Cours de sport 3Je reprends petit à petit mes esprits. Je me lave et m'habille rapidement pour regagner le self. Gwen est à notre table habituelle avec Alexandre et Gaël, nos voisins de chambre. Je m'installe et Gwen me charrie sur le temps que je passe sous la douche après un entrainement. Gwen me demande si j'en ai pas reçu assez tout à l'heure, je lui répond que non et que j'ai une envie de me faire défoncer tout en descendant lentement mon pantalon et mon boxer au niveau de mes cuisses. Il finit de pisser, remballe tout et me claque les fesses en me lançant un "bonne bourre alors !". Philippe me prévient qu'il aura un peu de retard. Je me dirige vers la salle de gym, la porte n'est pas fermée à clé, je rentre, la pénombre est quasi totale mais la pleine lune assure un éclairage plutôt excitant. Philippe n'est pas là. Je repense au bon jet de pisse bien chaude de Gwen sur ma raie. Je décide de me déshabiller et de je me jette sur un grand tapis un peu et je rebondit à plusieurs reprises. Je passe une main sur ma rosette, je la prépare avec ma salive et y introduit plusieurs doigts. Je n'en peu plus, j'ai vraiment besoin d'une grosse bite dans le cul. La porte s'ouvre, c'est Philippe. Je cours vers lui, lui saute au cou et l'embrasse langoureusement. Philippe se vide dans mon cul, plusieurs jets, dans un râle de vrai mâle. Il s'affaisse sur moi et sa queue qui dégonfle lentement sort de mon cul bien ouvert qui laisse échapper un mince filet de semence le long des mes cuisses. J'adore ce liquide chaud et poisseux sortant de mes entrailles... Philippe m'embrasse, se soulève et commence à se rhabiller. " tu penses que l'on peut se revoir quand ? " Je retourne chercher mes affaires à l'autre bout de la salle. Philippe me rejoint. Il me parle un peu de sa vie et moi en slip je m'amuse sur les barres parallèles " j'ai encore envie de me faire baiser, en plus je n'ai même pas joui ". Philippe s'avance puis déchire mon calbut et à moitié bandé me défonce à nouveau. Je suis balancé comme sur un sling grâce aux coups de rein hargneux de Philippe qui cherche à m'enfoncer sa queue encore plus loin. Il en profite pour me branler frénétiquement et me vider les couilles en moins de 10 min, mon oeillet se resserrant sur son chibre qui continue sa quête. J'ai les bras totalement engourdis, la tête vide qui réagit seulement à ses coups de bite. Je suis à peine dans mon lit que Steven ouvre la porte, se dirige vers mon lit et soulève le drap. "Où étais-tu ce soir ? Viens, on va en parler dans le couloir...". Maxenceptijum@hotmail.fr La suite ici
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