Deux papis, un mâle africain...Diakité, un jeune amant à nous, m'avait présenté Moussa. C'était un superbe père de famille malien d'environ trente cinq ans, grand, athlétique, viril avec, m'avait dit Diakité, "une grosse queue de 25 centimètres". Il le savait car ils avaient déjà "baisé des français et des femmes ensemble". Moussa ne fût pas long ni difficile à décider pour, moyennant finance, venir baiser Monsieur Paul sous mes yeux. Monsieur Paul, la cinquantaine BCBG, professeur d'Université de son état, parisien, est un ami de partouzes avec lequel je partage très souvent des gigolos. Il aime tout particulièrement se faire défoncer le cul par des grosses queues noires, surtout africaines ou par des arabes. Plus elles sont longues, épaisses et dures, plus il jouit de l'anus. Une fois de plus, je me préparais donc tant à lui faire plaisir qu'à jouir moi-même de les voir, les entendre, les toucher. Dans l'ascenseur qui montait chez Monsieur Paul, au huitième étage, avenue Victor Hugo, le malien de Montfermeil était impressionné par le luxe, mais pas au point de ne pas bander tandis que je malaxais son énorme queue a travers son vieux et moche pantalon classique de Tergal gris. Il souriait et fermait les yeux tandis que j'étais moi-même troublé et excité de sentir une si grosse bite grossir si vite. Monsieur Paul, qui nous attendait, fut visiblement enthousiasmé par la vision qu'il eut de Moussa en nous ouvrant la porte. Après m'avoir déposé un léger baiser sur les lèvres, il tendit sa bouche à Moussa et lui mit à son tour la main au paquet. Je fus ravi de voir que Moussa répondait sans hésiter et sans pudeur à cette offre de baiser. La grande et belle bouche pulpeuse du malien engloba et suça les lèvres de Monsieur Paul. Je vis de très près leurs langues se chercher, se trouver, et même les belles et grandes dents de Moussa toucher celles de Monsieur Paul. Nous étions toujours dans l'entrée quand, tandis qu'il s'embrassaient, j'aidais Paul à débraguetter Moussa. C'est moi qui défit sa ceinture et abaissai d'un coup le pantalon et le caleçon de l'africain. J'étais trop pressé de voir, sentir, toucher la grosse queue déjà bien malaxée à travers les étoffes. De fait, elle me sauta tout à coup au visage, immense, épaisse, tendue, nerveuse, dégageant une bonne odeur propre et chaude de mâle excité. Je léchai le gros gland brun gonflé comme une balle de ping pong puis, tandis que Monsieur Paul avait empaumé et caressait doucement les grosses couilles du black qui allait l'enculer, j'avalai la très grosse queue en caressant les fesses chaudes, lisses et si douces de Moussa. - Venez dans la chambre, dit Monsieur Paul en entraînant Moussa par la main vers la pièce où, tant de fois, devant les glaces qui entouraient le lit, il s'était fait défoncer devant moi. Je les suivis naturellement et aidai Paul à déshabiller Moussa en le caressant, en suçotant ses beaux tétons durs, en tâtant ses forts biceps, en léchant son nombril, ses aisselles, puis, quand il faut étendu nu, sur le dos, cuisses écartées sur le lit, à jeter nos vêtements en hâte pour venir sur lui nus et réunir nos trois bouches pour une pelle longe, profonde et baveuse. Puis, Paul et moi lui dévorèrent à deux son immense pieu noir dressé, bien dur et bien droit, qui faisait effectivement au moins25 centimètres. Nous allâmes aussi tour à tour gober les couilles et faire vriller nos langues dans l'anus qui ne demandait que ça. Car Moussa ne se contentait pas de se laisser dévorer; il participait activement, se tortillait, écartait ou relevait les cuisses, donnait sa bouche, suçait nos queues, s'écartait lui-même les fesses à deux mains en fonction des besoins de notre plaisir. Il nous caressait, nous branlait, touchait nos culs, glissait même un doigt de temps en temps dans mon anus et plusieurs, progressivement, dans le trou du cul de Monsieur Paul dont il savait et sentait bien qu'il n'attendait que ça pour se préparer à la saillie. Dans les miroirs, le spectacle obscène de nos trois corps enchevêtrés était magnifique. J'en perdais le moins de miettes possibles. Moussa lui-même aimait se regarder prendre des poses pornos et bandait plus que jamais en contemplant son corps d'athlète entièrement offert à ces deux vieux pédés en rut. Monsieur Paul, qui était bien équipé de ce côté là, saisit une capote extra large dans le tiroir de la table de nuit et la tendit à Moussa en relevant les cuisses et en disant "baise moi !". Le beau grand noir sourit, sortit la capote de l'étui, nous laissa le sucer puis la lui mettre à quatre mains. Puis Monsieur Paul s'agenouilla, à quatre pattes sur le lit, cul en l'air et me dit : - Ouvre lui mes fesses, guide sa queue dans mon trou je la veux vite. Je fus trop heureux de m'exécuter et d'écarter les deux fesses du vieux sur la raie peu poilue et l'anus rose, bombé, déjà ouvert par les doigts de Moussa. Celui-ci cracha dans sa main puis sur le trou du cul et y remit un, deux puis trois doigts. J'empoignai la grosse queue noire plus raide que jamais et posai le gros gland sur l'anus rouge. Moussa prit Monsieur Paul par les hanches et l'enfila doucement. Des souffles et des sons gutturaux sortaient de la gorge du prof quand il n'articulait pas des "oui baise moi" ou des "défonce moi" qui m'excitaient autant que lui. La sueur perlait à son front mais aussi au mien et sur celui de Moussa, sur ses épaules aussi et son superbe dos lisse et musclé lorsqu'il se mit à pilonner de plus en plus vite le cul de Monsieur Paul. Pendant la saillie je caressais longuement Moussa partout; je lui donnai plusieurs fois ma bouche en le regardant dans les yeux et il mordait à chaque fois mes lèves avec plaisir, me donnant sa langue à sucer. Je pétrissais aussi parfois ses tétons durs et saillants, car j'avais observé qu'il jouissait par là aussi. Surtout, je touchais régulièrement l'endroit où la bite pistonnait l'anus écartelé; je vins même à plusieurs reprises, par-dessous, lécher la vraiment grosse pine noire et le cul qu'elle comblait, à l'endroit même de la saillie, après m'être idéalement rincé l'oeil sur Moussa vu par derrière, son beau cul bombé et écarté, ses grosses couilles agitées et son bel anus qui se fronçait chaque fois qu'il donnait un coup de rein au fond des boyaux de Monsieur Paul pour se détendre ensuite, s'offrir à ma vue, à ma langue de temps en temps et même à mon index. Oui, le magnifique père de famille malien adorait que je lui doigte le cul pendant qu'il défonçait Paul. "Vas y" me disait Moussa, "vas y" lui disait Paul : c'était magnifique à vivre comme à regarder dans les glaces. J'évitais de me branler pour ne pas jouir immédiatement. "Baise moi, vas y" lui disait Monsieur Paul. "Baise moi, vas y" me dit tout à coup Moussa à l'oreille. Je fus stupéfait qu'un mâle aussi viril, aussi bon baiseur de femmes et d'hommes, aussi bien monté, me demande de l'enculer. Mais je ne me fis pas prier et commençai d'abord par dévorer le bel anus rose et imberbe entre les fesses noires qui s'offraient à moi. Il était bon, chaud, souple sous ma langue puis sous mes doigts. Je me levai un instant prendre et me mettre une capote et admirai le couple en rut et en nage sous mes yeux. Moussa avait retourné Monsieur Paul et lui avait relevé et écarté les jambes pour le renculer face à lui. Le prof délirait de plaisir : "oui baise moi je suis ta pute, vas y, plus vite, baise ta pute.". Moussa rit quand il vit que j'avais la capote et que j'allais le baiser. C'est quasiment lui-même qui vint s'enfiler sur mes honnêtes dix huit centimètres hyper tendus, sans qu'il décule pour autant du trou de Monsieur Paul. Le rectum chaud et que je sentais humide de Moussa avala ma bite sans problème et profondément; il se mit à le serrer et le desserrer au rythme de mes coups de queue qu'il répercutait dans le fion de Paul. Visiblement je n'étais pas le premier à la mettre au fond du trou de l'africain et il adorait ça. Notre plaisir et le spectacle étaient exceptionnels. Nous ne nous le fîmes pas dire deux fois et je savais que Monsieur Paul adorait qu'on lui jouisse sur le visage. J'aidai Moussa a sortir de l'anus béant et je quittai moi aussi son bon cul désormais bien ouvert et qui ne se referma pas tout de suite non plus. Je retirai la capote de Moussa d'une main et la mienne de l'autre. Nous vînmes nous agenouiller sur le lit de part et d'autre de Monsieur Paul et nous branlâmes sur lui. Il caressa et lécha nos queues, nos couilles, nos trous du cul quelques instants puis nous dit : Moussa fut le premier, en le fixant, à lâcher des longues giclées blanches, chaudes, crémeuses, abondantes sur la face et dans le cou de Paul. Celui-ci jouit immédiatement à son tour, ainsi que moi. Nous beuglâmes comme les chiennes que nous étions. Paul, hyper gluant, nous quitta pour aller se laver. Moins d'une demi-heure après, il était de retour et me regardait m'asseoir à mon tour sur l'énorme bite noire rebandée. Mais c'est déjà une autre histoire. J'aurais aimé que vous soyez là; sentir vos regards et vos caresses sur mon anus empalé, vous voir participer. Contactez moi si vous avez envie que nous débraguettions Moussa, ou d'autres noirs ou arabes ensemble. Peu importent votre âge et votre look : c'est mater, exhiber, partouzer avec des beaux africains qui m'excite incomparablement. Contactez moi à beletbon@hotmail.com et à bientôt, au lit, en rut exhib à trois. JeanEmail: beletbon@hotmail.com Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |