Cyrillo

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En train

Ce qui va suivre est définitivement un pur fantasme, mais celà peut vous plaire... c'est aussi la reprise complète d'une histoire précédente.

Je prends le train un dimanche matin. Il n'y a pas beaucoup de monde. Il est si tôt. Et puis il fait vraiment beau. Je m'installe dans un compartiment et je sors une revue que je lis distraitement. Le train part.

A peine quelques minutes se sont écoulées que le contrôleur entre. C'est un grand noir, baraqué. Je m'attarde sur son physique. C'est assez rare de voir un beau mec au contrôle. Je lui tends mon billet, il le prend et se met à l'analyser dans tous les sens en s'approchant de moi. Je lui demande s'il y a un problème. Soupçonneux, il continue de regarder le billet en s'approchant de plus en plus près. Je me sens assez mal à l'aise, comme pris en faute. Mais en final, il me rend le billet et sort tranquillement en refermant le compartiment.

Plutôt étrange comme comportement, je vérifie, tout est en ordre. Je range.

Puis, regardant défiler la campagne, je m'assoupis en imaginant quelques jeux coquins avec le beau contrôleur. J'ai encore la bonne odeur de son parfum et encore en tête le souvenir de sa braguette quand il était si près de moi.

Je somnole depuis une dizaine de minute quand la porte s'ouvre laissant passer, le contrôleur suivi d'un beau gars de la police ferroviaire, plus grand et plus baraqué encore.

Là, je m'inquiète. Je suis prêt à ressortir le billet et à demander des explications, mais les gars me saluent, s'assoient l'un en face de l'autre près de la porte et se mettent à discuter.

Mon regard évidemment a quitté le paysage. Je plonge dans un livre pour prendre un air dégagé et tout en les écoutant et je les regarde en biais. En suivant la conversation, je comprends qu'ils ont déjà comptés les passagers et que, vu le peu de monde, les 3 heures à passer avant la prochaine annonce vont paraître longues. De plus, ils seraient trois, presque autant que de passager donc ils ont laissé le petit nouveau Seb aux commandes avec la directive de ne pas les déranger sauf en cas d'incident.

Si le train est vide, je me demande pourquoi, ils sont venus ici!

Personnellement, je ne m'en plains pas, j'aime les beaux mecs et ceux là sont vraiment pas mal foutus. Çà m'excite un peu et je les reluque souvent.

J'observe surtout le policier. C'est grand gars en habit de combat du genre placide avec un visage sympathique. Il n'y a aucun doute sur le fait que personne ne doit lui chercher des noises. Il est tout en muscles. Face à l'autre, qui n'est pas un gringalet non plus, il domine. Il est un peu en biais la jambe droite tendue vers moi. Ceci me donne une belle perspective de son entrejambe. Je me dis que je vais avoir matière à fantasmer pendant tout le trajet et j'ai du mal à faire semblant de lire. Je n'arrête pas de le mater à la dérobée et çà me fait de l'effet. Finalement je décide de ranger mon livre. Aujourd'hui, j'ai deux forces de la nature dans le compartiment et je vais en profiter. C'est de la chance.

Ils discutent, je les mate, et soudain je réalise que la conversation me concerne.

- Tout à l'heure quand je l'ai contrôlé, j'ai bien senti qu'il portait avec insistance le regard sous ma ceinture. J'ai vérifié en m'approchant de très près et il n'a pas quitté l‚?il de ma braguette et tu vois où il regarde maintenant. Ouvre bien les jambes. Regarde çà! Je pense qu'il veut un câlin entre tes cuisses.

- t'es sûr ?

Waouh, là, je suis inquiet, je regarde par la fenêtre l'air détaché.

Le contrôleur s'adresse à moi en souriant:

- Fais pas semblant mec, tu n'es pas discret. J'ai vu ton manège. Tu n'arrêtes de regarder un truc qu'on a bien envie de partager avec toi. J'ai déjà condamné la voiture, maintenant je vais fermer le compartiment, on ne va pas être dérangé pour s'occuper de ton cas.

Il se lève, ferme le compartiment à clef, tire les rideaux. Puis il jette sa veste et son képi sur la banquette et commence à dégrafer sa chemise.

Le policier lui fait remarquer en rigolant :

- t'as pas l'impression que tu sécurises un peu fort, mec. T'as peur qu'il s'échappe ? Il n'fait pas le poids, dit-il en se levant.

- On ne sait jamais si Seb ouvre la voiture et vient, çà peut être gênant, le compartiment fermé le retardera un peu, mais pas beaucoup, répond le contrôleur en tombant la chemise.

Le noir est beaucoup plus impressionnant torse nu. L'uniforme cachait sa musculature. En fait, il est bien foutu, pas gonflé comme un haltérophile, plutôt bien musclé comme un boxeur.

- T'as peur qu'il vienne, dit le policier en dézippant sa combinaison

- Normalement il ne devrait pas. Seb sait ce qu'il a à faire et il a comme instruction de nous déranger sous aucun prétexte sauf en cas d'urgence évidemment mais uniquement par téléphone.

Il tapote le portable dans la poche de son pantalon et à côté de la poche, je devine un machin qui force sur le tissu.

Ils parlent comme si je n'étais pas là.

Ratatiner dans mon siège, inquiet de les voir se dessaper, j'ose un:

-Eh oh, qu'est ce que vous allez faire ?

Le policier répond :

- Dis plutôt qu'est que vous allez ME faire? Eh bien, je pense qu'on va te baiser. Si t'es pas d'accord, tu peux encore le dire. On peut s'en aller. Par contre, si tu n'dis rien, t'auras pas intérêt à te plaindre.

Et le policier dégage ses larges épaules de la combi. Il la fait tomber sur ses hanches et plonge la main dans son pantalon en me fixant. Sa musculature est impressionnante et son attitude virile m'excite à fond.

Le contrôleur réagit:

- A vrai dire, c'est déjà un peu tard pour choisir, moi je bande, il va falloir au minimum que tu me fasses un petite gâterie.

Je reste sans réponse. Leurs allusions me font aussi bander. En fait, j'en ai très envie mais je prie que ce ne soit pas trop dur, que je puisse résister.

En me regardant, ils rigolent. Le policier vient vers moi, me prend par la tête en me la plaquant sur sa braguette puis il nous entraine vers le contrôleur qui tripote sa ceinture.

Je suis vite entrainé dans le vif du sujet.

Le policier se positionne face au contrôleur et me dirige le visage vers sa braguette en disant:

- Tu vois, il n'y avait aucun risque de refus. Il nous réclame. T'es si chaud que çà, toi?

Le contrôleur répond:

- Plus que tu l'imagines, j'ai rien eu à me mettre sous la bite depuis plusieurs jours et je me le croquerais bien, dit-il en venant à ma rencontre et en me forçant la déformation de son pantalon sur la face.

Coincé au milieu du compartiment pris en étau par deux beaux spécimen de l'espèce humaine, qui se frottent sur moi, je ne me débats pas, mais je savoure l'instant. En fait, j'aime être là et mon attitude passive les encourage.

Le contrôleur me parle.

- Ouais mec. C'est çà qui nous intéresse, profites en!

Je sens sur mes joues, les verges qui se tendent derrière le tissu. Les paquets gonflent dans les fûts. Les deux hommes se frottent tendrement sur ma tête, la réajustant des mains pour la maintenir aux points chauds.

Le contrôleur a une voix mâle et profonde, qui m'excite autant que son corps.

Il me dit:

-On a 3 heures de libre. On va te faire la fête mec. Tu peux même gueuler de plaisir, personne ne va entendre. On voit que t'en meurs d'envie. Eh bien, nous aussi. Tu les sens durcir ?

Dans ce piège de tissu, j'hoche la tête. Des odeurs diffusent. Tournant à gauche ou à droite, je respire les pantalons. Le noir sent bon, j'aime son parfum. Le policier lui est égal à ce que j'imaginais, il est taillé comme un joueur de rugby, il sent le mâle même à travers le tissu très doux de son uniforme. Ce mec m'attire furieusement.

En rigolant, ils se contorsionnent en enlevant les ceintures, se dessapant lentement. Le policier tombe tous ses accessoires et ouvre la combinaison jusqu'en bas du slip en la laissant pendre très virilement. Moi je ne peux pas le voir complètement mais de l'oeil gauche, je découvre qu'il a un slip noir et au dessus un bas ventre bien musclé, légèrement poilu chatain clair que j'ai envie de caresser. Il me saisit, me plonge le nez dans le slip noir. Je découvre la marque CK au raz des yeux. L'odeur de mâle est forte et excitante. Un des deux fait d'ailleurs remarquer que je bande aussi.

Et en effet, je bande dur. Dans ces conditions, j'aurais du mal faire croire à un viol et cela leur donne de l'assurance. Ils continuent à se mettre à l'aise sans se presser.

J'entends le zip d'une braguette, le pantalon gris du contrôleur s'ouvre près de mon oreille droite, pendant que je fouille le slip noir du policier avec le nez. Les mains du contrôleur m'accaparent et mon nez change de slip. De l'autre côté le slip est blanc, la marque Diesel remplace le CK.

J'hume à fond et le contrôleur noir s'arqueboute de plaisir en me lançant:

- Oh toi, t'es volontaire, on va bien s'amuser. Allez on se met en slip.

Et il me ramène un peu plus haut sur son ventre. L'autre fait de même et me colle de très près sur ses abdos.

J'ai la tête coincée entre 2 murs de muscles. Je ne vois que la porte du compartiment que je sais bien fermée. Je suis complètement à leur merci. Pour faire, diversion je leur demande leur nom et je provoque l'hilarité.

Ils s'écartent et s'excusent goguenard de ne pas s'être présentés. Torse nu , braguette ouverte ils font très mâles et je biche. Tour à tour, tout en me regardant bien dans les yeux, ils comblent l'oubli.

Le contrôleur commence. Il enjambe ma tête, m'écrase sa partie molle sur le nez me dominant de toute sa hauteur. Je peux admirer son torse puissant très peu poilu. La pilosité bien foncé commençant abondamment sous son nombril en amande.

-Moi tu m'appelleras Greg, quand je vais te défoncer si c'est trop dur cela peut te servir, mais prononce bien, sinon çà ne m'arrêtera pas.

Et il m'écrase son slip sur le visage en faisant enfler son pénis à la limite du bord. De plaisir, il rejette la tête en arrière, toute sa musculature est tendue. Le policier à l'arrière me plaque bien sur lui. J'ai un bel avant-goût de ce que je vais subir. Mais j'aime être écrasé et je suis impressionné par la forme de l'engin qui déforme le slip blanc du contrôleur. Je n'ai jamais été aussi prêt d'un pénis et c'est très excitant. Il me donne comme un coup de tampon de son sexe et se retire.

Maintenant au tour du policier.

Gentillement, doucement,il me positionne face à lui et descend lentement sa combinaison à mi-cuisse. Ouah! c'est fort. Il a une belle érection sur un superbe corps. Des deux mains, il me prend la tête et l'ajuste lentement à la base du slip noir dans la masse molle de ses couilles en prenant la même position de domination que le contrôleur.

- Moi tu m'appelleras Sam et contrairement à ce que pense Greg, je doute que quand tu l'auras profondément enfoncée dans la bouche, tu puisses appeler.

Et il appuie sur ma tête en forçant le bassin en avant, tous les muscles durcis. Je prend la pression en m'accrochant à ses cuisses et je comprends que ce mec est en béton. Le plus remarquable est la belle bosse qui tend le slip noir au raz de mon visage. Encore un pénis très proche et je ressens la même excitation.

Lui aussi est très excité, il se met à me tamponner le visage plusieurs fois en me calant bien, de plus en plus serré dans la masse molle de son slip. Il observe ma réaction à chaque coup avec un beau visage gourmand. Une fois, il appuie m^me plus longuement jouant des cuisses pour me maintenir bien calé et me malaxer le visage.

J'aime son contact et il le sent.

Il en profite pendant 2 longues minutes avant de se retirer lui aussi le visage ravi et le pénis bien tendu.

J'ai bien compris que ni Greg, ni Sam ne s'appelle comme çà, ce sont des prénoms d'emprunt mais ils me plaisent.

Sitôt présenté, ils relèvent tous les sièges et m'amènent au centre du compartiment. Ils me regardent tendrement, bandant comme des bêtes puis sans un mot, très sérieux, d'un commun accord, ils me plaquent la tête entre leurs abdos, et finissent de se dessaper lentement.

Je suis tous les mouvements, et ressens le massage de leurs abdos lorsqu'ils se contorsionnent pour ôter chaussures, chaussettes, pantalons, combinaisons. Ils sont silencieux, impressionnants. C'est un vrai striptease, bien lent, excitant, avec une montée progressive de l'excitation mutuelle.

Le fait de me faire sniffer tout ce qu'ils tombent, à tour de rôle y fait beaucoup.

C'est un long et bon moment d'excitation. Je vois tour à tour dans mon champ de vision les cuisses et les bras qui viennent me caresser le visage quand ils dégagent leurs affaires. Parfois perdant l'équilibre, ils s'appuient sur moi et j'aime çà. Dans la petite ouverture qu'ils me laissent entre leurs abdos, je vois les vêtements se ranger sur les banquettes.

Ils ne gardent que les slips. Bien campé sur leurs jambes, mains derrière le dos, Sam et Greg décident de faire jouer leurs abdos pour glisser ma tête lentement plus bas. C'est jouissif.

Je ne contrarie pas le mouvement des muscles et bientôt je me retrouve les joues collées entre les slips turgescents, noir d'un côté, blanc de l'autre. Les sexes sont très chauds et très durs!

Sam casse le silence en demandant:
- Il reste combien de temps.

- Plus de 2h30 de plaisir intense, on va le défoncer, répond Greg

- Qu'est ce que tu dirais qu'il découvre lui-même nos appareils en enlevant nos slips avec les dents?

- Ah ouais! c'est une très bonne idée. Moi, je lui ferais bien l'enlever par l'arrière.

- Ok alors tu commences. T'as compris en bas, tu vas enlever nos slips.

Greg me quitte et s'appuyant sur le mur, fesses en arrière il m'attend.

Le fessier est musclé, ferme, son boxer blanc le galbe parfaitement. Sam me positionne gentillement en face et m'y approche doucement le visage puis brutalement d'une main ferme me le plaque profond dans la raie de Greg. Greg serre les fesses. C'est chaud odorant, c'est bon!

Sam me susurre:
- Tu as compris ce que l'on veut, alors enlève le slip de Greg sans les mains mec et bien lentement pour me faire jouir.
Et il me lâche.

Le nez dans la raie odorante, je remonte la tête vers la ceinture Diesel découvrant le dos musclé de Greg. Je décolle l'élastique du corps noir avec les dents puis je tire vers le bas en regardant dedans. Je découvre ce fessier exceptionnel et emprunte le chemin de sa raie profonde et légèrement poilue frisée. Greg l'ouvre en tendant les fesses comme une invite à y plonger. Je descend doucement le slip, frottant bien mes narines dans la vallée, profitant de l'odeur. Greg est bien lavé mais ses poils foncés ont conservé une légère odeur de cul qui ne me déplait pas. Je ratisse lentement et profondément sa raie.
Il ramène les mains pour l'y enfoncer encore plus quand j'arrive au niveau de l'anus en acquiesçant:

- On n'a pas besoin de le pousser, le petit gars, ouais lèche moi çà, c'est bon !

Continuant, j'arrive tranquillement en bas de la raie à la limite entre les cuisses et les fessiers. C'est un endroit chaud bien poilu où siègent les couilles qui embaument fortement la testostérone.
Je suis hyper excité. Eux aussi.

Sam me plaque dans Greg en disant entre ses dents:

- fourre la tête dans le slip et descends le au sol.

Je m'exécute en plongeant vers les boules, je plaque le visage dans le fond de culotte odorant et Greg m'y bloque en me malaxant la tête dans ses cuisses. Je l'entends approuver:

- Ouh, c'est bon çà.

Je sens ses couilles posées sur mon crâne, frémissantes. Ce sont celles qui donnent tant d'odeur au tissus que je respire. Je commence à tirer vers le bas mais Greg me bloque de ses puissantes cuisses.

J'adore et je le montre en caressant l'arrière des muscles qui me serrent.Ils sont fermes.

Greg me laisse aller par à coups en me bloquant régulièrement. Au niveau des genoux, alors que je caresse ses mollets, il me laisse filer et je me retrouve au sol. Il lève les pieds alternativement en me caressant les joues et me laisse accroupi au milieu du compartiment son slip bien enfoncé sur la figure.

Sam se présente devant moi. Le slip de Greg toujours enfoncé comme une cagoule, je lève les yeux vers lui et là je reçois un choc.

Sam est beau comme un dieu. Les deux mains plaquées sur son sexe en position d'attente, il est géant de sex-appeal. Je bande à fond.

Il me relève la tête du pied, écarte les mains et d'un hochement de tête très sexy, me montre le chemin de ses abdos.

J'ai compris, je monte vers lui détaillant les cuisses bien faites. Je m'arrête devant l'énorme érection du slip noir hypnotisé par le morceau. Les mains de Sam m'indique de monter plus haut et je me retrouve sur le bas ventre que je voulais caresser tout à l'heure. J'y pose la joue et caresse. Sam me reprend la tête et me plaque vigoureusement des deux mains, le nez dans son nombril. Je sens la vibration de son corps.

Se calant bien sur les jambes, il me dit de prendre son slip avec les dents sans lui bouffer les poils. Avec les lèvres, je chope la ceinture du CK et je tire. Immédiatement, son pénis sort et vient s'enficher dans le slip blanc de Greg sous mes narines. Ouah! le gland de Sam sent trop bon! Le mec est parfait.

-Maintenant descend le slip, dit-il autoritairement

Je descend le slip noir en montant les yeux vers lui soumis. Un sourire se dessine sur son beau visage mais vite remplacé par une contraction impressionnante sous l'effet de la jouissance. J'aime cette situation. L'engin de Sam sort et investit complètement le slip blanc. Tout son sexe me couvre le visage et il reste ainsi une minute à l'y frotter lentement, mais vigoureusement en me maintenant fermement la tête des mains.

Entre le gland, les couilles, les poils de Sam et le fond de culotte de Greg, le mélange d'odeur est détonnant. Je respire à fond et je les entends rire. Je dois bander à max.

Au bout de quelques minutes, écartant les cuisses, Sam m'enfile la tête sous ses couilles dans son fond de culotte et me sert. Des mains, il appuie sur mon crâne pour que je descende.

Le slip de Sam est ce qu'on appelle un moule bite. Le boxer blanc de Greg est remonté sur mon front dans l'action et je me retrouve le nez gainé de tissu noir odorant mais les yeux bien dégagés pour suivre la descente le long des belles jambes poilues châtains frisées de Sam. Sam, comme Greg tout à l'heure, me malaxe la tête de ses cuisses en m'y arrêtant de long moment. Puis aux mollets il continue jusqu'à ses pieds. Le spectacle en vaut la peine et je le caresse tout le long. Quel athlète!

Arrivé en bas sur la moquette, Sam se débarrasse de son slip, me retourne avec ses pieds et là je vois les deux mecs nus au dessus de moi en train de se tripoter leur braquemart géant en le décalottant?

Sam souriant me lance:

- Waouh! tu nous excites bien mec. On continue ?

Il s'assoit sur la table à l'aplomb de ma tête et se met à se branler doucement en me fixant langue légèrement tirée comme pour me signifier de lécher.

C'est lui que je préfère mais c'est Greg qui agit en premier.

Souriant lubriquement, Greg m'enjambe, me tire vers la porte puis descend s'installer sur mon torse ses couilles me frottant le menton, la tige énergiquement dressée. Il me libère des slips et me caresse les narines avec son engin odorant. Puis en position de faire des pompes, il pointe son gland sur mes lèvres et m'ordonne d'ouvrir la bouche.Le mec est lourd et je refuse. Il essaye plusieurs fois de le rentrer de force mais je refuse de peur de ne pas pouvoir tenir sous la masse de muscle de Greg. Cela l'énerve, il se met à m'étouffer sous son sexe en m'écrasant la tête complètement arquebouté. Sa bite me laboure le visage et ses cuisses me prennent le torse en étau. Mais quand il repointe son pénis sur mes lèvres, pensant que je vais me soumettre, je ne l'accepte toujours pas. Il est en rogne. Sam lui propose autre chose:

- Arrête Greg, tu perds du temps, on va le prendre à genoux. Amène le au centre.

Greg se lève et m'entraine avec lui, en disant :

-Ouais viens mets toi à genoux au milieu de l'allée. J'vais t'apprendre à résister en te baisant en levrette grave.

-Calme toi Greg, on va plutôt le prendre gentiment, répond Sam

Je m'exécute et je me trouve face de leur deux pubis les bites tendues très proches du visage.

Sam vient frotter son gland sous mon nez comme s'il en peignait les contours demandant à Greg:
- il reste combien de temps,

- 2h,

- c'est bon, on continue.

Puis s'adressant à moi:

- Dans quel sens tu préfères les bites, la noire sous la narine droite ou l'autre.

Soulagé de ne plus être à terre sous Greg, je pense à lui en premier et réponds: "noire à droite"

Et dans un bel ensemble, le gland noir du contrôleur se plaque sous ma narine droite et le gland rose du policier sous ma narine gauche. Ils m'ordonnent d'humer à fond. Les deux sont déjà un peu baveux et très odorants. Je lève les yeux vers eux et respire à fond en jouant l'extase. Je sens un frisson parcourir leur corps. Avec un sourire salace, ils me plantent leur engin comme s'ils voulaient entrer dans mes narines. C'est chaud.

Sam constate:

- Ouah le salaud, il nous provoque. Il est vraiment très très coopératif.

Leur complicité est parfaite et je sens que j'ai franchi une limite, ils sont prêts à se déchainer. Sam hyper excité me le signifie en me plaquant durement dans un des sièges relevé du compartiment et en refermant son étreinte sur ma figure.

La face dans le pubis de Sam, je ne vois plus leurs visages. Sam me force à avaler l'intégralité de son pénis et le retire aussitôt. Il passe la main à Greg qui m'enfonce le sien. Ils entament un tour de rôle rapide. Le pénis noir me transperce la bouche, pendant que le blanc se frotte entre le pubis du baiseur et mes narines ou se branle au raz de mes yeux et vice versa.

Je subis une sacrée pression, mais qu'est que je suis bien, je pompe à fond ce qui se présente.

La tension monte, les corps sont chauds et les pubis humides de sueur. Mon nez plonge tantôt dans les poils noirs tantôt dans les poils châtains et, gourmand, je prends leurs fesses à pleine mains pour les aider à pénétrer.

Je les entends râler de plaisir au dessus de moi. A un moment, Greg prend le dessus en accentuant les coups de bassin. Poussant Sam de côté, il me saisit la tête à deux mains et, jambes bien écartées, il se met à se frotter langoureusement sur ma face et à me pénétrer à fond. Je ne peux que suivre le mouvement. Je sens à la dureté du pénis et à sa pénétration appuyée que Greg est au bord de l'éjaculation. Elle n'arrive pourtant pas vite. Je la sens monter au fur et à mesure que les cuisses de Greg se tendent sous mes mains. A un moment il me plaque le front fortement sur son bas ventre pendant que son pénis me ramone par à coups. Soudain le jet part abondant. Dans une étreinte prolongée, il me fait tout avaler en râlant de plaisir:

- Ouah c'est bon ! avale tout, il ne faut pas salir le matériel.

J'entends Sam assis sur la table qui se branle en soufflant. Le mec est sûrement fin prêt et dès que Greg sortira de ma gueule, il va me sauter dessus.

Mais Greg prend son temps, il me plaque le nez dans son pubis et laisse son pénis désenfler doucement dans ma bouche et se vider, en me caressant le crâne et en m'encourageant à poursuivre la succion :

- Ouais vas-y mec, pompe la grosse paille, vide la bien.

Et je pompe Greg qui se retire très lentement de moi, jouant le kako en bombant le torse et bandant les muscles de ses cuisses. Quand son pénis humide sort complètement il me le plaque sur la face virilement au point que l'engin se remet un peu à durcir le long de mon nez pendant que mes narines touchent ses couilles frémissantes. Il me monte sur le visage et ma tête disparait dans son entrejambe. Le nez maintenant écrasé par des testicules odorantes, j'observe au dessus de mes yeux, l'énorme pénis de Greg qui se tend dans un ultime baroud d'honneur avant de dégonfler progressivement en retombant sur mes yeux. Je peux voir la face goguenarde du contrôleur qui surveille l'opération en commentant.

- Oh Oui, elle t'a aimé et tu lui rends bien. J'n'ai pas eu une baise pareille depuis longtemps.

Puis s'écartant enfin, il cède la place et va s'affaler dans un siège complètement en extase, pénis mou pendant entre ses jambes.

Relâché brutalement, je me rattrape sur les mains en inspirant une bonne bouffée d'air frais.

Greg lance:

- Oaouh! quel suceur. Vas y Sam! Tu dois être hyper excité, défonce le que je m'amuse.

A quatre pattes au milieu du compartiment, je me tourne vers Sam. Il est assis sur la tablette, jambes écartées se caressant le sexe en me fixant avec un demi-sourire entendu. J'aime ce que je vois dans ce regard. Sam se positionne en appui sur les bras et poussant son bassin sur le rebord de la table, montant les pieds sur les sièges,il érige bien en vu son énorme érection en me fixant. Il m'invite.

-Viens là que je te baise mec.

A quatre pattes, je fixe l'énorme phallus, les testicules bien calibrées et cet entrejambe musclé et poilu comme je n'en ai jamais imaginé. C'est très engageant mais je suis figé sur place comme hypnotisé.

Greg revient en proposant ses services :" un peu d'aide ?" et joignant l'action aux paroles, il se place derrière moi, me saisit le menton par derrière et en me plaquant fermement le crâne dans son entrejambe, il s'avance vers Sam. Sam lui lance un regard de complicité touchant et se met en position d'attente, cuisses écartées au maximum.

A quatre patte, forcé de suivre le mouvement, ma face approche inexorablement du point de contact.

Greg prend un malin plaisir à faire durer et en positionnant mon nez à 2 millimètres de la peau de Sam sans la toucher, il me fait faire le tour de son entrejambe en commençant au raz de la table par la face intérieure de la cuisse gauche. Moi humant l'odeur des muscles, je ne quitte pas des yeux l'impressionnant phallus de Sam, complètement décalotté, qui bat l'air sous les pulsations de son c?ur. Sam joue le jeu et se tend. Quand Greg approche ma tête à la base de son sexe, le nez touchant presque la raie de ses fesses, Sam tente de me toucher. Mais Greg est vif et me recule puis sans perdre de temps, il m'engage dans un tour des testicules. Il me fait dessiner chaque couille du bout du nez. A quelques millimètres de la peau suante de Sam je renifle. Greg en expert, me fait glisser sous les couilles dans les poils bouclés de la limite de la raie, puis dans les vallées tendres et odorantes à la base des cuisses, puis il remonte à la base du phallus et me fait descendre entre les deux testicules frémissantes. Il insiste dans tous les coins chauds de Sam. Quand c'est possible, je vois les abdos de Sam se tendre et se détendre sous l'excitation montante. J'en rajoute en respirant profondément tant l'odeur mâle de Sam me plait.

L'escalade du phallus est le point culminant de la visite. Greg prend son temps me faisant parcourir l'engin en zigzag, ne perdant pas une occasion de me faire caresser du nez la toison dru du pubis. Plusieurs tentatives de Sam de me plaquer dedans échouent. Greg le pousse à bout, à chaque fois, je vois Sam tout en muscle, se tendre d'excitation, soufflant fort, les yeux fermés, narines frémissantes. C'est impressionnant.

Le phallus de Sam est animé de soubresaut et Greg renonce vite à m'éviter son contact. Je glisse donc le nez dessus et nous arrivons au point culminant, la cerise turgescent et humide. Greg me fait faire le tour de la base du gland et j'en prend plein le nez sur cette peau douce et humide, puis il me plaque les narines sur les petites lèvres du pénis et me laisse profiter de l'instant. Sam tous les muscles tendus me fixe en avançant le bassin comme pour me transpercer. Ses mains ont du mal à rester sur la table. On sent qu'il veut me saisir. Son pénis ressemble à une lance et il s'arqueboute sous mon nez. Placé ainsi, je suis face à face avec Sam qui me regarde avec des yeux de braise en soufflant comme une forge. Son désir est exacerbé et je vois qu'il va m'exploser à la gueule lorsque Greg va le libérer. Bizarrement, j'attends ce moment avec désir. Placer comme je suis, en humant à fond ce gland odorant, je détaille toute la musculature de Sam du pubis au cou en passant par ses abdos bien dessinés et ses pectoraux d'athlète. Sam s'appuyant dos à la vitre, ramène ses bras derrière la tête, me faisant découvrir de sérieux biceps et des aisselles bien fournies. J'admire ce corps fabuleux et attirant. Le regard que j'échange avec Sam est plein d'intensité. Le mec est beau et il sait que je le désire, il attend difficilement que Greg le libère. Prenant appui sur ses cuisses, je tente d'échapper à l'emprise de Greg, mais me saisissant mieux me il maintient fermement les narines sur la cerise. Un effet de va et vient s'instaure. Le gland de Sam de plus en plus humide dérape parfois de mes narines mais est vite réajusté par Greg. Sam souffle de plus en plus d'excitation. Son pénis est brûlant.

C'est le moment que choisit Greg pour se retirer et par réaction je me détache de Sam.

Un top vient d'être donné. Sam se levant brutalement me saisit la tête et me la plaque fortement sur son sexe en rut. Je paye durement le quart d'heure d'excitation, Sam est à bout, et décidé à me baiser sauvagement.

Bien calé sur les deux jambes, il s'installe devant moi et de tout son poids mains derrière le dos et pénis en avant, l'athlète me plaque dans un dossier comme s'il voulait me faire rentrer dedans. Il me travaille du bassin et je sens une petite lubrification sur ma joue. L'odeur est forte et délicieuse. J'hume le pubis, en admirant le bas ventre puissant collé au dessus de moi. Sam se tend plusieurs fois de suite, m'écrasant fortement, mais je résiste en profitant au maximum de ce contact viril.

Soudain levant la jambe gauche, il me plonge le nez entre ses couilles et sa cuisse et de la main droite m'y maintient bien collé en observant ma réaction.

Je frotte mon nez dans l'espace chaud. M'enjambant un peu plus, il s'amuse à faire battre ses couilles sur mon nez avec les encouragements de Greg qui, jambes très écartées, se caresse non loin lui aussi très excité.

Sam s'assoit doucement me bloquant la tête énergiquement pour m'obliger à suivre le mouvement.

Je profite à fond de la puissance de ses jambes et finis à quatre pattes la tête bien serrée au plus profond de son entrejambe. Je ne vois rien mais je suis au chaud bien maintenu et son odeur me plait.

Je ne touche pas le siège, Sam est probablement assis en bout. Tout en me malaxant la tête de ses cuisses et de ses mains, il parle à Greg:

- J'attends ce moment depuis longtemps, il reste combien de temps.

- Moins d'un 1/4 d'heure Sam, je crains de l'avoir mobilisé un peu longtemps.

- Oh m...., c'est vrai, j'commence à peine!

- Ouais, on a pris notre temps. Nous on n'l'a pas vu passé mais lui il a du le sentir. Il ne faut peut-être pas abuser.

- Arrêtes, je le sens chaud là, il est encore demandeur, dit Sam en serrant les cuisses, il y a sûrement un moyen que je continue, on n'est pas au terminus.

- C'est vrai après cet arrêt, je peux te laisser, interdire la voiture et en surveiller l'accès, répond Greg, mais j'aimerais que tu lui demandes son avis.

- Facile toi t'es comblé, moi je l'ai pas encore eu, mais bon pourquoi pas, j'ai cru lire dans ses yeux qu'il me veut.

Les cuisses de Sam se détendent et s'écartent. J'en profite pour récupérer une bonne bouffée d'air frais. Il me relève le menton vers lui et avec un regard doux et séduisant, il me pose une question qui ne laisse pas trop le choix.

-On n'peut pas en rester pas là, hein, tu serais frustré et il faut que je me libère. Soit je te baise en 30" plutôt brutalement et on arrête tout, soit on peut prendre le temps. Combien Greg ?

Greg s'est levé et de toute sa hauteur se place derrière moi en me regardant et répond:

- Tu aurais largement plus d'une heure, Sam.

Quatre yeux sont braqués sur moi et les visages sont fermés, sérieux.

- Alors ton choix mec ? vite. Pour moi, c'est tout réfléchi, j'veux vraiment prendre mon temps.

J'ai deux choix, me faire assassiner en moins de trente secondes par un mec en colère, frustré de ma réponse négative, ou continuer seul avec le musculeux Sam plus tranquillement plus sensuellement.

Je le regarde, il est très beau et très très séduisant. Il me regarde avec intensité et cela me donne des frissons. Profondément, malgré ce que j'ai déjà subi, j'ai aussi très envie de continuer et je bande sévèrement.

J'hoche la tête et le visage de Sam se ferme. Les mâchoires serrées, il me lance méchamment:

-Oh putain! 30". Tu vas le regretter

Et il se lève m'entrainant avec lui, m'écrasant de tout son poids dans le dossier du siège d'en face et m'enfournant brutalement son braquemart jusqu'à la garde. Il se met à attaquer bestialement. J'explose sous ses violents va et vient. Sans comprendre, je me débat en lui frappant les cuisses. Rien n'y fait, c'est un bloc et le nez écrasé dans son pubis, j'en prend plein la gueule. C'est très douloureux.

Greg se met à éclater de rire, en lui lançant:

-Calme toi, Sam! il avait dit oui!

La bête se relâche, sortant brusquement son pénis de ma bouche et reculant au milieu du compartiment. Il me regarde tout penaud en m'interrogeant:

- C'est vrai?

Je n'arrive pas à répondre tout de suite, je reprend ma respiration avec mal. Il me regarde intensément, un peu menaçant, prêt à repartir, pénis tendu à bloc. Pour éviter, un nouvel assaut, j'hoche la tête de haut en bas nettement et me présente à genoux devant lui le menton sur son sexe la tête en l'air en signe de soumission. Il me regarde gêné puis son beau visage s'illumine.

Il se tourne vers Greg:

-Oups désolé, j'avais mal compris. Là pas besoin de parole, çà va être génial!

Là dessus, Greg passe derrière moi, me tire la tête en arrière et m'enjambant, me coince entre ses cuisses en disant à Sam:

- Ok, mais si çà ne te dérange pas, j'vais d'abord m'habiller sur lui. Il reste dix minutes. Assied toi et profite du spectacle!

Je suis coincé la tête en arrière, le nez dans les couilles de Greg, avec comme seule vue son puissant fessier. Il me malaxe de ses cuisses en cherchant ses vêtements. Je sens son pénis amorphe au repos dans mon cou. C'est néanmoins plus confortable que sous les coups de boutoir d'un Sam en colère.

Greg est en train d'enfiler tranquillement sa chemise qui tombe sur mon front. Il parle à Sam en même temps sans faire vraiment attention à moi.

- OK, je condamne la voiture, je surveille les montées puis je vais voir Seb et faire quelques contrôles. Toi, tu fais ton affaire mais surtout pas quand on est à quai. Attends le redémarrage. Si quelqu'un montait ce serait la cata.

Le temps d'enfiler sa veste de la boutonner tranquillement, Greg finit par me lâcher en m'indiquant mon siège près de la fenêtre.

- Installe toi là !

Je me lève encore plein de l'odeur de son sexe. Sam est assis tout nu et très décontracté sur un siège près de la porte le sexe est déjà en parti dégonflé. Hilare, il regarde Greg complètement habillé en haut avec sa casquette bien vissée sur la tête mais tout à fait nu en bas. Il me regarde puis il regarde Greg étonné et lance :

- Tu devrais aller contrôler comme çà tu aurais du succès. Qu'est ce tu fais ?

Greg s'adresse à moi:

- Alors tu t'assois on a pas tout le temps.

Docilement, n'ayant surtout pas envie de provoquer de nouveau déchainement, je m'installe le long de la fenêtre, en les regardant attentivement.

Sam et Greg sont vraiment sexy.

Sam les yeux rieurs complètement écarquillés passe son regard de Greg à moi attendant la suite. Greg lui répond:

- j'en ai pas fini avec lui.

Et il me demande mon billet. J'ai déjà vu çà au début du voyage. Il prend la même attitude soupçonneuse. Il vient aussi me coller. Mais là, je ne suis plus face à un pantalon avec une excroissance attirante, mais face à un pénis noir qui commence à pointer vers moi au travers des pans de sa chemise blanche.

Je cherche mon billet sans mot dire et lui tend. Il le prend et l'examine en se rapprochant très très près de moi. Un contrôleur musclé, les cuisses à l'air se rapprochant de vous au point que sa cerise turgescence vous caresse les narines est une situation rare mais inoubliable. Je l'observe sans moufeter.

Greg est sérieux, il tourne le billet dans tous les sens en me peignant le nez avec sa queue. Je ne peux que renifler l'engin et j'aime toujours autant. Il me rend les billets en disant:

- T'es en règle, mec et t'es vraiment un bon coup, on va se quitter mais il faut que tu viennes chez moi.

Et à Sam:

- Je vais te donner mon adresse Sam, tu me l'amènes. Maintenant passe moi mes fringues. Merci.

Greg lève une jambe met son pied sur l'accoudoir et me plaque dans le siège en m'écrasant complètement ses parties sur le visage. Le morceau qui me couvre est déjà en train de se tendre. Il se remet à bander. Sa main gauche rejoint ma tête tenant son boxer blanc. Il continue donc de s'habiller coller à mon visage. Il se gratte au passage carrément sous mon nez, puis la main continue plus bas. Le boxer blanc se met en place lentement. Ma tête subit la pression des muscles lorsqu'il le passe dans la jambe gauche puis la droite et qu'il le remonte aux genoux. Maintenant, bien calé sur ses deux pieds, me couvrant toujours le visage avec sa nouvelle érection, le pénis bien dur collé le long de mon nez, il me demande de continuer de l'habiller. Je m'exécute.

Cherchant à tâtons le slip à la base de ses cuisses, je le remonte et le glisse sur le fessier. Greg est tellement collé à moi que le boxer butte sur ses couilles qui enflent sous mes narines. Greg m'aide à les rentrer avec les mains et le tout est vite emballé. Il se recule de 10 cm et je vois le boxer bien rempli tendu par son pénis bandé avec le gland qui dépasse encore au niveau du "i" de la marque comme un gros point supplémentaire.

Greg s'étire en avant et une perle de sperme jaillit au sommet de son pénis. Je ne peux m'empêcher d'aller la chercher du bout de la langue en titillant sa cerise. Il se tend au maximum en soupirant:

-Waouh! Tu sais y faire toi, dommage qu'on arrive, viens vite me voir chez moi.

Bandant à fond, il se détache et à moins de 20cm, il enfile ses chaussettes, son pantalon, zip sa braguette, ajuste sa ceinture et finit par les chaussures. Le tout d'une manière hyper sexy sans me quitter des yeux.

Dans le coin Sam n'en perd pas un miette, il est assis nus jambes écartées, un sourire figé sur son beau visage et la main gauche actionnant rêveusement sa tige décalottée.

C'est là ma prochaine destination.

Complètement habillé, Greg prend sa clé ouvre le compartiment et s'en va avec la trique en rappelant les instructions:

- je vais faire mon annonce, amuse toi bien, mais attend bien le départ du train et fait attention qu'il ne crie pas en gare.

Sam se lève accompagnant Greg:

-OK, j'attendrai le redémarrage mais tant qu'on roule je vais m'amuser un peu. Le train arrive dans combien de temps?

Greg répond en riant: "à peine 5mn Sam, tu ne vas pas jouer longtemps"

Nu, appuyé sur le chambranle, parlant à Greg qui s'en va faire son annonce, il m'offre une vue particulièrement excitante de dos. Quel mec! Quel physique!
Il est grand, il touche presque le haut de la porte. Très athlétique, ses épaules sont larges et musclées et ses nombreux muscles réagissent à chaque petit mouvement. Il tient la porte ouverte par le haut et ses biceps sont impressionnants. Sous son aisselle une belle touffe de poils châtains soyeuses se déploie comme un éventail. Son dos en V donne sur deux petites fesses pommelées, attirantes à souhait. Ses longues jambes sont légèrement poilues légèrement frisées sous la marque du short, comme j'aime. Les cuisses sont musculeuses, les mollets parfaits et la jonction profonde entre les deux est un havre à bisous. Quelle plastique!

Entre les cuisses, c'est un peu plus poilu. La base de la raie s'évase sur une nouvelle touffe de poils châtains, plus musquée je suppose. Je distingue l'ombre d'un testicule qui pend, çà m'excite. Je plongerais bien le nez dans tous les coins poilus de Sam. J'en ai très envie! J'attends de savoir à quelle sauce il va m'accommoder.

Il ferme la porte,les rideaux du compartiment et se retourne les mains derrière la nuque en s'étirant, inspirant à fond. La tête un peu penchée souriant, il me dit:

- Voilà t'es complètement à moi maintenant, je te plains, je vais t'exploser.

Je détaille l'athlète de face maintenant. Le premier truc que je vois c'est naturellement le pubis touffu, qui remonte par une ligne de poils jusqu'au nombril. Son pénis qui pointe vers moi complètement décalotté, est serti dans la pilosité frisée qui descend de part et d'autre des testicules bien symétriques puis sur la face interne des cuisses. Bien posté sur les deux pieds, ses muscles vibrent. Le torse est massif, les abdos bien dessinés, deux énormes pectoraux et des dessous de bras comme des pubis miniatures, très fournis.

Les biceps sont saillants, les avant-bras fibreux, un cou de taureau et une face angélique qui me parle:

- On arrive en gare, tu vas m'habiller.

Il se baisse, rassemble ses vêtements et me les lance. Je prends les fringues et m'installe en face de lui à genoux, le nez sur sa cerise que je trouve très parfumée. Sans changer de position il me regarde d'en haut. Je prends le slip et l'ouvre à ses pieds. A ce moment là Greg lance son annonce.

Sam repousse le slip du pied sous le siège et me dit:

- On n'a pas le temps, met moi le jean et ne t‚avise pas de me pincer avec la braguette.

Je lui présente le jean au ras du sol. Levant les cuisses alternativement en les écartant bien comme un vrai frimeur ou plutôt comme un vrai mec, il place les pieds dans le jean. Je lui remonte en le caressant. Çà fait son effet, il me tamponne les narines avec son gland, la tête relevée les yeux fermés, inspirant fort.

De la main droite précautionneusement, je plaque le pénis sur son bas ventre, je rentre les couilles avec mon nez. De la main gauche, je remonte lentement la fermeture éclair. Il se contracte mais il n'y a pas d'accident. Heureusement pour mon matricule.

Il est maintenant torse nu avec une grosse bosse au niveau du jean. Je boucle la ceinture et collé à lui je me lève, lui ratissant le torse en inspirant son odeur et en l'embrasant tout le long. Je l'entends grogner de plaisir. Son torse se gonfle et se relâche comme une puissante forge sous l'effet de l'excitation. Debout je ne suis qu'au ras de son cou puissant. Il ramène ses coudes en avant pour enfermer ma tête et je bisoute ses veines saillantes. Le train commence à ralentir. Les dents serrées il m'avertit:

-Pousses pas trop mec, je n'vais plus me contrôler. Enfile moi vite un t-shirt.

Je saisis son t-shirt gris et je lui présente. Bras tendus, il cherche les manches. J'en profite pour aller renifler ses aisselles. Quel délice ! d'autant que c'est bien humide la dessous. Lui continue et quand les aisselles se referment, je suis le nez sous la droite,inspirant à fond. C'est probablement son bras le plus puissant. Il me serre un bon coup et m'écarte me donnant l'ordre de m'allonger sur le dos.
J'obéis. Sam rassemble ses affaires et les jettent sous les sièges. En jean et t-shirt gris, s'activant ainsi, il est craquant.
Il s'approche de ma tête et me dit:

- Pour être sûr que tu ne cries pas, j'n'ai qu'une solution, te fermer la gueule.

Je me prépare à recevoir, un coup de poing anesthésiant mais il place un genoux le long de mon torse et s'assoit sur ma tête en me l'écrasant de tout son poids. Il est lourd et n'arrivant pas à respirer je commence à hurler. Mais le son se perd dans sa masse. Sam relâche un peu la pression juste assez pour que l'on ne puisse pas m'entendre mais que mes narines trouvent un peu d'air. Satisfait, il me maintient bien sous lui avec les mains. Le train s'arrête enfin. Greg annonce 3 minutes d'arrêt. Waouh! çà va être long. Sam s'amuse à me rouler sous ses fesses et j'imagine le tableau. Cà doit être assez chaud et çà doit le faire bander.

Soudain, il se contracte m'écrase complètement. Je me mets à geindre. Il se lève me plaque la main sur la bouche en me faisant signe de me taire. Il est inquiet et il entrouve le rideau en me disant:

- Il y a quelqu'un dans le couloir, Greg avait promis. Heureusement que tu m'as rhabillé.

Au même moment la porte du compartiment s'ouvre en grand, laissant apparaître un jeune contrôleur en tenue. Il se présente:

- Je suis Seb et Greg m'a tout expliqué. Il m'a dit de venir t'avertir que le champ est libre. Tu peux y aller mec, défonces le.

Et prenant son entrejambe à pleine main, en se remontant les couilles, il me regarde dans les yeux et dit à Sam:

- Mais ménage ta monture Sam, j'suis le prochain à faire un tour de manège.

Et il éclate de rire. Sam réagit:

-Ouais bien, mais je vais prendre mon temps et je te promets rien, il m'excite trop.

Seb se caressant l'entrejambe, en me dévisageant lui répond:
- Fais ce que tu peux. j'prendrais ce qui reste. Waouh, il commence aussi à m'exciter.

- Ok maintenant laisses nous, dit Sam

Vu ce que je viens d'entendre, je porte un peu d'intérêt à Seb. Je l'observe pour deviner son type. C'est un gars de ma taille, pas une baraque, mais bien équilibré, il fait très mâle avec des petits côté loub. Il est blond, plus jeune que Sam avec un beau visage et des yeux bleus intenses qui vous transpercent. Il a un sex appeal évident.

Seb se retire en lançant:

-Amusez vous bien. Nous, on boucle la voiture et on va dans le compartiment du bout. Il n'y a toujours personne dans le train, tu peux y aller librement Sam.

A peine le compartiment fermé, le train démarre. Sam se dessape complètement et montant sur les sièges les mains accrochées aux portes bagages, il tend son sexe vers moi et me dit:

- Viens redynamiser tout çà !

Un vrai singe, son sexe est à la bonne hauteur et je n'ai même pas à me baisser pour aller fourrager dedans. Le machin est pointé vers moi en semi-érection.

On a quitté la gare, le paysage défile derrière moi. Sam en appui sur les portes bagages métalliques, sexe en avant, m'attend avec impatience:

- Viens te planter sur mon pieu! dit il en écartant les cuisses à fond.

Un phallus m'attend en effet, cependant il est un peu mou à mon goût. Je glisse donc la tête sous Sam, comme sous une voiture sur un portique, et fourrageant du nez ses testicules, je suis lèche délicatement le bas de la raie dans la belle toison de poils odorants à la recherche du point sensible près de l'anus.

Sa tige au niveau de mes yeux reprend du volume, il se tend refermant ses cuisses sur mes joues. Je continue de lécher profondément en observant avec des yeux langoureux sa figure au loin qui me regarde travailler. Sam me toise de toute sa hauteur et la transformation commence.

Son visage se crispe, la bouche s'ouvre en forme de "O", sa langue s'agite à l'intérieur, il ferme les yeux en fente et se met à soupirer. Le torse se tend, la respiration s'accélère et le pénis grossit dégageant à se rompre sa cerise rose. Je le rends fou.

Faisant des barres sur les portes bagages, Sam finit par se hisser sur les bras et m'encercle la tête dans ses jambes en me faisant tituber. Pris dans l'étau de ses cuisses, ses couilles écrasées sur le visage, je vois l'énorme phallus érigé comme un obélisqe me battre le front.

Sam est en rut, j'ai réveillé la bête et je vais déguster.

Il m'entraîne vers le sol et en appui sur les bras, il me positionne la tête dans son entrejambe par le mouvement de ses cuisses écartées à rompre. Sous lui, j'observe le mâle dominant dans ses ?uvres. Son visage est intensément menaçant quand il me balaye consciencieusement la face avec ses couilles en grognant. Sous son érection, je suis au ange et je gémis de plaisir en reniflant, léchant, soupirant.

Sam est de plus en plus excité. Il me fait de plus en plus disparaitre sous lui, s'asseyant précautionneusement sur ma bouche. L'odeur est forte mais tellement agréable et à chaque présentation, je lèche la langue en pointe.

Son visage est en sueur. Ne tenant plus, paré pour l'estocade, il se met en position de faire des pompes, sa cerise sur mes lèvres le pénis arqué prêt à pénétrer. Mais comme pour Greg, je ne prends pas, c'est trop dangereux.Gardant les lèvres serrées, je refuse. Lui aussi devient fou. Il jure, cherche à rentrer, m'écrase de toute la force de ses cuisses dans son pubis en espérant profiter de mon inspiration pour pénétrer et comme il est seul avec moi, sans pote modérateur, je résiste très difficilement.

Mais il finit par abandonner, se relâchant complètement, il s'affale sur moi en jurant:

-Putain, t'es têtu, tu perds rien pour attendre, on va faire autrement.

D'un coup de rein assassin qui m'écrase la tête, il se met à quatre pattes. Son pénis arqué pendule au dessus de mon torse. Sam en me fixant méchamment reprend sa respiration et revient brutalement à la charge. Mais je résiste encore et dans ultime juron, il s'installe à califourchon sur moi, me serre la gorge de la main gauche et me vise de son poing droit.

Il me fait peur, je réponds rapidement:

-Non, calme-toi, arrête c'est une position trop dangereuse tu vas me faire crever.

Il réfléchit, desserre son emprise. Puis se lève, les pieds de part et d'autre de ma tête. Je profite pleinement de la vue du mâle me dominant de toute sa hauteur avec un air de vouloir en découdre. Il tire un siège du milieu en position fauteuil, relève la banquette d'en face, baisse les accoudoirs et s'affale dans le siège en me disant:

-Viens là!

Je me redresse et viens me placer entre ses jambes. Sam est au dessus de moi, me fixant de ses yeux de braise, bras écartés sur les accoudoirs, les paumes des mains ouvertes prêtent à me saisir. Il est irrésistible, je me mets bien à genoux face à lui, il pousse le bassin vers moi me présentant son pénis à 5 cm du nez. Mais le morceau est impressionnant, je décide de ne pas m'y coller en évitant son regard, je monte plus haut profiter de son torse luisant de sueur. Je colle le visage entre ses pectoraux puissants en le léchant, titillant ses tétons à tour de rôle, poussant la tête dans ses aisselles, profitant de son odeur.

Acquiesçant au début, Sam se laisse faire, je sens même à la dureté de son membre qui pousse sur mon ventre qu'il apprécie. Mais rapidement il perd patience. Quand fourrageant dans son aisselle droite, je croise son regard, il est crispé et fermé. Il me saisit la tête et me la ramène énergiquement en bas sur son pénis tendu à rompre en lançant entre ses dents:

-Fini de jouer mec, gobe mon pieu maintenant où je t'étrangle.

Prenant fermement ma tête dans ses paumes, il ajuste mes lèvres sur sa cerise turgescente. J'élude en la titillant du bout de la langue, mais d'un puissant coup de rein, l'athlète en colère me la rentre. J'absorbe sa tige chaude au 3/4. Les mains et les cuisses se referment sur moi et la baise commence...

Sam débute par une exploration de ma bouche. M'orientant la tête vers le haut, plongeant son regard dans le mien en m'observant attentivement, les cuisses écartées à fond, il me pousse le haut de son pénis dans la bouche par petits essais en l'orientant tantôt à gauche, tantôt à droite, tantôt au fond. Son bassin monte, descend, tourne. Le haut de ses cuisses est en perpétuel tension. Le mouvement de ses muscles me fait bander, surtout ses abdos.

Il me sourit et dit:

-Ouais, habitue toi, laisse toi pénétrer tranquillement et lubrifie la bien.

En s'enhardissant, il attaque un va et vient régulier. Je suce en gardant la bouche bien douce autour de son pénis qui coulisse lentement, plongeant de plus en plus profondément. Sam investit ma bouche, m'imprimant son rythme de tout son corps. Ses mains m'enfilent pendant que son bassin avance, il garde la position quelques dizaines de secondes puis il relâche, recule le bassin, retire un peu ma tête et sans transition repart à l'assaut en cherchant à aller plus loin très attentif à ma réaction.

Je ne le quitte pas des yeux et je le vois vraiment commencer à jouir. Il m'encourage:

-Bien continue, c'est bon.

Quelquefois, il va un peu loin et j'étouffe. Au début, il se retirait immédiatement, en maintenant le va et vient de son gland à la limite de mes lèvres le temps que je reprenne ma respiration, mais de plus en plus, enfonçant plus profond, il me laisse m'étouffer quelques secondes avant de réagir, comme pour m'habituer.

De fil en aiguille, j'absorbe son engin plus facilement, les va et vient sont un peu plus rapides et à chaque aller il me plaque le nez dans son pubis et l'y maintient de plus en plus longtemps.

Son visage change, il se contrôle moins. Son torse en sueur se soulève plus fort, sa respiration s'accélère, sa bouche s'ouvre, il souffle à chaque poussée, ses yeux deviennent plus vagues, il me regarde moins.

Sam est sur la route du plaisir, mais il se contrôle pour faire durer et ne pas partir trop vite. Pour éviter qu'il aille trop loin, trop fort, je m'appuie sur la face interne de ses cuisses mais c'est illusoire, il est nettement plus fort que moi et cette initiative ne fait qu'augmenter son plaisir, il s'enfonce encore plus pour me sentir résister. Mais sentir ses muscles en action jouer sous mes mains m'excite aussi.

Sam maintient le rythme et glisse doucement hors du siège. Je suis. Bientôt à genoux sur la moquette, dressé au dessus de moi, me tenant fermement en place des deux mains, il progresse pour me bloquer la tête sur le siège redressé d'en face. Et là m'écrasant de tout son poids, il me plaque dedans et démarre une estocade dont je vais me souvenir longtemps.

Accélérant brutalement les va et vient, suant, il se met à gémir de plaisir. Son pénis brûlant me ramone la bouche avec rage, puis il se met à me gicler dans la gorge à chaque poussée. J'étouffe mais Sam me laisse, après chaque coup, le temps de reprendre ma respiration, le nez dans son pubis suant avant de ré attaquer avec énergie.

Il doit bien me donner une dizaine de gicler avant que tous ses muscles s'affaissent ponctuant la séance par un râle de plaisir.

Sam à genoux, me lâche la tête des mains, mais il me maintient en poussant le bassin, fermement collé à son pubis pendant que son pénis vibrant dans ma bouche se décontracte et se vide.

Je m'agrippe à ses fesses et respire péniblement. J'apprécie quand même d'être coincé sous cet athlète. C'est une véritable communion du baiseur et du baisé. On reste ainsi silencieusement au moins cinq à six minutes, pendant lesquelles il me caresse tendrement le crane.

Puis Sam se retire, me regarde comblé, en me disant:

-T'es un super bon coup. Tu peux m'appeler Sammy maintenant on est copain très intime.

Il se lève et s'habille très naturellement pendant que vidé, j'admire son physique. Voyant mon regard d'envie, il lâche:

-Oh toi, tu serais partant pour d'autres séances. T'inquiète Greg nous a invité et on sera mieux chez lui. Je t'ai baisé en 3/4 d'heure mec. Seb doit s'impatienter, je vais le chercher. Non, tient, je vais plutôt l'appeler.

Sam ouvre le compartiment et appelles :

-Seb, j'ai fini, tu peux venir te vider mec.

Il referme et se retournant,il me chope la tête au passage, s'affale dans un siège et me ramène sur sa braguette en me caressant.

-On va l'attendre tranquillement, je pense qu'il va être explosif. J'ai remarqué tout à l'heure qu'il a un petit physique agréable et une grosse envie de te mettre. Je pense qu'en 3/4 d'heure, il doit avoir eu le temps d'imaginer comment. J'espère pour lui que je ne t'ai pas trop fatigué et que tu vas bien le servir. J'ai envie de rester pour voir çà. De toute manière, il n'a que 10mn, çà va être rapide, mec. Et peut-être un peu violent! Aie aie aie! dit il en riant.

Le compartiment s'ouvre, il ne devait pas être loin. Je tourne la tête au raz de la cuisse de Sam pour voir apparaitre le petit blondinet sympathique, la main sur son pantalon en train de se tripoter avec le sourire. Ses yeux sont brillants d'excitation, je sens qu'il m'a attendu. Greg rentre derrière lui, le dépasse et vient directement s'assoir sur les cuisses de Sam, m'enfonçant profondément la face dans l'entrejambe de Sam. Les yeux au raz de la braguette de Sam, déjà un peu turgescente, je lève les yeux vers lui en suppliant. Il hoche la tête d'un air désolé mais je vois qu'il est heureux, il pousse le bassin sur moi. Je suis pris en étau. Greg se frotte avec conviction sur mon crâne et Sam lui répond en appuyant côté visage. Je ne comprends pas, on est presque arrivé!

Greg prend la parole :

-Je me le referais bien, il m'a manqué. Tu as dû aimer Sam, on t'entendait râler de plaisir derrière la cloison et çà remuait dur. Tu nous excitais.

Sam me caressant le crâne répond :

- C'était le pied en effet ! c'est à refaire

et à Seb:

-T'inquiète pas, il est pour toi mais on va t'apprendre, mec. Waouh, je sens que çà chauffe là dedans. Libère la donc!

Il a dû tâter la braguette de son jeune collègue. Piégé, ne pouvant pas regarder, mon imagination part sur une énorme bite blonde que je vais avoir du mal à gober. Je me calme en pensant que Seb est un petit gabarit et qu'il ne lui reste pas beaucoup de temps avant l'arrivée en gare. C'est peut être juste un petit moment difficile à passer. Il faudrait cependant que mes deux athlètes arrêtent de me noyer dans leur sexe.

Sam enchaine:

-Il ne faudrait pas traîner, on doit être bientôt arrivé !

Greg rigole et dit :

- En fait, on a plus d'une 1h. Le train a pris du retard. Il va passer au ralenti et s'arrêter un peu, suite à un ennui technique.
- Waouh, cool, mais tu n'a pas fait d'annonces.
- Si mais tu devais être très concentré, tu n'as rien entendu. Je vais d'ailleurs aller calmer les 4 passagers. Il y en a un d'ailleurs que je ramènerais bien ici. La maison pourrait dédommager ce beau gars. C'est le type, jeans 501 avec gros ceinturon, débardeur bien échancré, un torse et des épaules de sportif, harmonieusement équilibrés, poilus. Les jambes écartées, les écouteurs sur la tête, affalé dans son siège, il est hyper excitant. J'imagine bien notre petit protégé entre ses cuisses. Je le verrais bien se faire défoncer par un client sexy.

- On verra çà s'il reste du temps, va faire ton boulot, je vais aider Seb, répond Sam en se levant m'écrasant plus fort mais forçant ainsi Greg à se lever.

Ils agissent comme s'il était normal que je loge entre leurs jambes. Il n'y pense même pas. Je fais parti de leur monde. J'suis intégré. Une prolongation naturelle de leur libido. C'est dur pour moi mais jouissif. Greg se lève, part, ferme le compartiment et je tombe à genoux devant Sam.

Il s'adresse à Seb :

-A nous deux, met toi complètement à poils, lui dit-il en me tournant la face vers lui d'une main.

Je suis à genoux à 50 cm de Seb qui me fixe avec envie, une énorme érection en route et je suis dirigé par une force de la nature comme une marionnette pour le servir. Mauvaise place, mauvais moment ou peut être le contraire. Le gars Seb ne manque pas de sex-appeal, il me fait envie.

Sam me pousse la tête dans l'érection de Seb et me l'y maintient. Là dessus, je sens Seb se raidir. Il ôte ses vêtements en se contorsionnant sur moi. Le haut est vite expédié et fébrilement, il s'attaque à son pantalon. La ceinture s'ouvre quelque part près de mon front et la braguette s'écarte en suivant libérant un slip rouge qui se répand sur ma face. Seb m'écrase le visage en glissant son jean à mi cuisse. Sam me maintient serrer sur lui et dit à Seb:

- demande lui de te déshabiller, tu vas voir c'est bon.

Seb me prend la tête l'écarte et la dirige vers le haut. Sam le laisse faire. Je le vois enfin le p'tit gars et je le détaille. Seb n'est pas très baraqué mais il est bien musclé et il fait un peu petite frappe blonde bien virile. Il a un beau visage avec un regard bleu intense. Torse nu, il me fait bander. D'un air menaçant qui lui va bien, il me regarde en me caressant lentement la figure avec la bosse de son slip odorant. La tête en biais me scrutant avec attention, il me jauge. Puis après une bonne minute de silence, il dit:

-Ouais, qu'est ce t'attend mec ? T'as entendu Sam, déshabille moi. La meilleure baise c'est tout nu sans entrave. J'ai hâte de sonder ta gorge. Alors vite, enlèves moi tout çà.

Et écartant légèrement les jambes, il me prend la tête à deux mains et me la plaque sur son érection en jouant du bassin et des abdos. Il appuie fort. Je cherche à tâtons les vêtements et lui enlèvent, les chaussures, les chaussettes, le jean, le tout en aveugle, suivant le rythme de lent de son corps. Sam s'est assis en commentant:

- Toi, tu as déjà de l'expérience vu la manière dont tu t'y prends, bien ! C'est beau à voir, j'te laisse la main.

Moi je suis content, bien maintenu par le blondinet macho, je suis le mouvement la tête dans son slip. En fait, il ne reste pas longtemps là. Seb le descend brutalement sur ses cuisses et me plaque sur sa tige. Seb est bien membré et il sent fort.

En me plaquant, très serré sur son membre, il me fait riper la tête sur son pénis et je finis profondément enfouis dans son pubis blond très odorant.

Seb me tapote le crâne en lançant:

- Qu'est ce que t'attend tu le vires ce slip? ou t'attend que je te ramone sauvagement la gueule en levrette encore habillé.

et à Sam :
- C'est vrai, j'ai une certaine expérience, j'ai appris plein de choses dans les tournantes de ma cité et je dois dire que les fellations des mecs de son genre, quand on sait les préparer et les faire durer, ce sont les plus excitantes.

puis de nouveau à moi:
-Allez vires moi çà que j' t'apprête.

Waouh! il est petit mais virulent. Respirant avec peine dans la sueur mélangée de pisse et de sperme séchés de son pubis, je lui ôte le slip et comme pour les autres j'apprécie le moment où les cuisses se lèvent alternativement sur mes joues, les couilles remontant sous mes narines. Je n'avais jamais eu d'expérience de pénis avant ce train mais là je suis servi.

Sam interloqué lui dit :
- On dirait que t'en es pas à ta première en effet.
- Non mec pratiquement tous les dimanches dans les caves, on se partageait des victimes consentantes avec les potes. J'vais t'apprendre quelques trucs. De toute manière, j'ai besoin de toi pour le tenir, il va falloir l'attendrir. Il ne va pas se laisser faire, vu le programme que je lui prépare.
- Ok !

Waouh, Seb est inquiétant.

Nu, il me grimpe sur le visage et me coince dans ses couilles en me malaxant des cuisses. Il dose la pression pour que je respire avec mal. Sa tige tendue au dessus de mes yeux est appétissante et les poils blonds quoique que très chargés en odeur son très très doux. Ils lui donnent une bonne dose de virilité.

Il continue la conversation avec Sam.

- Dès le samedi avec les potes, on se prépare. Le matin on commence par bien se laver et on enfile le slip du WE. On en choisit un sexy. L'après-midi on fait un petit foot amical, histoire de suer un peu et on ne prend pas de douche dans les vestiaires. Ensuite, on se marre, on va danser avec des meufs excitantes, certains bandent déjà un peu mais on a interdiction de sexe sinon on est juste bon pour aider les autres le dimanche. Le soir est calme, on se couche tôt, on s'tape une petite branlette et on garde le sperme dans le slip pendant toute la nuit. Le lendemain dimanche après une bonne grasse matinée et, pourquoi pas une autre branlette, on mange copieux et sans se laver on va au rendez vous découvrir les lopes disponibles. On passe l'après-midi à les préparer lentement et à leur servir des méga estocades complètement nus. On se marre bien avec les fellations sèches. Le jeu est d'aller à la limite de la rupture sans juter. Après la préparation du Samedi tu penses bien que l'on sent tous le mâle un peu négligé mais tu verrais comme çà les excite. Le soir arrive et c'est un sommet. Bien excité de s'être retenu tout l'après-midi, on libère les tensions sans contrainte et les braquemarts explosent littéralement dans leur gueule. On prend un de ces pied et les lopes une super dérouillée.

Là Seb me serre comme un malade dans ses cuisses et je lui tape dessus.

- Oh pardon dit il en se calmant

puis continuant:
- En prenant la douche, on est lessivé mais comblé, on se retrouve avec les potes pour commenter et sélectionner les victimes du dimanche suivant. Des keums ou des meufs, c'est sans importance, du moment qu'ils aient envie. Les indécis sont les meilleurs. Vu notre physique on a jamais de mal à trouver des volontaires.

Il me fait plus peur que Greg et Sam réunis. C'est vrai que Seb ne sent pas trop bon, il n'a pas du se laver ce matin non plus, mais c'est vrai que cela m'excite plus. Je bande à mort.

Sam ponctue :
- Waouh! tu m'apprendrais ?

Seb continue:
- Pourquoi pas ? je peux même t'inviter un dimanche avec lui, tu me plais bien Sam.
puis il ajoute:
- Tu vois ce mec, il est vraiment tendu sous mes cuisses, pas très à l'aise à vrai dire, il était peut-être puceau. Auquel cas, il a eu une sérieuse entrée en matière avec vous, j'espère que vous ne l'avez pas gâché. Un puceau c'est un vrai régal à préparer. Il faut l'étouffer tendrement par petites séances. Il faut prendre son temps, qu'il s'habitue à tous les recoins poilus et odorants. Parce que quand, hors de contrôle, excité à mort, on lui enfonce la pine profond, il ne faut pas qu'il s'étouffe mais qu'il déglutisse bien, c'est ce qui fait jouir le mieux et je ne te parle pas du jet de sperme qu'il doit avaler sans broncher. Dans la cave quand il n'y a pas trop de victimes ou beaucoup de désistement, on est parfois 10 à passer sur une tête. Le mec a intérêt à être résistant. Tiens là on va se le préparer à deux, déshabille toi Sam, on n'aura sûrement pas le temps de faire tout dans ce train mais tu me l'amèneras chez moi ou dans ma cave avec les potes pour une séance complète.On va juste tester sa résistance.

Sam ne se fait pas prier et il se lève et se déshabille en 3 secondes me regardant lubriquement et me lance:

- Alors tu étais puceau.

Seb m'envoie entre les cuisses de Sam, la tête en arrière. L'avant des cuisses buttent sur mes épaules et Sam les serrent. J'ai le nez derrière ses couilles à la base de sa raie dans les poils châtains et Seb lui dit de s'assoir au bout du siège pour m'étouffer un peu. Sam ne se le fait pas dire, obéissant avec juste ce qu'il faut de cinéma pour que j'apprécie son côté mâle, Sam s'assoit lentement sur ma tête en me maintenant bien en place. Je profite de la descente en regardant les fessiers puissants se contracter et en prenant une bonne inspiration avant de recevoir son cul.
Sam assis sur moi est vite insupportable. Il est lourd et j'explose la dessous, je frappe mais il ne bouge pas. Puis en appui sur les bras, il se lève un peu et je respire à fond l'air de ses couilles qui me couvrent la bouche et les narines. Au delà de ses fesses, je vois Seb, nu et bandant, debout sur les sièges qui donnent ses instructions.
- Reste comme çà et fait moi un peu de place, je vais lui enfiler mon gland et on va s'assoir à 2 dessus. Mon contact ne te gêne pas !

Sam répond en riant:
- Non moi çà va, pour lui çà va être plus dur.
- t'inquiète, tu verras qu'il en redemandera. Je commence à le jauger, il résiste très peu, il aime. Vous avez eu du flair avec ce gars.
Et Seb s'accroupit. Je ne loupe pas une seconde de sa descente.
Lui non plus, sa bite blonde en érection, d'un beau calibre, approche. Accroupis, les cuisses écartées, il prend son pénis d'une main, le décalotte et entreprend de caresser mon visage avec son gland. Il demande à Sam.
- Sam penche lui la tête en arrière.
Et Sam s'exécute en poussant du poing sur mon menton. Ses couilles glissent dans mon cou et ma face s'oriente vers Seb, je suis en position de visiter son entrejambe blond et il l'approche en tenant de la main droite son pénis tendu pointé vers mes lèvres.
- Toi ouvre la bouche en grand.

En le disant, il me l'enfonce plusieurs fois de plus en plus profond en me battant les paupières de ses couilles.
A un moment, il s'accroche à Sam pour me l'enfoncer très profond dans le gosier et j'étouffe. Mais Seb dit à Sam:

- Assied toi, tout contre moi bien sur sa gueule pour ne pas le massacrer. On continue la séquence d'étouffement. Observe bien sa respiration, libère le quand tu le sens asphysier.

Et Sam, s'assoit.

La figure couverte par deux appareils génitaux masculins en pleine action, dont l'un enfoncé profondément dans la gorge. J'étouffe.

Les mecs que j'appelais de mes v?ux, se trémoussent sur ma gueule. Et c'est à peine supportable. Je commence à regretter d'avoir pris le train.

Je panique ne trouvant pas d'air coincé sous les couilles de deux beaux mâles en rut. Je tape sur les cuisses de Sam mais rien n'y fait. Sam reste bien assis sur mon visage de tout son poids me scellant la tige dure et chaude de Seb dans la gorge en me bouchant les narines de ses couilles.

Tout devient cotonneux, tout s'éteint, l'instant suivant je suis allongé sur la banquette et les deux mecs nus inquiets sont à mon chevet. Cela me fait chaud au c?ur.

Ils sont aller un peu loin et je les vois rassuré de me retrouver.

Seb me dit:
- Désolé, Sam n'a pas été très réactif. Il ne connait pas sa force. T'as perdu connaissance.

Je réponds:
- Ok, çà va, mais il faut être plus doux quand même. J'ai adoré Sam quand il m'a fait la fête tout à l'heure. C'est un géant côté sexe et j'adore être sous son emprise. J'ai vraiment apprécié. Par contre, il ne peut pas tout faire, il est trop lourd et musclé pour s'assoir sur ma tête. Si vous voulez prendre votre pied sur moi, il faut se contrôler,les mecs.

- OK, on y pensera pour demain, dit Seb, Aujourd'hui la séquence est finie, le train va arriver. Demain on continue à trois chez Greg. Je vais les briefer tu vas sentir la différence, ils vont atteindre des sommets de jouissance.

Et ils commencent à s'habiller en me regardant.

Sam me fixe en jouant des muscles et de la langue, le visage rieur. Il est très excitant et je ne peux m'empêcher de bander en imaginant que je vais bientôt passer entre ses mains d'athlète quand il aura repris de la libido. Moi, je ne lui en veux pas. Lui, à voir sa tête, je suis sûr que je l'excite déjà, il doit déjà échafauder des scenarii bien bandants.

En regardant mon fût, leurs visages s'irradient c'est beau à voir. Ils m'ont compris, il y aura une suite...

JV

josga.verjan@laposte.net

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