Cyrillo

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formation -13

Une douleur me réveille en sursaut.

Monsieur Jean me triture les seins, je me débats, me tortille, j'ai tellement mal que j'en pleure. J'ai la bouche ouverte mais je n'ose pas crier.
Monsieur Jean se penche vers moi et laisse tomber sa salive dans ma bouche, puis il se penche m'embrasse et entre sa langue profond dans la bouche. Il m'embrasse avec passion, goulument et je lui rends son baiser. On dirait que cette pelle profonde atténue ma douleur.
Monsieur Jean lâche mes tétons et se redresse. " Il faudra que tu t'y habitue au travail de tes seins, mais si tu gueules encore ou que tu supplies je te jure que je te les brûle à la cigarette et là, tu vas savoir ce que c'est de souffrir.
Il se lève et me dit qu'il est l'heure de se préparer pour aller au travail, mais qu'avant je vais devoir faire sa toilette. Je m'imagine que je vais de voir le savonner et j'en suis très heureux car je pourrai regagner mon appartement. Je suis exténué.
" Allez, assieds toi sur le bord du lit ! ", me dit-il.
Il me tend sa pine et me dit " nettoie bien tout ça ! ". Je la prends dans bouche et je passe bien ma langue partout.

" Les couilles maintenant ! ". Je passe ;bien ma langue autours, je les soulève pour lécher l'arrière. Monsieur Jean prend sa queue en main et me la tend. Elle est mi-dure. Il m'attrape par les oreilles et s'enfonce dans ma gorge. Là il ne bouge plus et sent un jet chaud qui me frappe la paroi. Une odeur forte me monte aux narines, mais il est entrain de pisser ce salaud. Je n'ai pas d'autres choix que d'avaler. Quand il a terminé il me dit : " tu as aimé ? Il le faut bien car lorsque tu seras avec moi, tu me serviras aussi de pissotière. Comme tu es déjà mon vide-couilles, cela ne devrait pas te poser de problème ! ".
Monsieur Jean se dirige à l'autre extrémité de la chambre. " Viens ici ! ". Je le rejoins près d'un siège bas, constitué de pieds en tubulures chromées et dont le siège est constitué d'une épaisse semelle de cuir percée, en son centre, d'un large trou.
" Allonge-toi ! " me dit-il et il me pose le siège sur le visage. Il s'assied en écartant ses fesses et je vois sur mon nez son anus, large fente brune.
" Nettoyez tout ca avec ta langue, lèche, salope ! ". J'ai un haut le coeur, mais après tout, s'il me l'a fait, ca ne doit pas être aussi désagréable que ça. L'odeur est forte. Je lèche par petits coups de langue.
" Mieux que ça ! Mets du coeur à l'ouvrage salope ! ". Ma langue passe sur toute la fente à plusieurs reprises. Monsieur Jean gémit. Il pousse un peu et je vois la fente s'ouvrir un peu.
" Mets-y ta langue pute ! ". J'y mets la pointe et puis prenant mon courage à deux mains, je lèche carrément. ;J'entends Monsieur Jean grogner et crier je vois ses jambes se raidir et il tressaute sur son siège.
" Oh putain, cette salope de pute m'a fait jouir sans même me toucher, uniquement en me bouffant le cul. Oh la salope !!!! ".
Il se lève, dégage le siège et me dit : " Allez nettoie le sol avec ta langue petite pute vicieuse ! ".
Monsieur Jean se dirige vers sa table de chevet et en revient avec ma cage de chasteté. Il me demande de me relever, me pose la cage et tire sur un cordon.

On frappe à la porte et Monsieur Aimé apparaît.
" Ramenez le à ses appartements et venez me voir à 16 heures pour votre rapport ! ".

Sorti de chez Monsieur Jean, je regardai Monsieur Aimé, les yeux mouillés.
" Ne commence pas comme ça Marc, ca fait partie de notre travail, nous sommes ici pour ca, prenons le plaisir tel qu'il se présente et ne nous posons pas de question. Ce qui compte c'est l'amour que nous avons l'un pour l'autre ! ".

rrivé dans mes appartements Youssouf, l'accueille avec un grand sourire illuminant un visage aimable. Doucement il me dit : " ca s'est bien passé ? Tu sais que ce soit Monsieur Aimé, Mustafa ou moi et d'autres, nous avons tous connu cela, mais on s'y fait très vite ! ".

Je remarque que dans l'antichambre il y a un nouveau fauteuil.
Il est en bois avec des accoudoirs, assez élégant. Je regarde Youssouf qui me dit : " c'est sans doute Monsieur Jean qui l'a fait apporté ici. Pour l'avoir pratiqué je sais comment cela fonctionne ! ".
Je m'approche et là je vois qu'un gode est fiché au milieu du siège. Je demande à Youssouf de m'expliquer.
" Voilà, au moins trois fois par jour tu dois t'asseoir sur ce fauteuil, cul nu et, en mettant le gode en place dans ton anus. C'est le minimum obligatoire. Mais lorsque tu voudras t'asseoir pour regarder la télé par exemple, c'est ce siège que tu devras utiliser. D'ailleurs tu verras que les autres sièges vont être enlevés. Le gode sera changé tous les jours. Parfois il sera court ou long, mince ou gros, voir très gros, de toutes les formes. Quand tu seras assis dessus, un voyant lumineux s'allumera chez Monsieur Jean et le gode pourra vibrer, onduler, gonfler ou faire des vas et vient, selon ce que Monsieur Jean décidera de chez lui.
" Oui, mais... et mon plug ? ".
" Tu n'auras plus à le porter pendant tous le temps que durera l'exercice du fauteuil ! ", me répond Youssouf. Sur ce, il m'emmène à la salle de bain, pour me doucher et je lui dis qu'ensuite j'aimerai m'allonger et dormir un peu.

Youssouf vient me réveiller : " Il faut que tu commences ton exercice au fauteuil, sinon tu n'arriveras pas à faire les trois exercices exigés ! ".

Youssouf me passe une chemise et me dit que ce sera plus pratique.
Nous allons dans l'antichambre, je prends un livre dans la bibliothèque. Youssouf graisse le gros gode fiché sur le fauteuil ainsi que le bord de mon anus. J'écarte mes fesses et commence à m'assoir. Youssouf me guide pour bien positionner le gland du gode sur mon anus.
Je m'assieds doucement. Le gode me pénètre mais à mi-chemin je me redresse. Youssouf me regarde, interrogateur.
" Ca me fait un peu mal, sans doute parce que Monsieur Jean m'a beaucoup sollicité cette nuit ! ".
Youssouf sourit, il remet de la graisse sur le gode et me graisse le cul de nouveau.
Je m'assieds et cette fois le gode me pénètre inexorablement. Mes fesses touchent le siège. Je reste sans bouger. Youssouf m'indique un voyant rouge allumé sur l'accoudoir. Je l'interroge d'un geste du menton.
" Monsieur Jean vient de prendre le contrôle dit-il ! ".
Pourtant rien ne se passe.

Soudain, je sens des vibrations dans mon ventre. Je laisse tomber mon livre.
" Ca commence ! " dis-je à Youssouf.
Au bout d'un moment je sens que le gode descend un peu, puis remonte. Le va et vient est commencé.
Je sens le plaisir monter en moi. Youssouf passe la tête de loup. Il l'a pose devant la caméra et dit : " merde ! ". Puis avec son sourire habituel, il se penche sur moi m'embrasse et nous nous échangeons une pelle bien baveuse.

Dans la journée je réfléchis beaucoup et j'en arrive à la conclusion que je dois, vis-à-vis de Monsieur Jean, me soumettre complètement et devenir de plus en plus vicieux.

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