Cyrillo

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Le cul de mes fantasmes -2

Le cul de mes fantasmes est en train de dormir dans mon lit. Je le regarde, le soleil commence a éclairer son corps dépassant des draps. Je suis là assis devant l'ordi à le contempler ce cul de mes fantasmes...
Je me rappelle encore la première fois qu'il ma pris.
Après une soirée bien arrosée, une douche bien foutreuse, et surtout après l'avoir ramoné, il me glissa dans l'oreille "maintenant c'est à toi d'être ma salope !".

Ayant encore en bouche le goût de ma semence, je le regardais dans les yeux et lui décocha un sourire accompagné d'un "méfies toi c'est pas une autoroute!".
Effectivement, je suis plus actif que passif. Je peux les compter sur une main, les mecs qui m'ont buriné la rondelle. Et j'en garde pas vraiment un bon souvenir.
"Je vais y aller en douceur, depuis le temps que j'ai envie de le prendre !"

Appuyé contre le mur de la salle d'eau, le cul cambré en arrière, je me résignais à me faire ramoner.

Il s'accroupit devant mes fesses, les saisit à pleines mains, les malaxant, les mordant !
Il les écarta et commençant à faire courir un doigt le long de mon trou.
Il cracha dessus puis étala sa salive en rentrant doucement un doigt.
Ayant des mauvais souvenirs revenant en tête, je m'efforçais de me décontracter, de souffler.
Il joua avec son doigt et ma rondelle, il y joigna un deuxième doigt, tout en douceur.
Les tourna dans mon trou qui commençait à s'offrir timidement.
Il se releva, m'embrassa dans le cou, "ça va bébé ?" me dit-il.
J'acquiesçais d'un râle langoureux.
Il demanda "elles sont où tes capotes ?"
"dans le 1er tiroir là."
Il en prit une, Il tapa sur ma fesse gauche.
Là les gars, ça commençais à m'exciter grave.
D'un coup, j'avais envie de lui, de le sentir me bourrer le cul.
Il déroula la capote sur sa queue, je le regardais d'un air approbateur.
Il me souriait "tu vas adorer, j'chte le dis !".
Il tapa sa queue contre mes fesses, puis commença à faire des va et vient.
"Vas y serre les fesses sur ma queue !"
Il continuait ses va-et-vient. Puis son gland vient se frotter sur ma rondelle.
ça m'excitait grave.Il commença à forcer le passage, je soupirait, je soufflais.
Franchement, les gars à chaque fois la douleur, elle est là. J'envie les mecs qui s'empalent facilement sur des pieux.
"vas y bébé, souffle" me dit-il. ça y est sa queue, était rentrée. Je la sentais, et je la voulais !
Il commença doucement à m'enculer.
Et voilà que je bandais mou à nouveau.
Il accélérait tout doucement, et là j'ai commencé à apprécier.
Ma prostate je la découvrais, et non de dieu, j'adorais !
C'est une sensation comme des fourmis qui envahi tout mon corps. Je ferme les yeux, je les ouvre. Je râle de bonheur.
Il a compris que j'étais en train de prendre mon pied. Son mouvement se fit plus pressant, plus rapide.
ça chauffait.
"Ma salope a l'air d'apprécier ?!"
Je le regardais en souriant en tentant de dire un "oui" approbateur.
Il m'embrassa à nouveau dans le cou.
La chaleur dans mon cul était là. Ma queue mi-molle s'était durcie.
Il me l'a pris d'une main et commença à me branler.
Je pensais que mes couilles étaient vides après avoir décharger tout à l'heure.
Mais j'ai pas mis longtemps.
"je vais jouir à nouveau, putain!"
Il me dit "Monsieur a encore les couilles pleines ?"
Il ralenti son mouvement dans mon cul, tortilla sa queue dans ma rondelle.
Mon yop gicla à nouveau. Des étoiles apparaissaient dans mes yeux, un spasme énorme dans le tout le corps.
Il sorti sa queue, me retourna, m'embrassa.
J'étais ailleurs dans un autre monde, il baissa ma tête, mes yeux virent sa purée giclait sur mon torse, sur ma queue.
Il avait pas du se vider depuis un moment.
Son jus dégoulinait sur ma queue et mes couilles.
Il se baissa, et se mit à me téter.
Ma queue mi-molle n'en pouvait plus, j'en pouvais plus.
Il continua, mon coeur battait super fort.
Il dit en me regardant "tu vas l'avoir ta troisième giclée".
Je lui dis d'arrêter sans trop y croire.
Il me branla énergiquement, j'avais mal, mon corps ne répondait plus, ma queue chauffait.
Il m'astiquait le manche, l'orgasme, le troisième arriva, celui sans jus ou presque celui qui nous fait basculer dans l'abandon total.
Il se releva, m'enlaça. Je le regardais droit dans les yeux, sans aucun mot, je pouvais plus rien dire, j'étais K-O.
"Je crois que je t'ai bien vidé, depuis le temps que j'te voulais."
On a fini la nuit l'un sur l'autre, au petit matin il m'a demandé de le prendre. Je me suis exécuté et j'ai trouvé de quoi gicler.
Et depuis, on a remis ça à plusieurs reprises. On baise comme des lapins...
Le cul de mes fantasmes n'a pas fini de m'étonner.

Tomy 23

smipg24@laposte.net

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