Cyrillo

Page précédente

Chiotte public.

Le jeune beur tournait dans le chiotte public depuis quelques minutes ; bien balancé, grand et plutôt sec, il n'osait pas se poser devant un urinoir et sortir sa queue. Moi, il me branchait bien et j'avais envie de goûter son chibre. Alors je m'approche de lui et je lui dis " Tu veux que je te suce ?"

Lui, timide ou pas habitué me répond aussitôt "non". Tant pis je me dis, j'aurais au moins essayé.

Je reste là quelques minutes à attendre si un autre mec se pointe et puis je décide de m'en aller. Alors que je sors de l'édicule, mon jeune beur revient et se dirige droit sur moi. "Tu suces là direct ?" qu'il me fait. "Oui direct je lui réponds, ici tout de suite".

Le mec n'hésite plus et il plonge la main dans son jogging d'où il sort une superbe pine déjà complètement bandée. Je me fous accroupi devant lui et je commence à pomper ce magnifique dard circoncis, bien large, avec un gland bien dessiné et quelques belles veines bien saillantes que je devinais dans la clarté parcimonieuse du chiotte.

J'étais dos à l'urinoir et je pompais comme une salope que je suis. Je sentais mon jeune beur vibrer dans ma bouche. Je me passais son gland sur les lèvres, lui mordillais le frein, frappais mes joues et mon visage avec son chibre avant de le reprendre entier jusqu'à fond de gorge en le regardant bien dans les yeux. Il ne me disait rien mais se cambrait vers ma bouche. Il appuyait ses mains au mur derrière ma tête pour me pilonner la gueule tout à son aise. Moi, coincé dans le triangle que formaient son corps incliné, le sol et le mur, je ne pouvais qu'enfourner cette belle tige vaillante dont je sentais le goût de mouille et de mec.

Je bandais comme un âne dans mon froc.
A un moment, un mec entré dans le chiotte public se touchait la queue en nous regardant mais mon grand timide de beur lui a fait un geste pour qu'il se barre. Il était de plus en plus excité, je sentais qu'il allait bientôt venir.

"Je jouis où ? dans ta bouche ?" qu'il me fait. "Hmmmm" je lui réponds en inclinant la tête. Et presque aussitôt, je sens sous mes doigts sa queue se contracter et une salve de foutre chaud et musqué m'arrive dans la gorge, bientôt suivie par plusieurs autres aussi fortes qui me remplissent la bouche. J'avale ce nectar d'homme, cette liqueur virile avec délectation et je nettoie avec soin, le biberon qui m'a régalé avant que mon jeune mec ne le range dans son jog'.

"Je peux te revoir ? Il me dit. "Quand tu veux mec" je lui rétorque.
Il est à peine parti que mon voyeur se pointe avec la ferme intention de se faire pomper à fond lui aussi mais c'est une autre histoire.

William.110@caramail.com

Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
Pour plus d'info : www.sida-info-service.org

www.cyrillo.biz site gay gratuit. Textes et histoires gay.