Nouvelle formation sur Paris.J'ai vérifié cette fois-ci que ma société a bien réalisé la réservation. J'ai appelé Ali, le réceptionniste de l'hôtel, pour confirmer la chambre. Nous avons discuté un peu et j'ai senti qu'il était excité à l'idée de nous revoir et de savoir que j'étais dans son hôtel durant 2 jours. Durant la conversation, Ali s'est permis quelques allusions sur notre première expérience et j'ai bien compris qu'il attendait nos retrouvailles avec une excitation sexuelle non dissimulée. Le jour de ma formation est arrivée. Dès ma descente d'avion, je file directement à l'hôtel poser mes bagages. Ali est derrière son comptoir et son visage s'illumine dès qu'il me voit entrer dans l'hôtel. La réception est déserte car tout le monde est déjà parti travailler. Je pars ainsi dans mes souvenir tout en suivant Ali. Mon sexe se tend de plus en plus et mon ventre palpite d'excitation. Cette impression est bizarre parce qu'en général j'éprouve cela avec une fille à qui je vais faire l'amour et pour laquelle je suis le mâle dominateur qui va profiter de sa proie et la pénétrer dans tous ses trous de femelle. Je quitte mes rêves lorsqu'il m'ouvre la porte et me laisse entrer par un geste poli qui me laisse découvrir l'endroit de mon repos durant 2 nuits. Lorsque je passe devant lui, je ne le regarde pas. Je garde mon regard fixé sur le fond de la chambre plongée dans la pénombre tant je ne sais que faire devant ce mâle qui me domine sans qu'il fasse quoique ce soit. Dès que je dépasse Ali, ce dernier pose immédiatement sa main sur mes fesses et avec insistance commence à fouiller ma raie sans ménagement me faisant entrer plus vite dans la chambre. Je freine un peu des pieds afin de sentir cette main insistante entrer plus profondément entre mes fesses et tendre un peu plus le tissu de mon pantalon. Je sens ses doigts qui cherchent ma rondelle et qui poussent avant leurs investigations autoritaires sur mon intimité avant que l'étreinte se relâche parce que je suis désormais dans la chambre Je sais que je viens d'entrer dans une antre qui m'isole pour un temps du monde. Je me délecte de cette situation car je sais qu'Ali risque de ne pas en rester là tant j'ai goûter l'espace de quelques secondes à sa domination pleine d'excitations. Je pose aussi calmement que possible mes affaires et me retourne pour sortir. Ali est planté devant moi, un sourire illuminant son visage et les yeux pétillants, les bras le long du corps, l'allure décontractée de celui qui maîtrise la situation parce qu'il sait que je suis ici, dans cette chambre, pour quelques minutes la proie avec laquelle il peut jouer autant qu'il le souhaite. Il ne bouge pas lorsque je me dirige vers la porte et arrivé à quelques centimètres de lui, il me pose avec autorité sa main sur mes couilles pour les presser sans pour autant me faire mal, comme pour montrer sa domination sur mon corps. Je suis surpris parce qu'Ali ne montre rien. Son regard me fixe avec malice mais son visage ne dit rien. Il tient mes couilles et je sens la chaleur de sa main traverser le tissus du pantalon, de mon slip et atteindre mon membre à peine ramolli depuis mes dernières pensées perverses. Il serre mes couilles et me soumet immédiatement à sa volonté. Je sais que je ne peux plus rien faire au risque qu'en représailles, il serre un peu plus son étreinte et déclenche en mon bas ventre une douleur sourde que je connais. Sa main se presse alors sur mon bas ventre et commence une masturbation comme si mon mâle voulait soupeser les couilles de sa femelle et lui montrer un peu plus que cette dernière est soumise à son bon vouloir. Je lève la tête vers le regard d'Ali qui devient tout à coup déterminé et lubrique arborant un sourire malicieux. " Embrasse-moi, salope d'hétéro. " m'ordonne-t-il en tirant sur mon paquet afin de m'obliger à obéir à son ordre. Il se plaque contre ma bouche et insinue sans ménagement sa langue qui fouille ma bouche tout en me tenant par les bourses. Je suis toujours aussi étonné de la douceur des lèvres d'un homme et encore plus étonné par l'attitude sauvage d'Ali qui prend son plaisir en m'innondant la bouche de sa langue fouilleuse à laquelle je ne peux que répondre en lui offrant la mienne. Sa salive entre dans ma bouche plus que de raison. Ali marque ainsi un peu plus son territoire sur mon corps et mon esprit et je me laisse faire tant j'aime déjà cette sensation. Son autre main se plaque alors sur une de mes fesses imprégnant sans ménagement ses doigts dans ma peau et m'attire un peu plus contre lui pendant qu'il me la malaxe avec un plaisir non dissimulé. Je suis contre sa poitrine, les bras balant car je tiens à rester totalement soumis et à laisser à mon mâle toute l'initiative de ce qui va suivre. Dans ma tête, je suis déjà soumis et je n'ai que l'idée de lui faire plaisir par tout ce que mon corps pourra lui donner. Tout tourne autour de moi et le monde réel s'évanouit petit à petit pour ne laisser que lui et moi. Ali se retire de ma bouche et me regarde tout en me tenant plaque contre lui. Je ne peux rien faire tant qu'il possède mes couilles. Le contour de ma bouche est inondé de sa salive et je sais qu'il se délecte de me voir ainsi. Je n'ose même pas enlever cette humidité de mes lèvre et préfère rester ainsi, bien soumise, nouvellement salope excitée à l'idée d'effacer mon identité de mâle hétéro pour faire place à une bonne femelle obéissante. " Mmh, tu es toujours aussi bonne et toujours aussi beau gosse. " me dit-il dans un seul souffle. J'apprécie le compliment comme une femme apprécie que je le lui fasse. Je suis flatté et Ali s'en aperçoit immédiatement. Je sens sur le haut de ma cuisse qu'il bande comme un fou. Je sens la chaleur de ce sexe tendu de désir pour moi, ancien hétéro devenu bi et conquis par cet homme qui est un vrai mâle pour moi et qui me transforme en femelle en chaleur sans que je puisse me contrôler et savoir pourquoi. Cette queue marque au fer rouge ma peau et je me presse instinctivement contre elle afin de mieux la sentir irradier ma cuisse et remonter par ondes de soumission dans tout mon corps. Je fonds littéralement et je reste à sa mercie dans l'attente brûlante de son besoin de mâle. Je savoure ce retour à cette sensation dont je me délecte d'être dans cette situation. Mon corps excite l'homme en rut qui me me le montre largement par son sceptre qu'il me tarde d'accueillir dès qu'il le souhaitera pour lui donner tout le plaisir possible. A ce moment là, il relâche son étreinte sur mon sexe. Je sens la liberté revenir avec regret tant je suis excité par cette étreinte de mâle, et cette situation me ramène aussitôt à la réalité. Mon esprit s'évanouit à l'écoute de cette phrase délicieuse qui fait sauter tous les verrous de ma logique d'hétéro. Fébrilement, tant le désir de lui faire plaisir totalement est désormais en moi, je défais les boutons de son jean, descends sa braguette et écarte les pans de tissus afin de découvrir un slip blanc moulant qui laisse deviner l'épaisseur et la longueur de sa belle queue. Immédiatement, l'envie de me faire posséder une fois de plus me prend au ventre. Je sens que mon cul palpite d'excitation. Dommage, nous n'avons pas le temps pour ce plaisir. Je vais donc patienter jusqu'à ce soir pour en profiter. Je continue à ouvrir son pantalon afin de découvrir totalement l'avant de son slip et admirer en même temps ce membre que je vais avoir en bouche dans peu de temps. Ali ne bouge pas, il me laisse faire, me regardant à ses genoux, me dominant comme un mâle avec sa femelle à tout faire. Il sourit et je vois son contentement de dominateur. Pendant que je le regarde savourer son plaisir de mâle, je descends doucement le slip qui libère tout à coup ce membre synonyme de plaisir et je revois avec un plaisir immense qui décuple mon excitation cette queue avec ces bourses remontées et bien proportionnés agrémentées d'un parterre poilu, frisé et ras. Le biberon est tendu vers moi comme pour me faire signe de le prendre. Le fruit est bien mûr et je n'hésite pas une seconde. J'ouvre le plus grand possible ma bouche et me penche doucement sur le pieu afin qu'il pénètre. Je ferme alors mes lèvres sur cette peau douce et chaude afin de sentir toute la dureté de ce membre de mâle et je passe ma langue afin de l'humidifier. Ma tête tourne en sentant ce gland si lisse, si gonflé, si ferme enrobé par la langue et caressé par mes lèvres. Je savoure cet instant tant attendu et j'ouvre un peu plus ma bouche afin d'avaler cet organe de plaisir qui me rend si femelle. Ali commence à onduler et pose ses main de part et d'autre de ma tête. Il fouille mes cheveux et presse ses doigts sur mon crâne afin de me fixer à son pieu qui oscille dans ma bouche. Il souffle de plus en plus et je sens son sexe bien dur avec ses veine qui frottent contre mes lèvres. Je ne suis plus rien. Seulement une bouche à plaisir. Je sais maintenant ce que veux dire être un vide couille et j'adore cela. Jamais je n'aurais pensé prendre autant de plaisir à me faire prendre la bouche par un homme. Je commence à baver parce qu'Ali accélère le rythme et commence à forcer ma bouche. J'ai l'impression que son pieu est énorme et qu'il me rempli la tête. Je ne peux que le laisser me labourer en tentant de garder autant que possible mes mâchoires grandes ouvertes. Je respire par le nez avec plus de difficultés et je commence à baver car le gland envahit de plus en plus sauvagement ma gorge pendant que mon mâle gémit et souffle de plus en plus fort. Ali me laboure la bouche ainsi pendant quelques minutes qui me paraissent des secondes. Petit à petit, j'ai le goût de sperme qui se mélange à ma salive. Je comprends que celui qui me possède et qui me transforme en bouffeur de queue mouille d'excitation. Je savoure cet instant d'humiliation. Je suis à genoux, moi, anciennement hétéro, qui prenais plaisir à faire cela avec les filles, qui me retrouve aux pieds d'un homme qui utilise sans ménagement ma bouche pour son plaisir personnel. Je suis un objet de plaisir sexuel aux ordres d'une queue. Je ne suis plus qu'une bouche, qu'un trou à labourer le plus possible. Et je me délecte d'être ainsi. J'en redemande. Je ne réfléchis plus. Je suis tout à l'homme qui me domine de sa queue et de son regard qui maintenant est devenu lubrique et pervers. Ali me dévisage comme il pourrait dévisager un simple objet de plaisir. Je lis dans ses tyeux toute son excitation, toute son envie de me rabaisser en fourrant sa bite au fond de la bouche d'un hétéro au petit cul blanc bien sous tout rapport. " Que tu es bonne ma salope ! Que tu es bonne ! Tu aimes te faire bourrer la bouche ! Tu es vraiment à moi maintenant et pendant ces 3 jours, je vais te dresser pour que tu sois à mes ordres. Tu réaliseras tous mes désirs. Tiens salope, prends encore ma queue !!! " Ses intonations sont perverses, lubriques et elles m'avilissent. Mais j'aime que mon mâle me parle ainsi et je souhaite qu'il continue à me traiter ainsi " Tu sais ce qui m'excite le plus en te prenant comme une chienne ?! C'est de savoir que dans quelques minutes tu seras en formation avec tous tes collègues et qu'ils ne se doutent pas que tu es une bonne femelle à mes ordres, que tu viens de te faire défoncer la bouche et que tu en redemandes en plus. Tu es vraiment trop bonne et tu m'as manqué. " Ali se retire de ma bouche en me tenant toujours la tête afin d'admirer son oeuvre. Je garde la bouche ouverte, pleine de bave. Il reste là a sourire, contemplant sa nouvelle femelle qui va lui donner du plaisir durant 3 jours. Ali baisse son pantalon et se met sur le lit à plat ventre, les jambes hors du lit afin de me présenter son cul. J'écarte ses fesses et découvre sa rondelle aux poils déjà humides de l'exercice précédent. Une odeur de mâle se dégage de son cul et me monte immédiatement à la tête. Ali m'a effectivement réservé une bonne surprise en me donnant son cul à nettoyer. " Aller ma pute, nettoie-moi le cul. Tu viens certainement de comprendre que je ne me le suis pas lavé depuis 3 jours juste pour toi. Tu vas passer ta langue sur mes fesses pour nettoyer la sueur et les odeurs avant de me lécher le trou. Et dépêche-toi si tu ne veux pas être en retard à ta formation. " Cette dernière phrase me réveille et je commence par lécher les fesses de mon mâle. Effectivement, j'ai le goût de la sueur masculine de plusieurs jours bien mélangées dans les poils. Je lèche aussi vite que possible mais avec insistance pour bien nettoyer mon homme. Je ramasse des poils plein a bouche en même temps que du sel de la sueur. Mais rester uniquement à le nettoyer, tout à coup, ne me suffit plus. J'ai besoin de me frotter à son cul, de sentir sur mon visage ma salive et son intimité, avoir un peu plus l'impression que je lui appartiens en le nettoyant dans ses recoins les plus intimes. Je fourrage alors la raie, évitant soigneusement son anus, cerise sur le gâteau, récompense suprême. La peau de ses fesses et ses poils se collent à mon visage et j'ai l'odeur d'Ali qui m'inonde. Ali est sur ma peau et je peux le sentir totalement. " Aller ma pute, lave-moi le cul maintenant et fourre bien ta langue pour bien me décrasser. Tu es vraiment bonne. J'ai vraiment de la chance d'être tombé sur une salope comme toi. Tu m'excite vraiment et je vais m'occuper de toi comme il le faut. Tu seras une vraie femelle docile après 3 jours. Lave-moi ma pute, lave-moi. " Jee m'exécute et plonge, la langue avide de ce trou chaud et odorant. Je passe un grand coup de langue, lentement en remontant du scrotum jusque dans le haut de la raie des fesses. Et je m'attarde avec insistance sur l'anus que je lèche en enfonçant un peu plus mon visage afin de vraiment tout prendre sur mon premier passage. Je savoure le moment où j'arrive au bord de ce trou qui appartient à mon mâle. Je sens la peau plissée sous ma langue. Je presse immédiatement un peu plus et lape comme une bonne bête bien dressé l'intimité de mon dominant. Je sens immédiatement que mon nettayage est efficace avec un goût âcre qui s'insinue dans ma bouche. Dès que je la referme après avoir englouti mon oeuvre de nettoyage, le goût de mâle d'Ali se répand dans ma bouche et dans ma gorge avec insistance. J'avale la mixture tout en regardant le trou qui commence à luire de mon mâle qui reste sans bouger. Moi, je suis aux anges. J'ai vraiment trouvé la salope que je cherchais. Continue, ne t'arrête pas. Nettoie tout le cul. " Je replonge aussitôt dans l'antre chaude et humide des fesses d'Ali pour m'affairer sur son anus que je lèche maintenant avec insistance, pressé de le nettoyer et de sentir son goût dans ma bouche. Le cou commence à me faire mal et je dois ralentir le rythme. Je me rends compte que je perds la tête et que je me suis mis à lécher Ali de manière totalement folle sans m'en apercevoir. Je me recule afin de contempler mon oeuvre et j'entends Ali qui gémit de plaisir. Je reviens à la source du plaisir de mon homme et sens une rondelle détendu, humide, chaude et moelleuse. Je prends alors les fesses de mon mâle et les écarte afin de dilater un peu plus son anus qui s'ouvre un petit peu. Il est luisant et rose. Cette couleur contraste avec le teint mat de sa peau et je trouve cela très beau et très excitant. Mais je ne m'attarde pas sur cette contemplation et me remets à l'ouvrage, plantant ma langue dans ce trou accueillant. Je colle mon nez dans l'humidité de sa raie et enfonce de toutes mes forces ma langue dans l'anus. Je commence à fourrager et à faire des vas et viens afin de bien humidifier tout le cul d'Ali. Il s'ouvre petit à petit. Je sens que mon mâle force afin d'ouvrir un peu plus son intimité pour que je le nettoie en profondeur. Je plonge ma langue au plus profond et lui nettoie le trou de manière totalement incontrôlée. Je suis en transe et je lui mange littéralement le fion. Je fourre avec fougue ma langue afin de le nettoyer. Le goût amer est cette fois-ci encore plus présent dans ma bouche, signe que je le nettoie parfaitement bien. Je repars pour mieux revenir et passer une langue insistante avec délectation. Ali gémit et m'encourage. Finalement, il prends ses fesses avec les mains et les écarte de toutes ses force tout en dilatant son anus afin que je progresse un peu plus dans ma besogne. " Vas-y salope, vas-y. Lèche moi le fion. C'est bon. Oh, que c'est bon !! " Je m'active ainsi quelques minutes jusqu'a ce que le goût amer s'atténue, signe que le nettoyage est bien effectuée. Je me calme un peu, le cou est endolori, mon visage totalement mouillé de ma salive, de la sueur d'Ali, de son odeur du cul et très certainement de poils. Le souffle est court et jee me recule un peu, dans un état second, pour admirer mon,oeuvre. Ali reste sur le lit. Il ne bouge plus, ses fesses écartées par ses mains. Après quelques secondes, il revient à la vie. Je ne bouge pas, je le regarde, déjà soumis à cet homme, attendant, docile le prochain ordre qu'il me donnera pour satisfaire sa jouissance. Je suis à genoux lorsque Ali s'assoie sur le lit et me domine d'un regard reposé, satisfait qui tout à coup à ma vue change et devient un peu lubrique. Il me regarde avec un sourire, sa queue à demi débandée entre ses jambes. " Tu vas me terminer ma pute. Tu vas boire ma semence de mâle et je t'interdit d'en tomber une goûte. De toute façon, si tu le fait, tu tâchera ton costume d'hétéro puceau. Cela fera encore mieux entre tes collègues. Un petite pute qui se découvre. Aller, prends ma queue, suce-moi et vide-moi les couilles comme toute femelle le fait avec son homme. " En disant cela, Ali me prend par les cheveux et m'amène doucement mais fermement jusqu'à sa queue que je prend en bouche. Ali m'imprime un rythme immédiatement et je retrouve avec plaisir le gland qui grossit en moi, sa chaleur et le goût de sperme et d'urine mélangé, résultat de mon travail précédent. Mon mâle force sur ma tête pour que je m'empale sur son pieu qui m'envahit la bouche. Sa queue se raidit et le gland devient énorme. Je recommence à baver comme un animal en rut pendant qu'Ali me serre un peu plus mes cheveu afin d'assurer sa prise et me commander un rythme de plus en plus rapide. Je ne suis plus que sa bouche à pine, un objet sexuel du mâle dominant. Je me complais dans ce rôle de soumise et apprécie de me trouver ainsi. " Je viens ma salope. Tu vas prendre ma semence. Je viens. Bois tout salope, bois tout. " Je me prépare mentalement et j'ouvre la bouche un peu plus pour accueillir la semence. Ma tête n'est plus qu'allers et retours au rythme soutenu d'Ali qui jouis pour lui. Sa queue est raide et c'est maintenant un vrai pilon que je dois affronter. Je me laisse faire, les yeux fermer pour mieux savourer le plaisir d'être à un homme et de savoir que ma bouche le fait jouir, attendant avec impatience la récompense de mon labeur. Ali commence à gémir plus fort et plus longuement et au moment où il lance un cri, je reçois en pleine bouche une giclée qui m'inonde. Un liquide chaud qui envahi mon palais et se loge dans ma gorge. Le goût est un peu acide mais d'une chaleur qui se répend en moi tout comme ce goût que jee ne connaissais que de mon sperme. Pour la première fois, je prends en bouche le sperme d'un autre homme. Pour la première fois, je goûte l'intimité d'un mâle. Je prend mon plaisir et le savoure. Mais pas le temps de garder cette première giclée en moi. Je tente comme je peux d'avaler et j'en suis à peine à la moitié qu'une autre vague de sperme vient prendre possession de ma bouche. Je ne réfléchis plus et j'avale par crainte d'en mettre sur mon costume. Ali me tient la tête enfoncée sur son pieu et me plante par saccade maintenant, à chacune de ses giclées qui continuent d'arriver et de m'inonder. Même si le flot se tarit, il me semble que c'est interminable et que je vais me remplir le ventre de cette semence. Je suis totalement possédé par cette queue. Pour ma première giclée, je trouve cela extrêmement plaisant de sentir le goût d'un sperme qui ne m'appartient pas et qui vient d'un mâle qui jouit de moi et qui m'oblige à boire sa semence. Ali relâche son étreinte et je peux me dégager de cette queue que j'admire. Devant mes yeux, j'ai un sceptre humide de ma salive. Mon mâle respire de moins en moins fort et je reste à ses pieds attendant sa réaction qui ne se fait pas attendre. Il se relève, se met debout, prend sa queue à pleine main et se dirige vers ma bouche que j'ouvre immédiatement. " Finis-moi, je suis certain qu'il en reste. Je veux qu'à chaque fois que j'ai giclé, tu prennes ce qui reste et que tu me nettoie à fond la queue avant que je parte. J'ai horreur de sentir qu'elle coule dans mon slip. Fais ton travail un peu mieux maintenant que tu es mas salope de passage. " Tout en me disant cela, Ali presse sa queue encore raie et remonte jusqu'à son gland d'où s'écoule quelques goûtes que je prends sur ma langue avant de les avaler. Dès qu'il a terminé et qu'il relache son membre, je gobe ce dernier et aspire tout ce qu'il reste de sa semence. Je passe ensuite ma langue autour du gland afin de m'assurer que tout est propre et je relâche l'objet de mes désirs. Sans rien dire, Ali remonte son shorty, remet sa bite dedans, remonte et reboutonne son pantalon après y avoir mis sa chemise, se réajuste pour être maintenant comme je l'ai retrouvé. Il ne me regarde pas, je suis encore à ses pieds. Je ne comprends pas, j'ai l'impression que tout à coup, je n'existe plus pour lui. Et sans mot dire, Ali s'en va jusqu'à la porte. Au moment de l'ouvrir, sans se retourner, il me dit : Il est temps de rejoindre ma formation, je suis juste dans les temps. Vivement ce soir... AlsaRêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |