Cyrillo

Page précédente

Épisode précédent

HOMME DE MENAGE 2

C'était un vendredi soir lorsque je décide de retourner voir mon ami Herve.
Je rentre avec les clefs qu'il m'avait prêtées pour faire son ménage, arrivé dans son salon, je retrouve sa femme qui lisait un livre à potins.
- Salut
- Ah ! Salut comment vas tu ?
- Bien et toi, tu es rentre de tes vacances ?
- Oui, il y a déjà une semaine, c'était génial, soleil, chaleur et surtout je n'étais pas avec mon con de mari.
Je me rends compte que les choses ne se sont pas arrangées.
- Tu ne vas pas me dire qu'il ne t'a pas manque un peu ?
- Alors là pas du tout, lorsque je suis rentrée, il était avec ses potes devant un match de rugby, tous les 3 affales sur le canapé, avec une bière à la main et des chips plein le sol.
- Il a du s'ennuyer et donc il a appelé ses potes !
- C'est ce que j'ai cru, mais lorsque je suis rentré dans la maison, je lui ai souri et j'ai voulu l'embrasser, il m'a regardé et a juste dit " Ah tu rentres déjà ? "
- Ah mince ! Dans mon fort intérieur, je rigolai.
- Il paraît que tu es venu lui donner un coup de main ?
- Oui oui !
- Pour faire quoi déjà ?
Sa question me parut un peu bizarre.

- Il paraît que tu l'as aidé à la maison mais je n'ai pas vu de changement.
- J'étais venu faire un peu de ménage la première semaine.
- Et tu as lâché l'affaire, je te comprends, moi j'en ai eu marre lorsque j'ai vu l'état de la baraque.
- Non mais j'avais des autres choses à faire, alors je ne suis pas revenu, et il est ou là ?
- Il est parti a la pèche dans une cabane qu'un pote lui a prêté.
- Et tu n'es pas allé avec lui ?
- Sans façon, pour ne rien faire, le voir comme un con devant sa canne a pêche, avec une clope au bec, plutôt crever.
- Et elle est où cette cabane ?
- Pourquoi tu veux aussi pêcher ?
- Non mais je vais passer lui dire bonjour.
- J'en sais rien, mais il a son portable, peut être qu'a toi il va répondre.
Apres un café ou elle passa son temps à déblatérer sur lui... je partis.

Il était 20 heures.
- Allo !
- Salut c'est Tony !
- Ahh salut comment tu vas, alors tu m'as lâché la dernière fois.
- Oui je sais, excuses moi mais j'avais des trucs à faire, tu es où là ?
- A la pêche.
- Et tu pêches où ?
- Près d'un étang.
- Non mais où exactement que je vienne te voir.
- Ahhh...
Il m'indiqua la route et au bout d'une heure environ je débarquai dans un bois privatise et je vis au loin une petite lumière brillai.
Toc Toc
- Rentres nouinouille, ça caille dehors.
Il était là assis sur un fauteuil près d'une cheminée, avec une clope presque terminée.
- Coucou
- Tu vas bien ?
Il s'approcha d'un pas lourd. Il était encore plus beau que la dernière fois. Mal rasé, mal coiffé, un pantalon vert proche du corps marquant des cuisses puissantes, un pull noir en laine moulant son torse et délimitant à merveille ses pectoraux, des grosses chaussures noires. Ses yeux brillaient par la fumée de la cheminée, ce qui ravivait le vert de ses yeux.
L'hésitation dans notre poignet de main, le fit rire et il m'entoura de ses bras muscle et me mit une petite tape dans le dos.
- Tu sais tu vas te les cailler habille comme tu es !
J'avais juste un jean bleu clair moulant mes fesses à merveille, un petit pull marron en laine fine sans rien de dessous.
- Je sais, j'ai déjà froid.
- Attends j'ai peut être un autre pull ou une veste !
Il se baissa vers son sac et me présenta son cul.
Ce cul, super beau, bombe, a tomber par terre.
Il se retourna et sorti un pull super grand, vert chasseur, horrible.
- Tiens, mets ça !
- Merci, en plus c'est trop beau !
Il passa ses bras dans le bas du pull et me dit :
- Viens là !
Il passa le pull sur ma tête, je glissai mes bras.
Il baissa le pull jusqu'en bas, passant ses mains sur mes hanches.
- Fais voir un peu l'allure que tu as avec ce pull ?
Alors avec une main sur la hanche, je pose comme pour un photographe.
- Retournes toi ?
Sans réfléchir de suite, je me retourne et lui fais voir de dos.
- T'es canon comme ça !
- J'imagine oui !
- En tout cas le jean il te va bien !
- Ah, vas-y mattes mon cul !
- Chacun son tour !
Il me dit cette phrase en me faisant un clin d'oeil.
On se met à rire fort.

- Tu veux boire quelque chose, j'ai des bières, évidemment, du coca, de l'eau, en tout cas je n'ai rien à t'offrir à manger, je pensai pêcher un poisson mais bon je ne suis pas très doué ?
- Non mais figures toi mon p'tit pêcheur du dimanche, j'ai pris du café chaud dans un thermos et des trucs à manger !
- Alors là tu es trop fort, je crève la dalle t'imagines même pas.
- Je m'en doutai que tu partirais sans rien, assisté !
- C'est trop trop bien !
Tout en disant cela, il me met une main dans le dos pour accompagner mon pas pour me diriger vers la table, arriver a la table, il retire sa main vers le bas et frôle mes fesses.
- Alors le thermos, tu as des tasses ?
- Euh, ouais !
- Des pates à la carbonara, un camembert et des yaourts.
- Trop trop bien, un festin de roi, tu es génial, en fait c'est toi que j'aurai du épouser il y a quelques années.
- J'étais trop jeune, tu t'es marié quand ?
- Alors j'ai 32 ans, j'ai arrêté la légion à 23 ans, donc ça fait 8 ans.
- J'avais 10 ans, super.
- T'es con.
- En plus tu sais j'ai toujours été un gars !
- Je sais bien ça, n'empêche, tu es super cool, tu penses a moi pour des petits trucs qui font super plaisir, tu sais que j'aime les pates...
- Et le café !
- Ouais.
- Mais bon, on n'aurait jamais niqué.
- Alors là, si tu crois que je t'aurai épousé sans te baiser après.
Nous pouffons de rires.
En plaisantant, il me pelotte une fesse et me dit :
- Ce petit cul qui aurait été mon petit cul, tous les soirs dans mon petit lit, hummmmm.
A pleine main, je lui mis une main au paquet et dit :
- Et cette queue qui aurai ete mienne.
Lorsque ma main était sur sa queue, je cru rêver, j'avais l'impression qu'il avait mis une andouillette directement dans le caleçon. Une masse de chair, un paquet de vrai mec.

- Bon ce n'est pas tout ça, mais j'ai trop faim, de parler de cul m'a ouvert l'appétit.
- Moi d'avoir senti m'ai ouvert l'appetit.
- Arrêtes crevette ! Viens on mange.
On s'installe a la table, il me servi un coca et moi je lui donnai des pates.
- Encore un peu. Merci !
- Tu es vraiment un glouton, tu manges trop.
- C'est juste parce que c'est trop bon et que ça fait plus de 12 heures que j'ai rien mangé.
Le repas termine, je lui demande de me faire visiter cette cabane.
- Tu sais on va vite faire le tour. Alors là c'est la pièce principale, là c'est une petite salle de bain avec lavabo et toilette, et là...
Il descendit une échelle du plafond.
- Grimpes, c'est la chambre.
Je monte l'echelle doucement en me cambrant un peu pour faire ressortir mon petit cul car je sais qu'il me suit de près.
- Il doit y avoir un bouton sur le sol pour allumer la lumière.
Arrive en haut je me baisse en avant pour essayer de trouver l'interrupteur.
Il est derrière moi.
- Je ne trouve pas !
- Attends.
Il monte un peu plus si bien qu'il se retrouve juste derriere moi, c'est alors qu'il me tient les hanches alors que je suis toujours pencher en avant et se baisse également pour trouver le bouton. Je sens sa queue sur mes fesses.
- Tu trouves ?
- Non.
- Attends.
J'écarte un peu mes fesses pour qu'il ait plus de place pour étendre ses bras et trouver cette lumière. Il me tient toujours par une hanche et tâtonne le sol.
- Je ne trouve pas cette lumière de merde !
- Tu veux que je bouge un peu plus.
- Attends.
Il déplaça sa main sur ma fesse gauche pour m'écarter un peu plus les fesses en passant sa main a l'intérieur de ma cuisse, mais le jean qui est quelque peu serré empêche une grande ouverture, alors il prit les passes ceinture et remonta mon jean au maximum, si bien que mon jean rentra dans ma raie. Et il m'écarta au maximum les jambes.
La masse de son torse et sa main sur ma hanche gauche me fit me cambrai le dos et il passa son bras droit au dessus de ma tête et trouva enfin ce bouton.
Lorsque la lumière s'illumina, je découvris une chambre avec un matelas au raz de sol avec sur plein de couvertures, d'oreillers.
- C'est chouette !
- Quelle aventure pour cette putain de lumière, regardes nous un peu !
- C'est vrai que c'est position fait un peu levrette et si tes potes te surprenaient ainsi ils rigoleraient bien.
- C'est clair, ça fait un peu levrette !
Il passa sa main sur mes fesses avec insistance.
- Tu as quand même un joli petit cul !
- Merci, je suis content qu'il te plaise.
- Ouais, c'est très excitant tout ça.
- Ah ouais ?
- Ouais.
Je le fixai du regard, lui aussi, je passai ma langue sur ma lèvre supérieure. Je me retournai si bien que je me retrouvai sur le dos avec lui au dessus de moi.
- Je rêve de t'embrasse là crevette !
- Te gènes pas.
Il se baissa complètement sur moi. Moi les jambes écartées avec une main sur ses fesses musclées, lui au creux de mes jambes, passant une main dans mes cheveux pour me tenir la tête et l'autre passant sur ma fesse.
Il me déposa un baiser endiablé.

A SUIVRE

Dawson

juwall@hotmail.fr

Suite de l'histoire

Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
Pour plus d'info : www.sida-info-service.org

www.cyrillo.biz site gay gratuit. Textes et histoires gay.