Chienne musclée par DanMoi c'est Dan, 42 180 77 bf bm hot et très vicieux, mon truc c'est les salopes, mais cà va plus loin je les aime viriles et musclées mais surtout avec une belle croupe galbée et un mental de femelle, alors si le mec d'emblée me parle de sa chatte alors là c 'est le top et je me vois déjà en train de la brouter comme un malade. Un beau fantasme me direz vous, jusqu'au jour ou je suis tombé sur Stefan, j'ai tout de suite repéré ce super cul mega moulé dans un 501 à en faire péter les coutures " saloppppeee " me suis je dit en matant cette merveilleuse apparition, le reste avait l'air pas mal non plus même de dos, comme un chasseur je me suis approché doucement, j'ai fait le tour de ma proie pour la voir de face, j'ai cru défaillir ; sous son blouson court il portait semblait t'il un tee shirt qui lui moulait parfaitement les pectoraux et sous la ceinture un beau paquet bien en évidence, ce mec un vrai appel au viol. Je plongeais mes yeux sombres dans les siens tels des glaives, ce mec putain l'effet qu'il me faisait, je lâchais ses yeux au moment où il ouvrit la bouche pour s'adresser à la vendeuse et sa voix fluette, féminine dirais je me fit l'effet d'un électrochoc, un contraste avec cette masse, je me suis dit immédiatement qu'il en était, ça se sent les turcs là, il se retourna offrant à nouveau sa superbe croupe à ma vue avant de retourner la tête vers moi en faisant un léger sourire. J'attendais mon tour à la caisse, lui allait se casser, j'avais la rage par crainte qu'il ne se volatilise, je le vis s'éloigner se retournant plusieurs fois et merde le temps de taper le code de ma CB, il venait de prendre une allée et se trouvait hors de ma vue. Le temps de traîner dans les galeries, je chope la rame de métro de justesse juste avant que les portes de se referment, moi qui suis provincial mais souvent pour mon job, je trouve le métro génial pour circuler dans la capitale, j'essaye de me frayer un chemin pour approcher un poteau et surprise qui je vois ; mon apparition de tout à l'heure, là je me dis je vais pas le laisser filer, je suis tout prêt de lui, il m'a reconnu bien sur, son super cul qui me rend déjà dingue est à quelques centimètres de mon paquet qui commence à se réveiller, il y a du monde ça se bouscule et de temps à autre nos corps se frottent, je vis l'enfer, il me bouscule un peu et se retourne pour s'excuser, nos yeux se rejoignent à nouveau mais je reste figé, puis me libérant une main comme guidé par ce je ne sais quel force, discrètement je passe doucement ma main entre ses cuisses pour remonter sur ses fesses en laissant traîner l'index dans sa raie, il ne bouge pas semblant même cambrer un peu plus pour me convier à aller plus loin. Je regarde autour de moi pour voir si personne ne voit mon manège et je continue à la caresser, il se retourne et me dit doucement " Châtelet ", c'est pas ma direction mais j'ai trop envie de lui, quelle bonne surprise quand il glisse sa main derrière lui pour me palucher le paquet, j'ai l'impression d'être seul au monde avec lui à nous toucher. Ca à l'air de durer des heures et nous voici à Châtelet, il descend et je le suis, nous n'échangeons aucun mot jusqu'à ce que nous nous trouvons dans la rue et c'est la qu'il me lance " t'as peur de rien toi ", je lui rétorque direct " çà avait pas l'air de te gêner ", il me répond par un sourire et me dit moi c'est Stéfan, enchanté moi c'est Dan, et nous voici arrivé devant chez lui. Le temps que la porte de l'ascenseur se referme que je l'attire à moi et lui roule une pelle d'enfer à laquelle il répond avec fougue, mes mains passent partout sur son corps et je lâche histoire de tâter le terrain " hum salope tu cherches à te faire violer à te looker comme ça " il me On continue à se rouler des pelles jusqu'à sa porte, je luis paluche le cul comme un malade le temps qu'il enfonce la clé, il se lâche enfin en ondulant, ça sent la femelle ce mec. Je lâche avec regret son puit d'amour, histoire de le faire s'accroupir et goûter au dard qu'il va se prendre plus tard, à son tour de me déshabiller en minaudant, putain ce mec, j'adore c est une vrai femelle en fait, j'aime ses doigts sur mon torse et la façon qu'il a de saisir ma bite, de l'admirer avant de se la prendre au fond de la gorge et à me sucer comme une reine ,je lui tiens la tête et lui nique la gueule, mais je suis méga exité et je lui demande d'arrêter, j'ai pas envie de cracher bêtement comme ça, quoi que c'est trop bon. Il se relève et me dit " viens " je le suis dans sa chambre et nous continuons à nous rouler des pelles tout en finissant de nous déshabiller, je ne peux m'empêcher de lâcher un bête " t'es super beau ", c'est à nouveau sa langue qui s'enroule autour de la mienne qui fait office de réponse, et nous nous laissons basculer sur le lit. Je relève ses jambes sur son torse " salope t'as su superbe chatte " que je lui dis avant d'y remettre la langue et de le traiter de femelle en chaleur, de salope etc, il répond bien à ce que je lui fait lui dit c'est pas une planche ce mec . Nous nous retrouvons en 69, je gobe aussi sa belle bite tout en lui doigtant le trou et caressant son beau cul que j'ai juste au dessous de moi. C'est lui même qui se doigte à présent cuisses largement écartées, le spectacle est grandiose J'entame un va et vient de plus en plus fort et lui défonce son trou de pute Sur le pas de la porte, j'arrive pas à le lâcher, nous nous embrassons toujours, il m'a laissé son tél, moi je retourne demain en province et je ne sais pas quand je reviens à Paris Cabestan@voonoo.netRêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |