Consultation très privéeÉpisode 1 : Je ne me doutais pas que j'allais finir par l'exciter. Quand Nicolas S est entré à nouveau dans mon cabinet pour une troisième consultation pour douleur abdominale, je ne m'attendais pas à ça. Faut dire que physiquement, il est craquant le petit Nicolas : 1m70, 55-60 kg tout en muscles; c'est vrai qu'il est maçon le bougre. Les cheveux ras blonds clairs, les yeux bleus et rieurs, la barbe mal rasée de 3 jours. Je lui annonce que je vais l'examiner à nouveau pour trouver la cause de cette douleur au ventre qu'il traîne depuis 2 semaines. Il a l'habitude de me consulter maintenant et en 2 secondes, il enlève chemise et tee-shirt blanc et se retrouve torse nu, la peau dorée par le soleil. Il s'allonge sur le dos sur la table de consultation; puis il se ravise : il ôte son jean : "ce sera plus pratique" me fait-il en souriant presque trop innocemment. Je lui mets la main sur le ventre, l'examine en douceur la main bien a plat. Sous mon poignet droit, son caleçon recèle une bosse molle. Mais plus je l'examine, plus je sens une dureté se former sous ce poignet. Je lui parle presque sans arrêt, des questions anodines. Il guide la direction de ma main en m'indiquant les zones de son ventre qui est dessiné par des abdominaux parfaits; il me dit là où c'est sensible. Parfois il ferme même les yeux et se tait. Mon coeur commence à s'accélérer dangereusement. Il bande dur maintenant, je le sens, j'en suis sûr. Je lui annonce d'une voix rauque presque étouffée que je vais lui faire un toucher rectal, pour préciser l'origine de sa douleur : J'enfile un gant de latex sur ma main droite. Pour mon petit maçon, pas de vaseline ou de xylocaine, mais une belle noisette de KY pour bien lubrifier mon doigt. Je m'approche de lui. Son cul est magnifique, lisse, 2 belles fesses musclées et rondes, leur blancheur tranchant sur le reste du corps mordoré. J'écarte son cul de la main gauche et lui parle doucement. Je masse avec 2 doigts son anus inviolé : Son caleçon est maintenant à ses genoux. J'aperçois par-dessus sa hanche sa queue raidie. Mon index pénètre son cul. Pas de cri de douleur mais un gémissement net et étouffé. Progressivement son anus se détend et s'ouvre à mon doigt. Je tente 2 doigts et regarde Nicolas. Ses yeux sont fermés et il geint de plaisir contenu. "Je n'y arrive pas bien. Reculez vos fesses au bord de la table d'examen" Nicolas s'exécute sans broncher. Mes 2 doigts continuent à lui travailler le cul. Il se tord en gémissant de plus belle. Je n'en peux plus. De la main gauche, j'ouvre ma blouse et déboutonne mon pantalon. "Reculez-vous encore un peu". Mon caleçon est tendu par ma queue, douloureuse d'une érection trop intense. Je sors ma queue, 20 cm durs qui se dressent enfin hors du tissu. Je m'approche de lui "Ne bougez pas pour le moment". Je réussis avec peine à articuler cette dernière phrase. J'enduis mon sexe de KY, chope une capote et la déroule doucement sur ma queue, et je l'approche de son petit cul... "Tu aimes ça, petit mec", je lui crie presque, libéré par ce plaisir de le baiser. J'ai envie de changer de position. Je le guide des 2 mains et le mets maintenant debout. Je veux ainsi pouvoir l'enculer bien à fond. Il gémit sans cesse, sans même ouvrir les yeux en rythmant mes coups de boutoir de petits mouvements de son cul. Il sait prendre le rythme en s'empalant plus que je ne le baise. Il augmente ainsi mon plaisir (et le sien !) en ondulant ses fesses musclées qui glissent autour de mon pieu tendu. Tant il bouge du cul que son caleçon se déchire. Je le jette au loin, tissu maintenant inutile. Ses fesses blanches forment un contraste excitant autour de ma queue turgescente. Il est désormais nu au bout de ma queue, mon (ex) petit hétéro musclé. Le baiser à fond est un bonheur. Jamais je n'ai baisé avec une telle intensité. Pour une première fois, je trouve qu'il sait bien bouger du cul, Nicolas. Son bassin ondule d'avant en arrière pour prendre ma queue bien à fond. A ce rythme, je ne vais pas tenir bien longtemps. Je regrette presque de devoir accélérer mon va et vient. Mais il geint désormais avec tant de force et tellement sans équivoque que tout l'immeuble doit en profiter. Je m'enfonce jusqu'aux couilles une dernière fois. Je jouis sans retenue sur ses fesses musclées ; mon éjaculation semble ne jamais vouloir s'arrêter. Mon sperme se répand sur son cul. C'est tellement bon. Son cri animal quelques secondes plus tard m'indique que son plaisir a été là aussi. Catalan66Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |