Cyrillo

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Fermier

J'aime arrêter ma bécane sur un parking et me balader un moment dans les bois.

J'habite Paris, alors la campagne, c'est magique pour moi.
C'était en août, je m'arrête sur une nationale et je me dirige vers le bois.
Je suis en débardeur moulant mes muscles et en short moulant mon paquet.
Il n'y a personne dans le bois. J'ai envie de sexe, mais y a personne.
Je vais quand même pas me branler bêtement, j'attends un peu. Au loin j'entends un tracteur. Ce doit être un paysan qui bosse. Je me dirige dans la direction du bruit. J'arrive à la lisière du bois et je vois le tracteur qui vient dans ma direction. Je ne vois pas bien le mec qui le conduit. Il approche. C'est un mec dans la soixantaine. Il me regarde, me fait un signe de la main pour me dire bonjour et fait demi tour.

Il passe une sorte de machin plein de griffes sur sa terre. Il arrive au bout de son champ et fait demi tour et se redirige vers moi. Arrivé à dix mètres de moi, il arrête son moteur et descend de son engin. Il fouille dans un coffre et en sort une bouteille et un sac plastique. Il se dirige vers moi et me propose un coup de rouge. J'accepte.

On s'assied à l'ombre et on boit un coup. Il coupe un morceau de pain et me le tend. Je le prends en le remerciant. On bouffe tranquille. Il fait chaud. Je suis assis, les jambes écartées. Je sais très bien qu'assis comme ça, en face de moi, il doit pouvoir voir un bout de ma couille gauche qui dépasse. Je fais exprès pour voir si il va réagir. Il regarde de temps en temps entre mes cuisses. Il dit rien. Ca ;ne cause pas beaucoup dans ce milieu là. Je dis :

"fais vachement chaud! "

il grogne:
"mouai"

je dis:
" ya pas un coin pour se baigner par là ,"

Il dit:
"non"

Je décide de jouer le tout pour le tout sinon il va rien oser faire. J'ôte mon débardeur. Il mâte.

Je dis:
"t'as déjà vu des mecs aussi balaises que moi ?"

"non"

il continue de mâcher son pain.

Je lui dis:
"tu voudrai en voir plus,"

"ouai"

alors je me lève et je descends mon short doucement, il ouvre des yeux comme des roues de moulin. Il peut voir mon pubis, il a sa bouche entre ouverte avec du pain dedans. Je passe ma main dans les poils de mon pubis

"c'est beau ?"

"ouai"

je baisse encore mon short il voit la racine de ma queue. Je dis:

"tu te branle souvent ?"

"des fois"

"ok. Combien de fois par semaine ?"

"deux ou trois fois"

maintenant j'ai la queue à l'air. Il aval son bout de pain. Je tire sur mes burnes. Il admire le tableau. Je commence a bander. Je suis nu devant ce vieux. Il a l'air d'aimer et ça m'excite de faire plaisir a ce vieux.

Je dis:
"tu peux me faire ce que tu veux "

Alors, il se lève lentement, il s'approche de moi et me caresse le torse avec ses mains râpeuses. Il respire fort.

Je dis:
"vas-y, viole moi !"

Il me prends par la main et m'entraîne dans le bois, il sort sa queue elle est raide comme un bâton. Il dit:

"suce moi"

je m'accroupi et je le suce. Il ne sent pas la rose. Il s'est pas lavé depuis au moins deux jours. Mais ça m'excite. Je prends ses couilles à pleine main et je les malaxe. Il gémit. Je me relève et lui dis de me sucer aussi. Il dit:

"non; je veux t'enculer"

il me retourne contre un arbre et me saute dessus comme une bête. J'écarte mes fesse et je sens sa grosse pine veineuse me rentrer dedans sans aucun ménagement, des larmes me pètent les yeux ! wouahhhh c'est dur de chez dur son mandrin, putain le vieux !!

Il me prends par les hanches et se démène sur moi comme un enragé. Je sens sa bite qui me ramone littéralement le trou du cul, ça me chauffe un max. Il m'insulte:

"sale petit pd de merde, petite fiote d'enculé, tu voulais une queue?! Tiens prends ça ! Connard de mes deux! "

Et il me pine a fond, c'est long, il jouira jamais ce vieux ? Et tout a coup, il se cabre et je sens qu'il me jouit dans le fion. Je sens des giclées bouillantes me remplir le cul. Putain ça faisait longtemps que j'avais plus senti ça.

Il sort sa queue, je me retourne et il me dis, la tête baissée:

"Pardon monsieur, je voulais pas dire toutes ces choses."

Je lui souris et je prends son vieux visage entre mes mains, je dépose un baisé sur ses vieilles lèvres et je dis:

Merci, tu m'as fais du bien, c'était super bon. Ne regrette pas ce que tu m'as dit. Ca voulait rien dire, je sais que tu es un gentil."

Et voilà mon vieux, la bite molle encore en dehors de sa salopette et il a les yeux mouillés.

"ça fait au moins 15 ans que j'ai pas touché quelqu'un. Bien sur, je pensais à des femmes, mais toi, t'as été très sympa et pis.... t'es beau. Merci. Tu restera mon plus beau souvenir."

J'en pouvais plus. Je l'ai serré dans mes bras et on a pleuré comme des gosses, l'un contre l'autre. Il m'a invité à sa ferme, quand je rentrerai de vacances, comme je repasserai par là, je passerai la nuit chez lui et on se fera du bien.

pascal l'exhibe

lpmuscle7a@aol.Com

Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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