un goût salé.Cette histoire remonte à l'époque où je venais tout juste d'avoir mon Bac. Elle est vraie. Les formalités pour la fac ayant été remplies, nous avons décidé à trois potes d'aller faire du camping au vert. Nous avions 1 voiture, 2 tentes et une vraie envie de farniente après le coup de stress des épreuves et le rush des derniers mois. Je ne sais plus très bien à quel moment de notre séjour les choses ont basculé. Aussi, voici le souvenir brut de ce qu'il s'est passé. Nous étions tous les trois sous le dôme, Nicolas, Cyril et moi; il n'était pas spécialement tard: 23H ou 23H30, mais il n'y avait pas grand chose à faire le soir à la campagne (quoique...). La nuit noire s'était infiltrée jusque dans la tente et on n'y voyait rien. On discutait dans le noir de tout et de rien. Il faisait chaud: l'été était bien là. Nous étions sur nos duvets avec des petits caleçons et un t-shirt, Nicolas était au centre de la tente et Cyril et moi occupions chacuns un côté. Il n'y avait de place que pour nous dans la tente. Je ne sais plus pour quelle raison, mais Cyril et moi avons commencé à batailler contre Nicolas dans le noir, à lui faire des chatouilles et à le contraindre physiquement. Cyril lui tenait les bras et moi les jambes. Puis on s'est calmés. Cyril s'est repositionné sur son matelas et j'ai commençé à caresser la jambe de Nicolas dans un but d'apaisement (rien de sexuel ici!). C'était comme si je caressais un chien ou un chat. Pendant que je laissait courir mes doigts sur sa peau, nous continuions de parler avec Cyril. Nicolas ne disais rien. Tout en continuant mes caresses, mes doigts ont fini par arriver au niveau de l'entrejambe de Nicolas (et je jure que jusqu'à cet instant, tout ceci était on ne peut plus innocent). Mes doigts ont été très surpris de toucher son sexe, mais la surprise venait plus du fait qu'il était dur. Mes caresses plaisaient visiblement (même si je n'y voyais rien) à Nicolas. C'est là où les choses basculent pour moi. Cela me fait très plaisir de savoir que je le fait bander et je décide que je vais lui faire plaisir en lui astiquant le manche. Mais Cyril est toujours éveillé à côté (il me parle) et ne se rends compte de rien. Je caresse très lentement le sexe de Nicolas pour ne pas faire de bruit tout en alimentant la conversation avec Cyril. Nicolas ne dit toujours rien. Il ne me repousse pas et son érection me conforte dans le fait qu'il aime ça et qu'il veut bien que je le touche. A un moment donné, Cyril me dit "On l'entend plus Nicolas..." ! Je continue donc très lentement pour ne pas faire de bruit d'autant que le silence s'est installé dans la tente et que pas un bruit ne provient de l'extérieur. De mon côté, je bande aussi, la situation est très excitante. Je lui lèche le sexe, je le prends en bouche, je lui lèche les couilles. Je ne sais pas si c'est ce qu'il faut faire, je suis guidé par l'instinct. Son sexe est délicieux; il est tendu comme le mien. Viens le moment où je lui lèche les couilles avec insistance tout en lui branlant le manche. Je sens ses contractions et sais qu'il va jouir. Je le reprends alors en bouche pour récolter son sperme chaud et salé. Je ne sais même pas pourquoi j'ai fait ça. Je réfléchis à peine quelques secondes: on est dans un tente avec un pote qui dors alors que je viens d'en pomper un autre, j'ai la bouche remplie de jus. J'avale. Nicolas n'a pas fait de bruit. Cyril respire toujours fort. Je me repositionne sur mon matelas et j'espère que Nicolas va me réserver le même traitement. Au bout de quelques minutes, je l'entends qui remet son caleçon. Je n'aurai pas droit au même traitement. Je me suis endormi sur ma béquille. Bien sur, le reste des vacances, nos regards ont été fuyants et rien ne s'est produit. Puis nous sommes rentrés chez nous et nous avons perdu le contact très rapidement. C'est dommage, mais ce n'est pas grave. Après tout, j'ai vécu une situation extrêmement excitante. tentale de vegetalistentaledevegetalis@gmail.com Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |