IL M'A ENSORCELé19h20 : fin de la réunion. Encore une journée de merde. Je suis fatigué j'en ai marre. Comme si j'avais envie de voir la tronche de cette bécasse en plus. Tous les soirs , elle ne m'adresse la parole que pour me pourrir. 3mois qu'elle fait la gueule. Et Thomas, lui aussi me casse les burnes en ce moment. " De toute façon t'es un père minable. T'as une vie minable. Je prendrai jamais exemple sur toi !!!! " Sophie aussi a pris le parti de sa mère... Comme si j'avais envie de rentrer dans cette endroit hostile. Journée de merde ! Famille de merde ! Vie de merde ! 10 minutes que je cherche ma bagnole, et je remarque sur le trottoir d'en face un groupe de jeune en train de discuter... Je m'attarde pas... Mais c'est bizarre quand même, 3 types sont en train de d'entourer un jeune gars, on dirait qu'ils le poussent. Puis l'un d'eux le choppe par le bras et l'entraîne vers une ruelle. Mais on dirait une scène de racket. Merde faut que je fasse quelque chose. Les 3types se barrent, le jeune apparemment effrayé se laisse glisser le long du mur et s'assoie sur le trottoir en cachant son visage dans ses mains, il laisse échapper un soupir. _Y a personne chez moi. j'peux quand même pas le laisser tout seul. Il a du subir un choc. Qu'est ce qu'il fera seul chez lui ? En même temps, vu l'ambiance qu'il y a à la maison j'aime autant mieux aller me bourrer la gueule dans un bar seul ou accompagné et retarder le face à face avec la vipère le plus possible. Ma voiture je la retrouve pas mais quand il s'agit de se détendre, là je trouve de suite mon chemin. En 5min on arrive à la brasserie. On s'installe dans un coin plutôt tranquille, j'ai pas spécialement envie de me faire remarquer en compagnie d'un mec un soir de semaine dans un bar. Le petit me suit, il ne dit rien. Moi non plus. Nous ne nous sommes pas parlé sur le chemin. Enfin assis, on peut essuyer l'eau qui dégouline de nos visages. Les gouttes de pluie luisent dans ses cheveux coupés court. Son crâne châtain brille avec la lumière tamisée. Nous sommes face à face. Il me scrute de son regard curieux. Moi j'essaie de saisir son expression, comprendre ce qu'il pense, découvrir ce qu'il cache derrière ce visage froid. J'essaie de le mettre à l'aise. Soyons enthousiaste. Je lui demande d'un ton enjoué : Douche froide. J'en reste bouche-bée. Il a pas froid au yeux. J'esquisse un sourire mal à l'aise. _ Pourquoi tu t'énerves ? _ Une blanquette de veau ? Ouf, la serveuse est partie. Sans trop tilter. Quoi ? Non mais qu'est ce qu'il croit, que sauve les gens pour me faire payer ? Le sourire narquois qu'il arbore depuis tout à l'heure retombe un instant et je retrouve l'innocence de son expression. Puis il sourit à nouveau, non plus un sourire narquois mais un sourire séducteur. Sans équivoque. Mon coeur s'arrête de battre. J'en mène pas large. Qu'est ce que c'est que ce truc de fou ? Dans quoi je me suis fourré encore ? Mais c'est qui ce gosse ? Il a le diable au corps. Putain ça m'apprendra à me mêler des affaires des autres. La prochaine fois je passe mon chemin. Je reste bouche bée. Je ne sais vraiment plus quoi dire. Mais lui sait quoi faire. En 2secondes il est passé sous la table. Il commence à caresser ma queue. Ça fait 3mois que j'ai pas baiser. A la maison c'est le festival du cul tourné. Y avait bien la petite stagiaire, Nathalie. A la réunion le mois dernier, elle m'avait chauffé, mais au moment de passer à l'action... J'ai vu la tête de ma femme, j'ai pas pu. J'doit être vraiment fidèle. Quel con !!! Heureusement qu'on est à l'écart. Une petite palissade nous cache du regard des autres. Merde la serveuse !!! Elle arrive avec nos consos.... Putain mais c'est pas vrai. Je suis livide. Ouf elle s'en va. Elle a rien vu. Le gosse est toujours sous la table. Ma queue dans sa bouche. Tendue au maximum. Il fait jouer sa langue dessus. Il est bon ce petit con. J'en peux plus. Il enfonce une dernière fois ma bite dans la bouche puis la relâche et se relève. On se barre, lui, met