Criques catalanes 1Début juillet, je suis en vacances du côté de Collioure, avec Daniel, mon chéri. L'an dernier en revenant de nuit de la visite de la maison de Salvatore Dali à Port Lligat, nous avions repéré sur le littoral espagnol en roulant vers la frontière, la présence de plusieurs voitures dans un virage. En plaisantant, j'avais dis à Daniel " Ca drague par ici !! ". Les vacances se finissant, nous n'avions pu vérifier cette hypothèse. Cette année, à la recherche de criques naturistes gay conviviales, nous avons retrouvé le petit parking. En ce début d'après-midi, il y a plusieurs dizaines de voitures stationnées là, en plein soleil. Nous apercevons, en contrebas de la route, deux petites plages isolées, et de nombreux chemins dans les roches et les taillis qui témoignent que de nombreux pas ont creusé cela au fil des années. Nous sommes à l'entrée d'un Cap. Les deux premières plages à l'est se révèrent bien naturistes, mais très occupées par des familles, les culs, les bites, les seins et les chattes à l'air. Nous négligeons ces endroits et progressons en escaladant les chemins vers l'extrémité du Cap, convaincus que l'isolement serait la garantie de notre succès. Après 10 mn de marche sur ces chemins accidentés et en pleine chaleur, nous sortons alors de la partie boisée et sommes face à 300 mètres de désert s'étalant en monticules rocheux vers l'extrémité du Cap, qui plonge ensuite dans la Méditerranée d'une vingtaine de mètres de haut. Effectivement, une première crique aux abords abrupts, de forme triangulaire, abrite déjà des hommes seuls ou en couple. Elle nous semble sympathique, mais nous continuons notre exploration vers une seconde crique où notre éphèbe se dore au soleil. Il est seul, mais l'espace est trop exigu et nous renonçons à le déranger. Après une troisième petite crique, très difficile d'accès, en bas de rochers glissants, se trouve un couple nu. L'homme se tient les pieds dans l'eau et semble mater notre éphèbe dans la crique d'à côté, pendant que sa femme lit un magazine sous son parasol. Le chemin monte alors plus à l'ouest et l'on aperçoit une grande crique où plusieurs couples naturistes et leurs enfants batifolent dans la Méditerranée. Nous profitons des plaisirs des vacances selon nos goûts, mon chéri sur sa serviette et moi dans l'eau. La position est superbe : bien installé sur un rocher face à la mer, je regarde passer un ou deux bateaux au loin pendant que la bouche de mon inconnu monte et descend sur mon sexe. De temps en temps, il lâche ma bite pour me bouffer les couilles, me lécher le périnée, tout en se branlant lui-même énergiquement. Pas besoin de remballer la marchandise, il suffit juste de laisser sécher au grand air en redescendant vers la crique, chacun de notre côté. Daniel, qui avait aperçu notre manège au loin, et nous avait vu disparaître derrière les rochers, m'interroge du regard. Je lui confirme d'un clin d'oeil que le rapprochement s'est produit. En levant le pouce, comme pour me féliciter de l'incartade, il retourne sur sa serviette. Histoire vécue en juillet 2010. biterlin@orange.frLa suite iciRêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |