HistoireJe m'appelle Antoine, J'ai 32ans, je viens de larguer mon mec avec qui je vivais depuis 3ans, pour me vider un peu la tête j'ai décidé d'aller passer quelques jours chez une amie à la campagne. Cette amie est mariée à François pour qui j'ai toujours eu une attirance. Ce mec est de taille moyenne, imberbe et musclé sec par son travail physique dans une entreprise agricole. Cette excitation envers lui venait du jour où j'avais pu lui mater la queue à travers son slip, un jour où j'avais été le chercher à son travail et qu'il s'était changé devant moi. Sa bite pendait sur le côté gauche et je pouvais voir la forme de son gland derrière le tissu. Le soir, dans ma chambre, je n'avais pas pu m'empêcher de me branler en repensant à l'image de François dans le vestiaire. Je me demandai comment était le goût de son jus. Lui ne semblait faire aucun cas de mon homosexualité qu'il connaissait et moi je m'efforçais de ne pas trop lui regarder l'entre jambe où l'on pouvait voir la forme de ses couilles qui étaient toujours mises en valeur par des jeans portés serrés. Ce qui m'excite le plus chez un mec hétéro c'est de lui pomper la bite pour le faire gicler dans ma bouche et avaler sa semence chaude. Durant ma vie sexuelle, j'avais pu récolter le jus de quelques hétéros trouvé sur internet ou sur des lieux de drague pour qui ma bouche était bien plus accueillante et chaude que celle de leurs femmes qui en général, ne voulait plus les sucer. Pour revenir à mon histoire, j'étais ravi de retrouver mon amie qui était enceinte depuis plus de 6 mois, ce qui la rendait très joyeuse. Comme tout PD bien chaud et en manque de bite, mon cerveau imaginait des scénarios ou François délaissé par sa femme enceinte avait la queue bien raide et aurai baisé n'importe quel trou pour pouvoir se vider les couilles. Le soir venu, je dormais dans une chambre éloignée de la leur et je m'endormis rapidement. Durant la nuit, je fus réveillé par un bruit dans le couloir, comme mes rêves était encore tout frais de la vision du beau François et que j'avais la bite au garde à vous mon caleçon, je me mis vite à imaginer que c'était François qui se levait pour aller au toilette. Je profitais de l'occasion pour me lever aussi et me diriger vers les toilettes. François ne m'avait pas entendu arriver et il était en train de pisser debout. Je voyais juste le jet d'urine entre ses jambes tomber dans la cuvette des chiottes. Il était torse nu et n'avait qu'un caleçon large. Cela me redonna une trique d'enfer. Il termina de pisser et se retourna. - Tient ! T'as envie de pisser aussi ? Je fis semblant de pisser et je me dirigeai vers ma chambre, lorsque j'aperçus de la lumière dans le séjour. C'était François qui s'était installé dans le canapé, les jambes écartées et fumait une cigarette. - Tu viens parler un peu avec moi me dit-il ! Je m'assis à côté de lui un peu fébrile - C'est moi qui te donne la gaule comme ça ? Dans ma tête, les images étaient confuses, mon amie dans la chambre, son mec me demandant de le soulager, mais tout cela m'excité grave. Alors sans un mot j'ai commencé à avancer ma main vers ce sexe que j'ai tant désiré voir en vrai. C'était super excitant, il se laissa faire. Sa queue était en semi-érection, je le branlai doucement à travers le caleçon qui devin de plus en plus mouillé a cause du reste d'urine et de sa mouille. Je mis mon nez dessus et je pus sentir se mélange d'urine et d'odeurs de queue de mâle pas lavé qui m'excite grave et me donne une gaule d'enfer. Je sortis alors ma bite pour me branler. Je n'avais plus qu'une envie, s'était de lui pomper la bite comme un dieu et le faire gicler dans ma bouche pour avaler son jus de mec. Je passai sa queue à travers l'ouverture de son caleçon et je pus la voir pour la première fois, une queue régulière environ 18cm courbée vers le bas et un gland à moitié décalotté. J'ai de nouveau sniffé ces odeurs qui me rendaient fou. J'ai ouvert grand la bouche pour l'enfourner bien au fond et lui administrer une belle pipe. Il était au ange et se laissai faire sans rien dire. C'est moi qui dirigeai les opérations et je lui dis : " quand tu as envie de gicler, ne me préviens pas, inonde moi la bouche " quelques minutes après je reçus ma dose de jus bien au fond de ma gorge et j'avalai son sperme abondant sans rien dire ! Ma giclé suivit sur le parquet. Nous étions vidés et chacun rejoignit sa chambre. J'espère que j'aurai l'occasion de remettre ça avec lui. En tout cas, j'adore vider les couilles des mecs hétéros. Antoinetristan_075@hotmail.com Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |