui à apprécier cette visite conjointe de nos bouches, cet échange de salive.. Ce n'était pas sexuel mais ça m'avait laissé tout chose. Depuis ce jour j'envisage la chose moins farouchement, même si je ne suis prêt à accorder cette pratique qu'aux mecs les plus désirables à mes yeux. Et donc, je sais que ce soir, je vais renouveler cette expérience si troublante. Relevé, face à celui qui va devenir "mon petit chaser", je découvre alors son visage: un sourire d'ange, des yeux brillants, pétillants, qui plongent sans retenue dans les miens. Je suis toujours mal à l'aise lorsqu'on me regarde dans les yeux... Son regard insistant agit sur moi comme un aimant, un piège auquel je me soumets. Nos visages s'approchent, se rejoignent, nos mains découvrant nos corps pendant que nos langues s'apprivoisent.... L'émotion qui s'empare de moi est difficile à décrire... Le soudain désir irrépressible de m'abandonner à lui, de laisser les évènements se dérouler. Je suis sur un nuage, le temps n'existe plus, je ne vis plus que pour cet instant, pour ses lèvres, sa langue, la douceur de sa peau brûlante que mes mains parcourent sous ses vêtements d'hiver ... Les meilleures choses ont une fin. Une parcelle froide, calculatrice, dénuée d'émotion de mon esprit me rappelle que j'ai un rencard, et qu'il faut mettre fin à ce vol plané. Nous retournons donc vers le parking, à regret visiblement pour lui comme pour moi, en prenant notre temps. Une fois sous les feux de l'éclairage public, nous pouvons nous détailler à loisir. Quel mec! Une gueule d'ange, un large bouche affichant un sourire d'une sincérité désarmante. En même temps je suis gêné par son regard qui contraste avec son angélisme: il me scrute dans les moindres détails, comme un félin qui contemple sa proie en se demandant quelle pièce de viande il va arracher en premier. Je ne suis pas très à l'aise avec ma plastique, et l'insistance de son regard m'est presque insupportable, mes émotions oscillent entre le plaisir grisant d'être ainsi regardé et la crainte de déplaire, je suis désorienté. Ma gêne arrive à son comble lorsqu'il veux me photographier avec son téléphone, pour "garder un souvenir"... Nous discutons donc un moment, le temps qu'il m'apprivoise... Il m'apprend qu'il est plutôt passif et qu'il a flashé sur mes rondeurs. J'ai bien du mal à le croire! Il m'est déjà arrivé de rencontrer des mecs qui apprécient mon côté nounours, mais à ce point, jamais. Il est comme fasciné. Il veut qu'on se revoit la semaine prochaine, et bien sûr, je suis enthousiasmé à l'idée de l'embrasser à nouveau, le caresser.... Il est si mignon! Nous nous séparons après avoir échangé nos numéros de téléphone, et je me presse pour aller tenir mes engagements, avec une bonne demi-heure de retard... Je vous raconterais peut-être cette soirée dans un autre récit... La semaine se déroule sans histoires...Bien que troublé toute la semaine par ma rencontre, je reste fidèle à mes habitudes et sorts le soir soulager quelques queues qui en ont grand besoin. Je commence à être impatient: le mec qui hante mes pensées depuis quelques jours va-t-il m'appeler? Je ne tarde pas à être fixé: il m'appelle pour me convier le mercredi soir. J'ai l'adresse, l'étage, le numéro... ça se précise! Je me présente donc chez lui dans la soirée de ce mercredi de fin février. Il m'ouvre.... Je peux enfin le voir en pleine lumière. Toujours ce sourire magnifique, sincère, avec ses yeux qui m'interdisent de détourner mon regard... Il a les cheveux poivre et sel, très courts, je suis sous le charme.Je ne sais pas s'il l'a deviné, mais il pourra me demander n'importe quoi... Il commence en tout cas par me rouler un palot bien marqué. Il m'a fait comprendre la semaine passé qu'il adore ça, et qu'il aime en plus échanger les salives. Moi, la salive, c'est vraiment pas mon truc. Mais là... ce mec rayonne le bonheur comme un soleil, je ne veux surtout pas faire de l'ombre.... Je joue le jeu, avec un peu de retenue pour l'instant, mais déjà je sens que je vais aimer ça. Il m'embarque vers son salon. Marrant comme on peut en apprendre sur la personnalité de quelqu'un en quelques minutes d'observation! Cet appartement est propre. Très propre. Et la moindre cendre qui tombe par terre entraîne la sortie de l'aspirateur. Je ne suis pas du tout un maniaque de propreté, et le voir stresser comme ça pour une micro-poussière m'amuse terriblement: j'ai découvert un petit accroc dans la perfection de cet ange. ça le rend plus désirable encore! Nous ne tardons pas à nous découvrir. Lui a froid alors qu'il fait 25° dans son appartement surchauffé. Moi j'ai trop chaud, et je veux lui enlever son affreux pyjama pour le manger du regard, en attendant de le manger tout court. Je ne suis pas habitué à prendre mon temps, moi qui suis un habitué des plans directs sans blabla. Lui ne veut pas griller les étapes, et il a l'air de savoir mener son jeu. Nous finissons tout de même par être nus, et le corps à corps peut commencer.. Assis sur le petit canapé de son salon, nous nous mangeons la bouche, nos langues se croisent et s'emmêlent, c'est voluptueux. Mon petit chaser aime les mecs massifs, les odeurs de mâle qui a chaud, il lèche goulûment mon front ruisselant de sueur fraîche, les aisselles, me respire avec envie. J'ai mal pour lui, je ne partage pas encore son goût pour les odeurs, mais... je suis forcé de constater qu'il aime ça: il bande mon salop! Sa belle queue est dressée, raide. Je l'ai déjà sucée, mais c'est la première fois que je la vois. Elle n'est pas démesurée, sans être petite. Elle n'est pas très épaisse non plus. Son gland est décalotté, il est bien rond, tout rose, brillant. j'ai de plus en plus envie de m'emparer de cette gâterie, d'observer ce petit corps réagir sous mes coups de langue. Je délaisse sa bouche chaude et gourmande pour effectuer une descente vers l'objet de mes convoitises. Il s'allonge sur le dos, je le surplombe. Sentiment grisant que de l'avoir ainsi à ma merci; si je le voulais, il ne pourrait pas résister à mes assauts, il ne fait pas le poids. Mais... je suis bien trop civilisé! Sa peau, sans être brune, est plus bien plus mate que la mienne - je suis blond foncé, ma peau est plus blanche - il dispose d'un pelage doux sur le torse, et sublime invitation une piste d'atterrissage légèrement velue, de quelques centimètres de large, parcoure son petit ventre chaud jusqu'à son pubis. Je ne résiste pas davantage et gobe sa queue, l'envoyant visiter ma gorge directement. Je suis tellement troublé par la fascination que ce mec exerce sur moi que j'ai bien du mal à me comporter en vraie salope comme à mon habitude. J'ai peur de ne pas le satisfaire, qu'il ne veuille pas me revoir, et du coup je trouve ma prestation de bien piètre qualité. Je m'efforce tant bien que mal d'exercer mes talents, il me motive en y mettant du sien. Pour un passif, il a un sacré penchant pour l'irrumation: il glisse ses mains derrière ma nuque et exerce une forte pression pour me limer la bouche. Heureusement qu'il n'est pas trop bien équipé, sinon il m'étoufferait! Je fais une pause en remontant goûter à sa bouche - j'y ai vraiment pris goût - et il entreprend alors de me téter à son tour. j'avais presque oublié qu'il est avant tout passif, bien salope, comme moi. Il engouffre ma queue avec avidité, astique vivement. Je me suis assis, vautré sur le canapé, il est installé entre mes cuisses. Ah! Si j'étais actif! Le spectacle de cet ange qui me pompe goulûment... C'est trop excitant, je n'ai pas l'habitude, il faut que je fasse cesser ça tout de suite sinon je vais le garnir de foutre et saloper son canapé.. Je veux garder mon énergie pour faire de nouvelles découvertes. Je lui fais part de mes désirs, et il m'invite à aller dans sa chambre, où nous serons plus à l'aise. Il y fait plus sombre, et je vais être d'autant plus à l'aise que dans son salon, la baie vitrée, bien qu'il n'y ait pas de vis-à-vis à proximité, offrait un sacré spectacle à ceux qui se seraient donnés la peine d'observer. Sur son lit, nous reprenons nos caresses. Je fais attention de ne pas l'écraser - je dois peser presque deux fois son poids - je lui offre ma salive en l'embrassant. Ma main commence à s'aventurer sur sa rosette... Je n'ai jamais fait ça, mais j'ai de plus en plus envie d'être en lui, de sentir son cul me serrer la queue. Ses yeux brillants sont toujours plantés dans les miens, son sourire m'invite à aller plus loin. Il sort une capote de la table de nuit. Le temps d'enfiler la protection et il lèves ses jambes, m'offrant l'accès à son trou. Après quelques secondes d'hésitation, me voilà déjà calé bien au chaud. C'est doux, toute ma queue est sollicitée par son tunnel. Il va me falloir redoubler de vigilance si je ne veux pas venir trop vite! Je commence mes va-et vient, tout en lui dévorant la bouche, lui offrant toujours plus de salive. Décidément le sentiment de pouvoir dominer ce petit corps est trop excitant, j'aimerais que ça dure toute la nuit. Mais il n'est pas question de domination dans notre relation, je me fais doux, câlin, et je découvre que j'aime ça. J'ai tout de même envie de profiter un tout petit peu de mon avantage.. Sans déculer, je décide de le soulever pour le placer à cheval sur ma queue, m'allongeant sur le dos. C'est terriblement bon: il monte et descend sur ma queue qui s'enfonce à la garde, tout en appuyant ses mains sur mes pectoraux. Il est ma femelle qui donne du plaisir à son mâle. Si tu me lis, P. (je ne vais tout de même pas vous donner ses coordonnées!), rappelles-toi que cette position me fait grave kiffer pour une prochaine fois! Mais... il ne l'entend pas de cette oreille, décide de reprendre notre position précédente. Je ne me fais pas prier, ce que je désire avant tout, c'est le combler de plaisir, pouvoir jouir encore et encore de sa peau, de son trou, de sa queue... Il semble apprécier d'être bien limé, alors j'accélère le mouvement, je m'enfonce plus et ressort plus à chaque mouvement. Son trou brûlant est trop bon autour de ma queue, je ne tiens plus et je le farcis de ma crème. Je suis un peu gêné, car je crois lire sur son visage une lueur de déception - peut-être aurait-il voulu que je le lime une ou deux heures de plus? Toujours est-il que je me découvre un nouveau talent de salope: je viens tous juste de gicler, mais je ne veux pas en rester là. A peine remis, je descend sur sa queue gonflée de désir, dure à rompre, et je l'engouffre. Habituellement mon orgasme met fin à tous mes désirs, au moins pour quelques minutes. Mais aujourd'hui, non. je veux sentir son nectar couler dans ma gorge, je veux sentir encore son corps vibrer de plaisir. Je tète comme si ma vie en dépend, je serre mes lèvres autour de sa hampe, je profite de chaque mouvement pour faire glisser ma langue sur son frein, je gobe son gland avec ma gorge. Je sens ses mains sur ma nuque, qui accompagnent mes mouvements, m'interdisent de faiblir. Je suis plus dans mon jeu, ainsi soumis au plaisir d'un mec. Ma queue se gonfle à nouveau à l'idée que ce mec si craquant va d'un instant à l'autre connaître l'extase grâce à ma bouche. Il n'est pas très expansif, mais je sens tout de même le moment approcher. Il gémit un peu, sa respiration est moins régulière, ses mains se font plus insistantes, il se cambre pour accompagner mes mouvement et me pénétrer plus profondément. Sa queue est si raide, si dure, qu'il me défoncerait la gorge s'il l'avait un rien plus longue. Sans lâcher son membre, je jette un oeil vers son visage. Son sourire angélique a laissé la place à un regard perdu... Il est maintenant à moi autant que je suis à lui. Encore quelques instants et je suis récompensé par ses salves de miel, dont je ne perds pas une goutte. Je continues de le téter en douceur jusqu'à ce que sa queue se détende dans ma bouche. Je reste obstinément le nez dans sa toison, aspirant en douceur afin de ne pas rendre ma succion désagréable, le faisant redescendre tout doucement. Je me résigne enfin à lâcher sa queue, et vais m'allonger à son côté. Nous nous enlaçons tendrement, nous nous embrassons. J'aime trop sa peau, je le caresse, et je finis par décider que son ventre fera un bon oreiller. Nous câlinons ainsi un moment; il ne le sait pas et je n'ose lui demander: rien, absolument rien ne me ferait plus plaisir que de m'endormir à ses côtés. Ce moment est délicieux.... nous sommes apaisés, détendus, je suis heureux, naïvement heureux, un soleil nouveau fait jour sur mes pensées et m'emplit de bien-être. Mais mon petit chaser ne tient décidément pas en place, il veut retourner au salon, passer à autre chose. Nous nous installons donc devant la télé, où il met un épisode d'une série bien connue dont le héros est un tueur en série. Je n'ai pas d'autre choix que de laisser faire, tout ce qui compte pour moi est de faire durer ce moment de félicité. Je le caresse, le dorlote. Je crois bien que ça l'amuse un peu de voir à quel point je suis fasciné par son ventre. Je ne tarde d'ailleurs pas à m'y ré-installer l'oreille à l'écoute de son coeur. Je suis tourné vers la télé et vers la bête qui se repose à un souffle d'air devant ma bouche. J'ai encore faim. Je profite de l'instant présent, le caresse encore et encore, attendant patiemment qu'il reprenne de la vigueur. Il m'a bien prévenu que je ne tirerais probablement plus rien de lui ce soir, mais je ne suis pas du genre à me démonter pour si peu. J'en ai vu bien d'autres qui se croyaient à sec et qui pourtant trouvaient des ressources dès que je commençais à tirer dessus! Patience.. Je ne suis pas pressé de toute façon, je suis trop bien, j'aimerais m'endormir comme ça. Ma main parcoure son corps, rendant régulièrement une petite visite à son entre-jambe, que je ne me lasse pas d'observer. J'aime bien manipuler cette queue qui émerge d'une toison bien sombre. Par moment, je l'installe bien au chaud dans ma bouche, sans mouvement, afin de ne pas brusquer les choses. Il finit immanquablement par réagir... Sa queue prend du volume, commence à se dresser. Je suis aux premières loges, je n'attends pas davantage et l'enfourne. Je commence en douceur, ma tête ne quittant pas l'accueil soyeux de son ventre. Mes mouvements sont lents, j'aspire sa queue pour la faire gonfler davantage. C'est lui qui déclenche les hostilités, plus vite que je ne m'y attendais: déjà il gémit, juste une fois, et ses mains viennent prendre possession de ma tête, m'invitant à amplifier mes mouvements. Pas besoin d'un autre signe: je me relève, il s'allonge sur le canapé, et je commence à le téter activement. Sa queue est à nouveau dure comme en début de soirée. Elle est si dure que j'ai du mal à la faire passer dans ma gorge. Je décide de m'installer dans l'autre sens, en 69, sans lui proposer ma queue: c'est son jus que je veux faire sortir, pas le mien. De cette façon, je peux engouffrer sa queue profondément, mon nez allant taper dans ses couilles. Je m'applique comme ça pendant quelques minutes avant de reprendre une position plus confortable qui lui permette en plus de me tenir la tête, il a l'air d'aimer ça! Il a la pêche mon petit chaser, il a déjà bien rechargé. Il se laisse bientôt aller et m'offre son foutre chaud, expédié direct au fond de ma gorge. Il est temps de le quitter... Je dois rentrer.... Nous nous promettons de remettre ça. Tout le chemin du retour, je suis comme sur un nuage, heureux... Heureux comme un adolescent qui vient de tomber amoureux après son premier rencard. Je ne m'en rends pas encore compte, mais.... ma raison est en train de vaciller. Les jours qui suivent, les semaines qui suivent sont un vrai calvaire: il me manque. Il me manque tout le temps. Je ne sors plus me donner aux inconnus, je reste derrière mon pc, à attendre une invitation qui ne vient bien sûr pas assez souvent! Au début, je ne crois pas à ce qui m'arrive, après-tout, je n'ai pas cette espèce de boule à l'estomac quand je pense à lui.... Nous nous revoyons bien sûr. Lui ne s'en rend pas compte: je ne suis qu'un habitué de plus dans sa panoplie... Ce n'est pas du tout dans ses intentions de se fixer, il a été très clair à ce sujet dès le début. J'étais parfaitement ok d'ailleurs, puisque jusque-là, il m'était toujours apparu comme évident que je ne pourrais jamais avoir de sentiments pour un mec, et que même si ça m'arrivait, je serais beaucoup trop salope pour être fidèle. De peur que mon comportement ne le trouble, je lui en touche un mot, lui avoue que je l'ai dans la peau, en précisant bien que ce n'est pas de l'amour, mais pas loin. Je redoute en même temps qu'il ne coupe les ponts, ne serait-ce que pour mon bien... je pense, j'espère que mes sentiments vont s'estomper en quelques semaines ou quelques mois. Mais d'ici là, je crains plus que tout qu'il ne veuille plus me revoir: ça serait trop douloureux, j'en suis absolument convaincu. Pour oublier, pour que mon esprit m'échappe de cette dépendance, je brûle mes hormones en m'abstrayant dans le sport, remplaçant une addiction par une autre.. C'était il y a quelques mois...... J'estime aujourd'hui que j'ai échappé de peu à une dépression, en me confiant à un ami, en parlant de ce qui m'arrivait... Le fait est que mon petit chaser a agi sans le savoir comme un détonateur, qui a cristallisé, par son attitude, par ce que nous avons fait, un manque d'affection tapis en traître dans un coin de mon esprit.. Aujourd'hui, je suis parfaitement "remis". J'ai repris mes anciennes habitudes, mes sorties en extérieur, au sauna, et je m'en donne à coeur joie! Je continues de pratiquer du sport de façon intensive, mais mes hormones ont repris le contrôle. La différence avec avant? Maintenant, quand un mec mignon veut du câlin, je lui en donne. Et parfois, je laisse mes nouvelles pulsions d'actif prendre le dessus... Je revois encore ce bel ange à l'occasion. Après tout, il m'a fait découvrir plein de choses, et il demeure à ce jour le seul passif de mon carnet d'adresses. Je réalise en écrivant ces lignes que tant que je n'aurais pas modifié mes profils sur les sites de rencontre, j'aurais du mal à dénicher d'autres passifs comme lui! Mon petit chaser, comme j'aime l'appeler pour moi-même, j'ai été à sa merci pendant 2 mois. J'aurais tout plaqué sur un signe de sa part.... Je suis heureux, vraiment, qu'il soit resté droit et honnête, qu'il ne fasse vraiment pas dans le sentiment, qu'il ne m'ait pas un seul instant laissé croire - même si c'était dur à vivre sur le moment - qu'il pourrait y avoir plus entre nous que des moments de tendresse et du cul. Car sinon, je n'ai aucune idée de l'état dans lequel je serais maintenant. mmmm44Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |