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Ce mek m'avait vraiment chauffé l'esprit... et le noeud
Durant toutes ces semaines où nous avions communiqué tous les deux via le mail, ce mek de Bordeaux m'avait vraiment chauffé l'esprit... et le noeud ! ! ! En plus on s'était fait une paire de plans webcam qui avaient fait monter un plus chez chacun de nous l'envie de l'autre. A chaque fois il m'avait fait cracher abondamment.
Ne vas pas croire que je suis uniquement un baiseur virtuel qui se cacherait derrière mon PC ! ! !
Il n'y a rien de meilleur que de sentir le corps de son (ses) partenaire(s) réagir aux caresses qu'on lui (leur) prodigue(nt). Rien ne remplacera le parfum d'une bite bien tendue tout au fond de ma gorge. Rien ne remplacera la chaleur de cette même bite lorsqu'elle va et vient au plus profond de mon petit cul serré et gourmand.
Au jour du rendez-vous, j'étais dans un état d'excitation particulier. Toute la journée ma bite était restée semi-rigide, elle ne demandait qu'à gonfler, je sentais mon sang qui ne demandait qu'à monter à l'assaut de cette tige...
Ce soir là, je n'avais pas mis de sous-vêtements, j'aime bien cette tenue qui met en valeur ma queue lorsqu'elle gonfle le long de ma cuisse. J'étais entrain de boire une première bière avec mon mek en attendant l'arrivée de Christophe, nous devisions tous les deux en matant tous ces meks autour de nous, tous plus beaux les uns que les autres. Nous étions entrain de fantasmer sur le barman blond...
Dans les cinq minutes qui suivirent l'arrivée de Christophe, j'avais la queue coincée entre ma cuisse et la toile de mon jean. Il l'avait tout de suite observé, il faisait d'ailleurs juste les remarques et les gestes qu'il fallait pour que je ne puisse surtout pas débander ! ! !
Tout cela se passant sous les yeux de mon mek redoublait encore plus mon excitation.
J'aurais voulu qu'ils me déshabillent tout de suite pour libérer ma queue qui commençait à souffrir le martyr, mais l'endroit ne permettait pas ce genre d'action. Il me fallait souffrir en silence jusqu'au moment où n'y tenant plus j'ai demandé à ce que l'on aille ailleurs, là où je pourrais aller avec eux au bout de mes envies. J'ai donc proposé une autre bière ailleurs...
Mais Bruno, épuisé par une très longue semaine d'un travail acharné, a préféré rentrer dormir sagement à la maison. Je n'ai pas voulu abandonner Christophe, je lui ai proposé d'aller faire un tour au Full métal....
Super beau mek à l'accueil, coupe de cheveux à la militaire, torse nu, il exhibe une belle paire de mamelons larges et saillants plantés sur des pectoraux bien dessinés par quelques heures de bodybuilding.
Je prends Christophe par la main pour l'entraîner au sous-sol. La déco, les éclairages et la musique créent une atmosphère chaude et virile. J'arrive à distinguer de beaux meks présents dans tous les coins, mon coeur fait un saut dans ma poitrine, cela fait plaisir de se retrouver dans un endroit où l'on peut laisser parler ses envies sans crainte du regard des autres. Tous les fantasmes sont permis...
Installé au bar, je nous commande une bière. J'étais sous le charme, j'avais envie de sortir le grand jeu...
Christophe est venu s'asseoir à côté de moi, sa main a commencé à caresser ma joue puis il a fourré son nez quelque part dans mon cou. J'ai penché ma tête sur la sienne, puis j'ai caressé lentement son visage, intensément.
Les lèvres de Christophe s'écrasèrent sur les miennes, c'est tout naturellement que ma bouche s'ouvrit pour un affrontement de nos deux langues.
Je m'abandonnais à ses mains expertes...
Puis je ne sais plus très bien qui a fait quoi. Nos nous sommes rapidement retrouvés chemise ouverte. Nos mains semblaient poursuivre le travail d'exploration mutuelle que nos esprits avaient engagé tout au long de ces messages échangés jour après jour depuis deux mois déjà.
Mes attouchements déclenchaient chez Christophe une réactivité incroyable. Ma langue avide allumait en tous points de son torse des incendies que propageaient en retour chaque coup de sa langue sur mes seins. Percés, ils sont tous les deux devenus hyper sensibles.
Quelle volupté de se frotter contre ce corps dur et musclé. Sa peau est douce.
Sa main s'est posée sur la bosse de mon slip. Elle presse et malaxe le tissu. Christophe se met à défaire ma ceinture et les boutons de ma braguette.
- Christophe, je veux te sucer. Il faut que je te suce ! ! !
Je me mets accroupi face à cet homme. J'ai du mal à défaire les pressions qui résistent d'autant mieux qu'au fur et à mesure que je les fais sauter sa bite force pour se libérer. Ce n'est pas moi qui le fait mais ma main. Je ne peux l'empêcher !!!
Sa bite m'apparaît comme dans un rêve, démesurée ! ! !
- Tu es drôlement bien monté. C'est une vraie matraque !
Ma bouche arrive à hauteur de son gourdin. Je salive et lèche le bout du gland qui apparaît. Ma langue pénètre entre le prépuce et le gland. Ma main droite vient se placer à la base de son pénis, elle a peine à faire le tour, je le décalotte laissant apparaître complètement son gland turgescent.
- Suce moi, vide moi les couilles !
J'avale son gland qui à lui seul remplit presque ma bouche. Christophe me tient la tête par les cheveux, il dirige le mouvement.
- Ouaah, tu me fais bander, continue, avale la toute. T'aimes çà !
Sa bite est parfaite, son pré-sperme est déjà abondant, il a un goût merveilleux.
- Oh, que c'est bon, arrête, je vais jouir !
Le voyant au bord de l'extase, je lâche sa queue pour lui dévorer les couilles et glisser ma langue vers son anus.
J'accélère le rythme, il lance des grognements très virils. Je touche à peine ma queue, je sens que je vais lâcher mon jus...
Un puissant jet chaud m'envahit la gorge, un goût que je connais très bien et que j'adore. Le second jet me dégouline sur la joue. Les lourdes gouttes roulent tout le long de mon torse. Il n'en finit pas de lâcher sa chaude semence.
N'y tenant plus, Je lâche mon sperme, de belles longues giclées qui viennent s'étaler à ses pieds.
Je me relève rassasié alors que sa bite reprend sa taille normale.
- Ouaah, quel plaisir !
Et hop, une autre petite bière pour nous remettre de ces émotions !
Mais je n'en avais pas terminé avec lui, je le voulais entièrement. Une pénétration entre hommes ! ! !
Il faisait chaud, j'avais envie de me mettre à mon aise; J'ai abandonné Christophe pour remonter au vestiaire me libérer de mes vêtements. Je me suis mis nu ne conservant que mes rangers, mes chaussettes... et mon cockring.
Je suis redescendu pour retrouver mon ami. J'étais bien avec lui. Son corps fin se tordait contre le mien. Je sentais son odeur, sa peau était chaude.
Assoiffé de son corps, je murmurai à son oreille:
- Veux-tu me pénétrer ?
Pas besoin d'un long discours, son regard en dit long sur son envie. Je l'emmène vers le fond de la salle où de petites lumières éclairent faiblement l'endroit. Deux bomeks sont déjà là, tout se passe dans un grand silence. Juste le bruit de leur respiration, les cris du plaisir de chacun...
Nous nous sommes rapidement retrouvés enlacés, moi totalement nu, Christophe avec le pantalon sur les chevilles.
- Prends moi ! Je le veux, j'en ai envie !
Son gland est contre mon anus, je tremble. Christophe me flatte la croupe. Je m'écarte les fesses au maximum. Mon anus s'ouvre lentement pour recevoir son gland. Sa queue très dure force le passage, s'enfonce centimètre par centimètre, prend possession de mon corps.
Je me suis retenu pour ne pas crier.
Il me tient par les hanches, lui seul bouge dans un long mouvement de va-et-vient, son gland ouvre mes parois les plus intimes pour glisser au plus profond de mon antre soyeux. Aller et venir lentement dans ce tunnel chaud et humide. Mon trou a appris à s'ouvrir, il est maintenant très souple. Christophe a poussé une dernière fois et j'ai senti les poils de son pubis contre mes fesses. Je me suis accroché aux barreaux de la grille face à moi et mes fesses se sont refermées sur le mandrin de Christophe bien vrillé au fond de mon cul tendu.
Le gros zob de Christophe a commencé à coulisser dans mon intimité.
- Ah comme c'est bon ! je sens bien ta bite ! Comme elle est grosse !
La douleur cède la place à une jouissance inouïe. Je me suis laissé sodomiser en regardant les deux autres meks de l'autre côté de la grille. Que c'est beau de voir deux beaux mâles baiser ensemble. La pénombre rend la scène presque irréelle.
Mon anus est maintenant complètement dilaté, il me procure une sensation extrême. Christophe va maintenant de plus en plus vite, son sexe coulisse parfaitement bien entre mes fesses. Ses couilles battent contre les miennes.
- T'aimes bien te faire défoncer, hein salope ! ! !
- Oui, continue, défonce moi ! T'arrête pas, continue encore plus fort, j'aime çà ! Ce que tu me baises bien !
- Sale chienne, Tu vas me faire jouir !
- je veux ta queue, défonce moi ! ! !
Il sort complètement sa queue de mon trou pour la rentrer en entier d'un seul coup. Ses coups de boutoir s'accélèrent annonçant sa jouissance.
- Ahhhh ! je vais jouir... !
- Oui, viens !
Mon sperme a fusé en longues saccades en même temps que Christophe se vidait dans mon ventre, j'ai senti mon trou se remplir de son jus. Il a libéré mon anus qui est resté ouvert.
Les autres meks rassemblés autour de nous contemplent la scène. Les flaques de sperme à mes pieds sont témoin du plaisir qu'ils ont pris eux aussi.
louparis10
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Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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