son sac sur son épaule, moi, j'essaie de cacher mon érection bien visible avec mon pantalon à pince. On sort le plus vite possible. J'ai même pas le temps de répondre que le petit affamé est déjà à genou devant ma bosse. Il sort délicatement l'engin de sa prison et commence à lui prodiguer tous les bons soins. Ce petit con sait vraiment y faire. Ma queue dégagée, il commence à lécher du bas de mes couilles jusqu'au gland. Après l'avoir bien mouillée de salive. Il passe sa langue sous le prépuce et dégage mon gland. Sa langue habile caresse mon bout en tournoyant sur ma queue. Avec sa main il tripote mes couilles, il les pelote comme des objets précieux. Son autre main caresse mon torse, ma hanche et mes fesses. Je retire rapidement sa main de mes fesses, faut pas qu'il aille trop loin, et elle retourne sur mon torse et remonte jusqu'à mon téton. Il se met à pincer mon téton, ce qui m'excite un max et fait grossir ma queue dans sa bouche. Il la prend désormais à pleine bouche, il me dévore de haut en bas. Il la prend en entier dans sa bouche. Ses lèvres se serrent sur ma hampe, mon gland tapote de fond de sa gorge. A chacun de ses vas et viens je sens ma bite coulisser sur sa langue douce. Il va de plus en plus vite et serre un maximum. C'est tellement bon que j'en ai la tête qui tourne, j'peux pas m'empêcher de gémir. C'est pas possible c'est un expert. Jamais de ma vie on m'avait sucé comme ça. Pourtant, j'peux pas dire que j'ai pas d'expérience. Avant de rencontrer ma femme, j'ai eu beaucoup d'aventure. J'ai même fait plusieurs fois des trucs à plusieurs... Ce gosse me rend fou. J'ai même pas besoin d'imaginer quoi que se soit pour m'exciter. Je me concentre juste sur sa bouche qui me dévore la queue, qui m'aspire, me pompe jusqu'à m'assécher. De temps en temps, il descend et me bouffe les couilles, ses lèvres gobent chacune de mes boules et les font tourner avec l'aide de sa langue. Son nez se cache dans mes poils et s'enivre de l'odeur de mon sexe. Je me sens viril, beau, admiré, désiré. Comme c'est bizarre. Il me bade et apprécie tout ce qui fait de moi un mec. Sa bouche retourne sur ma queue et il se l'enfourne jusqu'au fond, puis reprend ses vas et viens. Mais cette fois je lui donne un coup de main. Je prend sa tête dans mes 2 mains et lui impose mon rythme, il ne proteste pas. Je donne des grands coups de rein en serrant bien sa tête. Je lui baise littéralement le gueule. Lui se contente de garder sa bouche ouverte, serrer ses lèvres et sa langue sur ma queue et caresser mes tétons avec ses mains. C'est tellement bon que j'ai envie de faire durer le plus possible. Mais je sens que j'vais éjaculer alors je le repousse. J'ai promis de le baiser. Et il à l'air d'avoir le feu au cul. Il se met en levrette, mais au lieu de prendre appui sur ses coudes, il pose sa tête et prend appui sur ses pecs et ses épaules, il se cambre au maximum pour monter son cul le plus haut possible. D'une main il commence à se doigter le fion, de l'autre il attrape ses couilles et les cache pour ne pas me montrer qu'il est un mec. Comme c'est adorable. Il ne pense qu'à mon plaisir. Vraiment prêt à tout pour un coup de queue. Sa tête est tournée vers moi et il me regarde, je distingue ses yeux qui brillent, son regard de chienne est un appel à l'assaut. Dans cette position il m'excite un max, j'aurais jamais pensé bander sur un mec mais là j'en peux plus. J'ai envie de le sauter. Je vais chercher son sac à dos. Au milieu des livres de cours traînent des boites de capotes, des tubes de gel et même un gode. Putain ce gamin c'est une vraie chienne en chaleur. Son cul tressaute, j'entends un hurlement de douleur étouffé par son bras. Ma bite a forcé le passage mais maintenant je suis bien au fond. Et j'essaie d'aller le plus profond possible. Je sert ses hanches de toutes mes forces et l'attire vers moi. Ma bite est bien au chaud dans son petit trou serré. Il le ressert pour m'aspirer au plus profond. Moi je ressort et je commence à le limer sans ménagement. Je lui démonte l'anus. Il sert les dents. Moi j'm'en tape. Il voulait que j'le baise. Ben j'le baise maintenant. Et s'il est pas content c'est pareil. Il m'a excité comme un fou maintenant faut assumer. Il assume, il bronche pas et subit mes grands coups de butoir. _ ça va ? Tu te sens mieux avec le cul rempli ? T'aime ça au moins ? T'es une vraie chienne, toi... Tu prends ton pied en te faisant déchirer par des gros mecs bien monté ? _ Tu peux me frapper si ça t'excites. Je commence à relâcher mon étreinte. Je ressors doucement ma queue. C'est bon de reprendre le pouvoir un petit peu. Je re rentre ma queue dans son fion. Ça rentre comme dans du beurre. Qu'est ce que j'aime son petit cul. Je glisse doucement jusqu'au fond. Je suis bien au chaud et j'aime sentir ses parois que se resserrent sur ma bite. Je fais jouer ma bite dedans. Après tout autant en profiter maintenant que j'y suis. Je la fait tourner au fond, je ressort doucement et je rentre d'un coup. J'alterne coup sec et coup profond. Cette fois je l'entend gémir doucement, pour de vrai. Plus de cinéma, il prend son pied. Tout son corps frissonne. Il se laisse complètement aller. C'est moi qui contrôle tout. J'adore cette impression. J'ai jamais été autant désiré qu'à cet instant. Ce gamin est prêt à tout pour que je lui donne un coup. Quelle sensation délicieuse. Même si je n'arrive toujours pas à l'atteindre. Je prend vraiment mon pied comme ça faisait longtemps que j'l'avais pas pris. Je mets pas longtemps à éjaculer. Ça fait au moins 4jours que j'me suis pas branlé. J'ai plus la forme de mes 20ans. J'en pouvais plus. Je sens le jus monter au bout de 20min de baise. Ma queue se gonfle et dans un grand cri je déverse tout mon jus dans la capote. Wouah quel pied. Mes couilles étaient bien remplies. Je n'arrête pas de gicler. C'est trop bon. Après 4 bonne giclée je bande encore très dur, j'suis tellement excité.... mais j'me retire, trop dangereux vu comment j'ai rempli la capote. Lui n'a pas jouit. Quand je retire la capote, il se jette dessus et me supplie de lui donner. Il prend la capote remplie à moitié et le déverse sur son visage, le sperme coule sur ses joues, dans sa bouche, il avale tout ce qu'il peut. Il lèche ce qu'il reste et lèche ses doigts. En même temps il commence à se branler. Putain ce qu'il est bandant. Je suis excité comme un fou j'ai encore envie de l'enfiler. Je retire sa main de sa queue en tirant son bras. Il se retourne et s'allonge sur le matelas. J'attrape ses jambes toutes maigres et les pose sur mes épaules et je ramène son petit cul vers moi. Après avoir remis une capote, je le pénètre doucement. Je regarde son visage, ses grands yeux qui brillent, à moitié fermés par l'état de transe dans le quel il se trouve. Il évite mon regard. Sa bouche entrouverte expire faiblement des petits gémissements. Je jubile, j'aime le voir dans cet état d'excitation. Ça me fait encore plus bander. Je le tiens par les épaules et je commence à le limer. Dans cette position je peux voir sa petite bite bien dure qui pointe vers moi. Je sens qu'il a envie de se toucher. Mais je lui bloque les bras. Je l'empêche car j'ai envie de faire durer. Il en peut plus, ses yeux me supplient. Je vois l'excitation grandissante dans son regard. Son visage se crispe et il commence à transpirer. Voilà, là j'prends vraiment mon pied à le voir comme ça. Il est beau. Je continue mes vas et viens avec plus d'intensité. Il ne tarde pas à gicler. Il envoie sa purée sur son torse et poussant un cri de soulagement. Il ne s'est même pas touché. Je lui laisse un peu de répit mais j'en ai pas fini avec lui. Je le bloque toujours avec mes bras. Je le relâche pour attraper le sperme qui dégouline sur son torse avec mon doigt. Je lui met dans la bouche et il le lèche avec délectation. Il ne me fait plus face maintenant. Il a compris que j'me laissais pas faire. Il m'interroge du regard sur la suite. Il sait que j'vais jouir une seconde fois. Et qu'il faut qu'il me satisfasse. Après quelques instants de répit je reprends mes coups de butoir. Mais j'ai envie d'être gentil avec lui, je caresse son torse, je le câline, je le trouve adorable avec son air innocent. Il me regard avec incompréhension. Toujours cette expression. Je cherche à le découvrir un peu plus. A briser la glace qui nous sépare. J'ai envie qu'il prenne autant de plaisir que moi, alors je me décide à le réexciter. Je crache dans ma main et je commence à caresser sa petite bite puis à le branler. Il apprécie : il ferme les yeux, il se lèche et se mordille les lèvres en signe de plaisir et il reprend sa respiration accélérée. Sa bite durcie vite dans ma main, stimulée par le plaisir anal. Son petit cul se resserre sur ma bite, je le sens palpiter. Il n'ose pas me regarder. Il est visiblement troublé par mes marques d'affection. La faille s'agrandirait t-elle ? J'ai envie de changer de position. Je veux pouvoir l'admirer quand je le baise. Je me retire. Je le prend dans mes bras, il frissonne mais se laisse faire. Il me fait oui de la tête avec étonnement. Alors je le sers fort dans mes bras, je pose délicatement mes lèvres sur les siennes. Elles sont douces. Elles ont le goût de sperme. Il me rend mon baiser tendrement. Alors je passe ma langue sur ses lèvres et je force l'entrée de sa bouche. Ma langue caresse la sienne tendrement, je le sens frémir. Avec mes mains je caresse son visage, j'essuie la sueur qui perle sur son front et ses tempes. Et je lui roule une dernière pelle. Je sens son coeur qui bas, sa respiration s'accélère. Je m'allonge à côté de lui et je l'attrape pour le faire monter sur moi. Il a compris ce que je voulais. Il s'accroupit au dessus de moi et s'empale sur ma queue bien tendue. Il fait doucement glisser sa rondelle sur mon manche. En prenant appui sur mes abdos, moi je le tiens par les hanches et je le lâche plus. Une fois bien au fond de son cul, je commence à le limer avec force en faisant bouger mon bassin et en le soulevant à chaque coup de rein. Il est léger alors je ne force pas trop. Dans cette position je peux l'admirer, il est bien éclairé par la lumière extérieure. Je peux voir son corps fin se trémousser sur ma queue, son visage crispé par l'excitation, son regard de petite chienne en chaleur. Sa bouche qui exprime son plaisir par ses petits cris et ses gémissement. Il se lâche complètement. Il est magnifique quand il prend du plaisir. Il illumine le taudis dans lequel on baise. Plus rien ne compte à par lui, je ne vois plus les ordures qui nous entourent. Je ne sens plus l'odeur de renfermé, mais seulement la sienne et la mienne. La sueur et le sperme. Il prend son pied, et j'ai enfin l'impression d'avoir fait tomber le mur entre nous. Il se dévoile enfin à moi. Quel instant sublime. Il saute sur ma queue, moi je caresse son torse. J'ai l'impression de baiser pour la première fois. Je découvre un nouveau corps. Ma main passe son sur torse imberbe, ses pecs, ses petits tétons durs, puis elle se fraye un chemin jusqu'à sa bouche. Je lui caresse les lèvres avec mon pouce, il gémit. Puis je lui met mes doigts dans la bouche et il les suce et les lèche comme sa glace préférée. Il m'appartient. Un dernier râle de plaisir, son cul palpite et se resserre sur ma bite, sa queue gonfle et se tend une dernière fois. Il lâche sa purée une deuxième fois sur mon torse. Il tombe d'épuisement dans mes bras. Son coeur bat fort sur mes pecs. Il tremble encore. Je le sers dans mes bras. Je caresse ses cheveux humides de transpiration. Il pose sa tête dans le coin de mon épaule. J'embrasse son cou, son oreille. Je finis par retrouver ma voiture. Je conduis sans but, je tourne dans le quartier machinalement et essaye de retrouver sa trace. Plus par peur de rentrer chez moi que par réel espoir de le retrouver. Je sais pas pourquoi, ce gamin m'a complètement retourné l'esprit. Tout à coup, ma vie me paraît loin, si loin de moi.... Paulpaulrugeau@yahoo.fr Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |