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Fantasmes au Lycée -2
Depuis ce premier "vrai" contact, assez direct, Quentin a pris soin de mettre de la distance entre nous ; peur de laisser paraître quelque chose ? Sans doute ... Mais il y avait au moins une petite différence : désormais, bien qu'il me parlât encore moins qu'avant, j'avais droit régulièrement à des petits clins d'oeil, ou à des sourires très discrets, quand il était sûr que personne ne le voyait.
Ceci dit, hormis ces légers signes de reconnaissance, ma vie sexuelle se résumait en un seul mot : désert. J'aurais pu reprendre cette petite habitude, celle de "l'avant-Quentin", à savoir des plans cul sporadiques et inconsistants ; mais je crois bien que j'étais tombé "amoureux" de Quentin - à mettre entre guillemets, et ce parce que je ne croyais pas à l'amour véritable. Mais c'est le mot qui résumait sans doute le mieux mon état d'esprit : j'étais en quelque sorte accro à sa virilité, son sex-appeal, et son charisme incommensurable. Tout en lui me faisait chavirer, mais je doutais qu'il s'agît d'autre chose que d'attirance sexuelle.
Après avoir découvert son corps dans les toilettes du dernier étage, j'en étais resté dingue ; chacun de ses traits était resté imprimé en moi, et tout en lui m'excitait, me donnait chaud, jusqu'à ses taches de rousseur discrètes au niveau des pommettes ...
J'ai passé plusieurs semaines à fantasmer à nouveau sur lui, et plusieurs nuit très chaudes où il me visitait dans mes rêves ... Au final, je n'en pouvais plus, j'avais trop envie de lui.
Seulement, impossible de l'approcher - au lycée, il n'était jamais seul. J'en venais à me dire que c'était un vrai miracle que nous ayons pu nous isoler la première fois !
Bien entendu, je ne doutais pas qu'une partie de tout ceci était volontaire : il s'arrangeait pour être le plus possible accompagné de ses amis.
En bref, j'étais forcé de patienter - sans même être sûr que quoi que ce soit allait se passer.
Un weekend, alors que j'étais tranquillement chez moi à bosser (pour une fois !) j'allais avoir une excellente surprise...
Mes parents étaient sur le point de partir faire les courses, et moi-même, j'en avais un peu assez de plancher sur mes devoirs. J'ai alors décidé qu'il était temps de me dégourdir les jambes, et qu'une petite promenade dans Paris me ferait le plus grand bien - après tout, quand on vit près d'une telle ville, ce serait dommage de ne pas en profiter !
Je passe donc à la salle de bains, parce que, weekend oblige, je suis encore en pyjama et mal peigné à 15h de l'après-midi...
Alors que je viens de refermer la porte, j'entends ma mère et mon père qui s'en vont :
- A plus tard, mon coeur !
Mais j'ai à peine le temps de faire couler un peu d'eau que j'entends sonner à la porte... Je ressors avec une serviette autour de la taille ; comme souvent, mes parents ont dû oublier quelque chose avant de partir, et c'est mon père qui a gardé les clés, en bas dans la voiture, tandis que ma mère est remontée ! J'ouvre la porte :
- Qu'est-ce que tu as oublié, cette f...
Je m'arrête net ; ce n'est pas ma mère, c'est Quentin.
Devant moi, un samedi.
Chez moi.
- Salut, dit-il simplement.
Alors là, autant dire que j'en reste baba. Et puis je commence à paniquer.
- Mais qu'est-ce que... Tu es fou ??
Je le fais rentrer aussi sec.
- Mais t'es malade ! je lui dis. Venir ici, comme ça ! Et si mes parents avaient été là ??
- Ah, parce qu'ils sont pas là ? me demande-t-il. Ha, ha, alors ça doit être eux que j'ai croisé en montant !
- Tu les as vus !? Mais... mais...
- Relax, t'es trop nerveux, mec. Ils me connaissent ?
- Non... je ne t'ai jamais mentionné... c'est vrai.
- Bon, ba alors ? Où est le problème ?
Je marque une pause. C'est vrai qu'il a raison, il n'y a aucun problème.
- Et s'ils avaient été là ?
- J'aurais dit que j'étais un pote, et que je venais pour bosser. Un truc comme ça.
Il est parfaitement décontracté. Aucun problème pour lui. Je n'en reviens pas qu'il ait un tel aplomb !
- Mouais, enfin ils ne te connaissent pas, et je n'ai jamais parlé de toi - ça aurait paru bizarre de toute façon...
- Boh, tu te poses trop de questions ! Ma petite chienne... ajoute-t-il.
- Arrête ça, je lui dis. Ne te fais pas de film, on est chez moi, et c'est bien trop risqué.
Mais une partie de moi est terriblement excitée par la situation - une partie qui se manifeste bien vite, sous la serviette.
- Ha ha, tu t'es trahie, petite pute ! dit-il en voyant ma bite se dresser sous ma serviette.
Dis-moi, ils seront absents longtemps ?
- J'en sais rien, peut-être deux heures au maximum.
- Parfait.
Alors il s'avance, et me roule une pelle monumentale - je m'abandonne complètement. Lui, il me caresse la poitrine, le dos, me titille les tétons, et s'empare de ma queue à travers la serviette.
- Tu allais te doucher, non ?
- Ou.. Oui, je bafouille - je mouille à mort, et déjà j'ai très chaud, très, très chaud !
- Alors qu'est-ce qu'on attend ?
Il me pousse gentiment vers la salle de bain, dont la porte était restée ouverte, et il commence lentement à se déshabiller. Je redécouvre son torse viril, ses pectoraux d'acier, et ses abdos finement dessinés... J'en perds complètement la tête ! C'est là que je me rends compte de ma "dépendance" ; dans mon cas, ce n'est pas une drogue, juste son corps et sa queue !
D'ailleurs, il finit de se déshabiller, et je tombe en admiration devant ce pieu énorme, déjà au garde-à-vous !
- A genoux, petite salope !
J'obéis immédiatement - il n'avait même pas besoin de le dire !
Sa bite m'écarte les mâchoires, et j'adore ça ! Je le suce avec délice, j'y mets tout mon coeur, j'ai envie de lui faire le plus plaisir possible. Apparemment il apprécie, car il a fermé les yeux et pousse des soupirs profonds - bientôt, ses mains appuient sur ma tête pour donner le rythme, et je me fais littéralement baiser la bouche.
- Aah, stop... stop... arrête, me dit-il, tu es trop douée, tu suces comme une pro, je vais jouir trop vite si ça continue...
Alors je me relève, et on s'embrasse goulûment ; puis il me dirige sous la douche, et là, j'ai le plaisir de combler deux de mes fantasmes : baiser avec lui, et baiser sous la douche !
Avant de faire couler l'eau, il a pris soin de sortir une capote de la poche de son jeans, qu'il a jeté au sol quelques minutes plus tôt. Après s'être assuré que le préservatif était à portée de main - près des produits de douche - il fit couler l'eau, et on se frotte langoureusement l'un contre l'autre sous le jet brûlant. Je lèche l'ensemble de son corps, avant de repasser à sa bite et ses couilles, que je lèche avec bonheur. Elles sont poilues, bien pleines, et je sais que je les viderai bientôt !
Je remonte, et on se savonne ; c'est un vrai délice ! On continue de se frotter l'un à l'autre, et j'en profite pour pousser des gémissements de plaisir, car je sais que c'est ça qui le fait triper, lui, le mâle dominant. Effectivement, il semble prendre son pied ; je le sens qui parcourt mon corps avec ses mains savonneuses, ses mains d'homme ; il me triture la bite, et il passe rapidement à mes fesses, avant de frotter l'entrée de mon petit cul. Bientôt, un doigt s'y introduit doucement, et je suis en extase.
- C'est ça, gémis, petite chienne, tu aimes quand je te doigte la chatte, hein ?
- Ouii, haan, oui... Je... Haan, h...
Il s'arrête alors, et j'en profite pour l'embrasser à nouveau ; puis, j'ose l'impensable, lui retourner la pareille. Dès qu'il sent que je m'approche de son trou, il m'attrape les mains.
- Ho, tu fais quoi là ?
- Je m'applique à te faire plaisir, moi aussi.
- T'as cru que j'étais une chienne, ou quoi ? C'est toi la pute, dans l'histoire !
- Ouais, ouais, je dis.
Et je reprends mon geste. Il est trop lent à m'arrêter, et j'introduis moi aussi un bon doigt dans son cul. Il ne dit plus rien, il savoure, je le sais ; je lui chatouille la prostate, et il sursaute sur le coup, mais il semble planer complètement. Alors je redescends vers sa bite, mon doigt toujours dans son cul de mâle, et j'entreprends de le sucer comme jamais on a dû le sucer auparavant ; c'est à son tour de gémir, tant je lui fais du bien sous l'action combinée de ma bouche et de mon doigt, mais ses gémissements n'ont rien de féminin : ce sont des râles rauques de plaisir bestial, qui me font mouiller encore plus.
Toutefois, en bon hétéro qui se respecte, il m'arrête finalement, après quelques minutes de pur bonheur, et me fait me redresser ; il m'embrasse, puis me glisse à l'oreille :
- Merci, petite salope ; mais pour avoir osé faire ça, tu vas prendre cher. Maintenant, retourne-toi.
Et il me colle une baigne monumentale, avant de me forcer à me retourner ; je sais que je vais déguster, mais je l'avais anticipé - les hétéros machos sont tous les mêmes.
Il va se venger, et mon cul va effectivement prendre cher, peut-être plus que la dernière fois ; seulement, aujourd'hui, je suis tellement excité que mon cul est dilaté au maximum.
Effectivement, quand il me pénètre, ça rentre presque comme dans du beurre - j'encaisse quand même le coup, car son engin est un gros morceau, mais ça passe.
Et, m'ayant plaqué contre la paroi en verre de la douche, il a commencé à me défoncer à la hussarde, avec une force et une violence peu commune - un véritable animal en rut.
Chacun de ses coups m'envoyait une vrai décharge de plaisir, au passage de ma prostate, et je n'ai pas tardé à jouir du cul comme une chienne. Trop concentré sur sa petite vengeance, il ne m'a pas empêché de me toucher, cette fois ; quelques secondes ont suffit à me faire exploser de jouissance, et mon cul se contractait sous l'effet de l'orgasme.
Il semblait grandement apprécier.
- Oh, oui, hn, petite pute, haan, tiens, prends ça, haan, han, hn, oui, je vais me vider dans ton cul de chienne en chaleur, haan, haan ...
Il m'enculait vraiment à la hussarde, mais j'étais au paradis ; il avait placé ses mains sur le haut de la paroi en verre, et il donnait tout ce qu'il avait pour me limer en profondeur. Parfois, il ressortait entièrement son engin, et me le renfonçait violemment - puis il alternait avec des phases de baise intense qui m'ont dévasté le fion. Mais inutile de dire que j'ai kiffé sur toute la ligne.
Finalement, je l'ai senti accélérer, et il a poussé un grand cri - avant de m'enfoncer sa queue jusqu'aux couilles, que je sentais contre les miennes. Puis il s'est retiré lentement, et tous ses muscles se sont détendus progressivement...
Il a lâché la paroi de douche, et il a posé ses mains sur mon dos, me gardant plaqué contre le verre... Il était à bout de souffle, mais lorsque j'ai tourné la tête pour le regarder, son visage affichait le plus éclatant des sourires. Il me lécha la joue lascivement, et me fila une bonne claque sur le cul, avant de se rincer sous le jet d'eau chaude.
- T'es mon meilleur vide-couilles, mec... Ouais, décidément, tu es le meilleur... Je commence à croire que les meufs ne sont pas à la hauteur.
J'en ai profité pour me rapprocher timidement, et c'est lui qui m'a attiré sous le jet d'eau - il m'a pris par le menton, et m'a roulé une pelle ; mais cette fois, je décelais un peu de tendresse dans son baiser, et je l'appréciais d'autant plus... Je lui ai caressé le visage, ai passé ma main dans ses cheveux... C'était magique.
Mais la douche a pris fin lorsque nous avons senti tous les deux que l'eau chaude venait à manquer ; nous sommes sortis, nous nous sommes mutuellement séchés puis rhabillés, et on est passé dans ma chambre.
- Alors, et maintenant ? je lui demande
- Ba je vais y aller, qu'il répond. Faudrait pas que tes parents me grillent ici, pas vrai ?
- Bof, tu l'as dit toi-même, tu es un pote venu pour bosser
- Ouais, dit-il en rigolant, et on a travaillé dur ; j'ai bossé comme un ouf à t'élargir le cul.
Je rebande légèrement à ces mots, mais n'en laisse rien voir. Je me contente de me pencher vers lui, et nous nous embrassons.
- Allez, faut que j'y aille, sinon ma meuf va se demander où je suis passé !
Je le regarde sans comprendre pendant deux secondes. Il éclate de rire.
- Ma vraie meuf, précise-t-il. Allez, a plus, chaudasse !
Et il me quitte avec un sourire pervers sur les lèvres.
Et là je comprends - c'est officiel, je ne suis pas amoureux de lui, juste fou de son corps et de sa queue. Et ça me convient parfaitement comme ça.
Alex
toto-93@live.fr
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