Une grange bien sombre...J'avais 18 ans. Il en avait 27. Ça aurait pu ressembler à un viol si, au fond de moi, je n'étais pas heureux de ce qui m'arrivait... En me réveillant ce matin-là, je me suis d'abord demandé ce que je pouvais bien foutre dans cette putain de grange ! J'étais complètement à poil dans la paille avec un mal de crâne pas possible. J'ai senti un corps collé contre le mien. C'était celui de Mathieu, rencontré la veille. Complètement à poil, lui aussi. Puis, je me suis rappelé. Des images un peu floues, d'abord. La bringue de la veille, chez une copine. Tout le monde avait picolé sec. Moi aussi. Sono à fond mais pas beaucoup d'ambiance. Vers une heure du mat, un mec que j'avais aperçu dans la soirée me propose de bouger et de partir en stop jusqu'à Apt terminer la soirée dans une boîte de nuit. C'était Mathieu. - C'est un peu nul, ici. Et à voir ta tête, je suis sûr que tu préfèrerais être ailleurs... Ce mec était vraiment séduisant. Je dirais même charismatique. Je ne le connaissais pas mais acceptais sa proposition. Nous étions en pleine campagne, un endroit désert, perdu dans le Lubéron. Il nous a fallu marcher un quart d'heure sur un chemin de terre avant d'atteindre la petite départementale. On se dirigeait comme on pouvait tellement la nuit était sombre. Une heure après, on était toujours comme deux cons, plantés sur le bord de la route. C'était en plein été mais il n'y avait pas un chat. Mathieu était prêt à aller à pied jusqu'à Apt. Ça ne faisait pas loin de dix bornes. Tandis que le jour commençais à arriver, les choses me revenaient un peu mieux. Mathieu dormait comme un vrai bébé, à plat ventre, les cuisses écartées, un bras replié sous sa tête. Non, ce n'était pas un rêve. Il m'avait baisé. Je me suis fais enculer pour la première fois par un mec que je ne connaissais même pas ! Et je me souviens avoir beaucoup aimé, même si je faisais mine de ne pas vouloir. Comme lorsque j'ai pris sa queue dans ma bouche pour la pomper. C'était la première fois que je suçais un mec.
A ce moment-là, mes souvenirs étaient plus clairs dans ma tête. Nous n'en pouvions plus de marcher, aussi Mathieu m'a proposé de passer la nuit à la belle étoile. Il faisait doux, il nous suffisait de trouver un champ ou un coin tranquille. C'est en nous écartant de la route que nous sommes tombés sur cette grange. On n'y voyait rien à l'intérieur mais on a tout de suite senti de la paille sous nos pieds. On s'est allongé mais impossible d'arriver à s'endormir. Mathieu était près de moi. Il m'a lancé :
Moi aussi, je comptais bien terminer ma soirée autre part que dans cette grange. On a continué à parler de cul. Mais je n'osais pas lui dire que j'étais gay. Je n'avais encore jamais eu d'expérience mais, à 18 ans, je savais déjà que je préférais les mecs.
Soudain, Mathieu s'est jeté sur moi en me disant :
A cause de l'alcool, je n'arrivais plus à lui résister, j'étais persuadé qu'il s'agissait d'un jeu. Une chose était sûre, je n'aurais jamais osé lui avouer que je ne me branlais qu'en fantasmant sur des mecs. J'ai senti soudain qu'il cherchait ma bouche pour m'embrasser. Cette fois, j'ai compris qu'il était sérieux. Même si j'attendais cette occasion depuis si longtemps, la peur dominait. J'ai détourné mon visage. J'avais l'impression de lutter contre en fantôme dans cette grange obscure. Mathieu riait.
Tout en me maintenant immobilisé, il a lâché l'un de mes poignets pour plaquer sa main entre mes cuisses. Il m'a tout de suite traité de salopard en trouvant ma bite raide sous ma braguette. Je n'avais pas débandé et il s'est mis à me palper les couilles et le manche avant d'entreprendre de défaire mon froc. En fait, je n'étais pas mécontent qu'il me mette la bite à l'air. J'avais envie de baiser et l'alcool allait m'aider à réaliser ma première expérience homo.
Dés lors, je me suis laissé faire. Il s'est déshabillé et m'a aidé à me foutre complètement à poil. Cette fois, je n'ai pas refusé sa bouche quand il a cherché à m'embrasser. Il a pris ma main pour la diriger vers sa queue. J'ai senti sous mes doigts une bite tiède, assez épaisse et qui me paraissait bien plus longue que la mienne. Cela m'a excité de branler sa tige. Lui, il s'occupait de la mienne. C'était étrange comme sensation. On ne se voyait pas, on s'entendait seulement respirer et gémir. J'ai entendu Mathieu me murmurer :
A ce moment-là, j'ai refusé. J'ai tenté de me dégager en lui disant que je ne voulais pas aller plus loin. Il s'est alors étalé de tout son corps sur le mien. Sa voix avait changé. J'étais très excité. La peur et le désir se confondaient. Mathieu me guidait, il me disait comment il aimait qu'on lui fasse les choses. Je l'écoutais et je m'efforçais de m'appliquer. Il s'est redressé et m'a demandé, pour ne pas dire ordonné, de m'allonger sur le ventre. Ce que je fis. Il s'est occupé de mon cul, le mouillant de salive, dardant sa langue à l'intérieur, enfonçant un premier doigt puis un second. Quand il m'a dit que j'allais être sa femme pour la nuit et qu'il allait me baiser et se vider les couilles dans mon trou, j'ai ressenti une très grande excitation. Je ne pouvais m'empêcher de dire non mais je savais que je voulais qu'il le fasse. Il allait m'enculer, et je me sentais prêt à recevoir sa grosse queue. Il m'a demandé de me placer à quatre pattes et il s'est posté, à genoux derrière moi. Il m'a encore léché l'anus, le lubrifiant abondamment. J'avais hâte de me faire sauter, de me faire élargir encore plus par sa belle bite, mais je manifestais pourtant un autre refus.
- S'il te plait, non.
Je lui ai demandé de se retirer mais Mathieu m'a répondu :
Il a s'est allumé une cigarette et m'a regardé.
Pendant qu'il fumait sa cigarette, il m'a demandé de venir entre ses cuisses pour le sucer. Je me suis exécuté. Et sa cigarette finie, il m'a encore baisé. Plus longtemps cette fois... Voilà ce que j'avais fait cette nuit ! Les images se bousculaient comme des petits flashs. Mathieu s'est réveillé au moment où je cherchais mes vêtements pour me rhabiller. Je me suis senti très mal à l'aise, lui me souriait. Il m'a demandé : Il s'est tourné et m'a montré sa queue raide, plaquée sur son ventre. Je l'avais branlée cette nuit, sucée, prise dans le fion mais je ne l'avais encore jamais vue. Je lui réponds que non et qu'il fallait oublier tout ce qui s'était passé entre nous.
- Ne m'oblige pas à te violer encore une fois, je sais que t'as aimé ça. Starbuckstarbuck_69@hotmail.fr
Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |