Ciné PornoCela s'est passé quand j'avais 19 ans. J'avais du temps à perdre et je me suis rendu dans un cinéma porno. Il devait y avoir une vingtaine de personnes dans la salle. Je me suis assis dans une des rangées latérales du fond. Sur l'écran, deux gars enculaient un autre gars. Ils étaient plutôt bien montés. Au bout d'environ un quart d'heure un jeune homme bien habillé (on l'appellera Michel) est venu s'asseoir à côté de moi. Quelques instants plus tard, il a sorti sa queue et a commencé à se branler. J'avais ma main dans ma braguette ouverte et je me caressais également. Il m'a dit : J'ai accepté après quelques instants de réflexion. En arrivant chez lui, il m'a proposé de prendre une douche car il avait quelques coups de fil à donner. Puis nous nous sommes assis devant la télé. Il avait mis un film gay SM. Il portait un slip de latex noir. Quant à moi j'avais toujours mon jock blanc. Soudain la sonnette a retenti. Il s'est levé et a accueilli trois gars. Il m'a alors dit "J'ai invité mes copains, deux autres doivent venir. On va s'occuper de toi". Pris de panique, j'ai prétexté un rendez-vous pour partir, mais Michel m'a retenu et m'a précisé qu'ils ne me feraient aucun mal mais que lui et ses copains voulaient profiter de ma queue et de mon cul. Cinq minutes plus tard, les deux retardataires sont arrivés. C'est à partir de ce moment-là que j'ai été un jouet sexuel au service de ces messieurs. J'ai été allongé sur une table, les mains attachées aux pieds de la table. Ils m'ont arraché mon jock. À ce moment-là, un des gars a proposé de me raser. J'ai ainsi perdu tous les poils du pubis de la queue et des couilles. Mais cela ne leur suffisait pas. Ils m'ont mis sur le ventre et m'ont écarté les jambes au maximum pour bien découvrir mon cul puis ils ont commencé à le raser également. Et la séance s'est poursuivie. Michel est allé chercher 3 godes de taille différente dont un faisait au moins 7 cm de diamètre. Les fesses toujours écartées, ils ont voulu tester l'élasticité Quand le plus gros a commencé à entrer dans mon cul, j'ai gueulé comme un âne. Jamais mon cul n'avait été autant écarté. L'un des gars m'a alors dit : "Tu as maintenant le cul d'une vraie salope. On va pouvoir te l'exploser et t'enculer sans problème". Ils se sont déshabillés. Quatre portaient un slip de cuir et le cinquième un jock rouge. Ils ont sorti leurs queues. Quels braquemarts ! L'un d'entre eux avait au moins une bite de plus de 20 cm, mais elle était surtout très épaisse. Il m'a dit : " N'aie pas peur, avec le trou que tu as à présent, ma queue rentrera facilement. Mes copains vont d'abord t'en mettre plein le cul et après tu en redemanderas. On va d'abord te faire un lavement puis tu suceras" La poire à lavement a été utilisé pour me vider les intestins. Chacun y trouvait son plaisir et je dois dire que moi aussi. Avoir le cul ainsi exposé à 6 mecs excitait beaucoup. J'ai ensuite sucé les six queues. Je n'avais jamais sucé autant de bites. Elles devenaient énormes dans ma bouche et leurs couilles ballottaient sur mon menton. Quand elles ont été bien raides, ma séance d'enculage a commencé. Les queues se sont succédées dans mon trou. C'était encore l'époque où le Sida n'existait pas. J'étais devenu un véritable garage à bites, un trou à sperme. Les cinq mecs m'ont enculé à la queue leu leu. Seul celui à la bite énorme attendait son tour. Il voulait que mon cul soit bien ouvert pour pouvoir me prendre. Les cinq bites se sont alors vidées dans mon cul. Le sperme débordait et ressortait de mon trou. L'énorme bite s'est approchée et le gars m'a embroché comme une pute. Pas besoin de gel, le sperme de ses copains faisaient office de lubrifiant. Je sentais les parois de mon cul complètement écartées. L'un des gars s'est approché de moi et a écarté davantage mes fesses pour faciliter la pénétration. Pendant ce temps-là les autres m'ont donné leurs queues à nettoyer. Le sperme les recouvrait encore. Mon enculeur s'est alors retiré de moi, s'est lavé la queue puis m'a dit qu'il m'enverrait son jus dans la bouche. Les autres m'ont ouvert la bouche et la queue est entrée. J'en avais presque le souffle coupé. Après quelques va et viens, il s'est vidé à gros bouillons. Trois grosses giclées ont atterri au fond de ma gorge. J'ai été obligé d'avaler ce jus de couilles tout frais. Depuis ce jour-là, j'aime bien être soumis sans violence. Mais aujourd'hui plus question de sperme. La capote est obligatoire. Stringbmremy17@nomade.fr Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |