Coup de fil surpriseJe suis passé faire quelques courses en rentrant du boulot. Je suis arrivé chez moi vers 19h. Je comptais manger un morceau et me regarder un film, tranquille tout seul. J'allais commencer à cuisiner si on peut appeler ça cuisiner quand le téléphone a sonné. J'ai décroché et c'était inaudible, comme si on m'appelait de l'autre bout du monde. C'était un ancien collègue qui travaille maintenant en province. Il a parlé de son nouveau boulot, de sa maison , de sa vie de famille et il m'a demandé si j'avais déjà mangé. Je lui ai répondu que j'étais sur le point de le faire avant qu'il m'appelle. Il m'a alors dit " tant mieux, on va pouvoir manger ensemble alors ". Je lui ai répondu ", " mais qu'est ce que tu racontes, je suis à Paris et toi tu es en province ". Il éclate de rire et me répond " non, je suis en déplacement en région parisienne, je suis à l'hôtel, tu n'as qu'à venir me rejoindre, on pourra manger ensemble, je te donne l'adresse, on peut se retrouver à l'heure que tu veux ". C'est vrai que je n'avais rien prévu et ce n'était pas loin de chez moi, j'ai accepté. Je suis arrivé à son hôtel, je suis monté dans sa chambre, j'ai frappé, il m'a ouvert la porte. Il était torse nu, une serviette autour de la taille, il sortait de sa douche, il m'a dit : " Viens, je suis prêt dans une minute ". Je le trouve toujours aussi sexy, son torse est quasiment imberbe, il a l'air d'avoir la peau douce et à cet instant, je n'ai qu'une envie, c'est de le prendre dans mes bras. Mais il est marié, je ne lui connais pas d'aventure avec les mecs, alors, restons sages. On a parlé de chose et d'autre alors qu'il s'habillait et je n'avais qu'une idée en tête à ce moment-là. J'avais du mal de rester concentré sur le sujet de la conversation et je pensais plus qu'à son corps. J'essayais tant bien que mal à ne pas lui montrer. Il est allé chercher à boire dans le minibar et l'on a trinqué. Il faisait chaud et Alain a déboutonné sa chemisette, ça le rendait encore plus sexy, il était très décontracté, et je pouvais voir un peu ses pectoraux, ça m'excitait. Je me demandais si je me faisais des idées ou si lui aussi me matait. Je mettais ça sur le compte de l'alcool, et j'essayais de ne pas y penser, je devais avoir la tête ailleurs, car je n'avais pas écouté ce qu'il me disait. Il me dit alors : " Ça va, tu as l'air absent, à quoi penses-tu ? ". J'ai éclaté de rire et je lui ai répondu ", " il ne faut mieux pas que tu le saches ". Il m'a répondu " c'est pas sympa " tout en me chahutant et me donnant une tape amicale sur l'épaule. Il a continué en me disant " tu peux tout me dire, d'ailleurs je pense savoir à quoi tu penses ". J'en suis resté bouche bée et j'avais envie qu'il continue de me donner des tapes amicales. J'aimais son contact , il se rapprochait de moi. Il m'a regardé dans les yeux , et il m'a dit : " Tu sais, je crois que moi aussi, j'en ai envie ". Il s'est approché de moi, à poser ses lèvres sur les miennes, je me demandais si je rêvais ou si c'était l'effet de l'alcool. Il a continué de m'embrasser, je me suis laissé faire, il m'a roulé une pelle d'enfer, nos langues se sont mélangées et il a commencé à me caresser les cuisses. J'ai commencé à lui déboutonner sa chemise, j'ai caressé son torse alors qu'il continuait de m'embrasser, il m'embrassait dans le cou, j'aimais sentir la douceur de ses lèvres sur moi. Il s'est allongé sur le lit, je lui ai enlevé complètement sa chemise, j'ai passé ma main sur ses pectoraux, je lui ai passé ma langue dans le cou, je suis descendu le long de son corps en lui mordillant les tétons. Il me caressait les cheveux pendant ce temps-là. Je passais ma langue sur son nombril et j'ai commencé à lui enlever sa ceinture tout en lui caressant son entrejambe. Sa queue commençait à prendre du volume, j'ai passé ma main dans sa braguette et je lui ai libéré la queue en la passant par la braguette, je lui ai laissé son pantalon. J'ai passé ma langue sur sa bite, une bite plutôt longue, pas très épaisse avec une veine gorgée de sang. Je lui ai mis sa queue dans la bouche, j'ai bien léché son gland, sa queue a pris du volume, son gland était de plus en plus baveux et je lui ai avalé, je faisais des va et vient au fond de sa gorge. Alain gémissait de plus en plus et il me disait qu'il regrettait d'avoir pas fait plus tôt avec moi. Je continuais de lui tailler une bonne pipe, je ralentissais la cadence de temps en temps tout en lui caressant son corps. Il m'encourageait " vas y, c'est bon " et ensuite il m'a dit qu'il aimerait s'occuper de mon petit cul, qu'il en avait rêvé mais qu'il ne l'avait jamais fait. J'étais tenté, je lui ai dit que je voulais bien essayer avec lui à condition qu'il mette une capote et qu'il me prépare bien mon petit cul. Il était super content et je revois encore son sourire quand je lui ai dit que j'étais d'accord, je ne pouvais rien lui refuser. Il m'a déshabillé, tout en me caressant. Je me suis mis sur le dos, j'ai écarté les cuisses, je les ai relevées et je les ai mis sur ses épaules alors que lui a commencé à me caresser les fesses. J'ai senti ses doigts sur la raie. Il a écarté un peu mes fesses, et il a commencé à me lécher la rondelle. Ça m'a fait un bien fou, il m'a titillé la rondelle avec sa langue, il a bien salivé, ça m'a bien dilaté et je voulais qu'il continue. J'aimais sentir sa langue bien humide sur ma chatte, c'était l'extase. Il m'a ensuite doigté, il a glissé un doigt, il m'a travaillé mon petit cul, il m'a introduit un 2ème doigt et il m'a dit alors " ça y est, je vais te pénétrer, tu as l'air fin prêt, il s'est branlé pour que sa queue reprenne du volume, il a enfilé une capote et il a approché son gland de ma rondelle. J'ai senti sa queue qui me pénétrait, il a commencé en douceur et il a accéléré la cadence, il me donnait des bons coups de rein et sa queue allait de plus en plus profond. Je le regardais alors qu'il me limait le cul, il me regardait aussi et c'était très excitant. J'aimais sentir ses couilles taper contre mes fesses. Je lui caressais ses pectoraux, son dos alors qu'il continuait de m'en mettre plein le cul. J'aimais entendre les bruits de succion, je mouillais tellement il s'y prenait bien. Il s'est penché vers moi, m'embrassait, je l'enlaçais. C'était très agréable et je me disais à cet instant pourquoi n'avons-nous jamais fait l'amour ensemble avant. Il allait bientôt venir, il s'est retiré, a enlevé sa capote, il s'est branlé sur moi, et j'ai senti son sperme chaud sur mon torse. Il s'est allongé sur moi, il m'a roulé une pelle et l'on est resté un long moment enlacé. Je ne regrette pas du tout cette soirée, j'espère qu'il va revenir de temps en temps en déplacement sur Paris, il n'aura pas besoin d'aller à l'hôtel... REGISblond.93@caramail.com Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |