Cyrillo

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Sexe à l'hopital

J'avais environ 25 ans, lorsque à la suite d'une crise d'appendicite, je fus hospitalisé dans une clinique de ma ville. En entrant dans ma chambre semi-privée, je fus accueillis par un jeune mec de 26 ans, blond, moustachu, au sourire éclatant et une jambe dans une attelle. "Jean-Marc se présenta t'il".

Avant l'opération, l'infirmier vint me raser et fit des commentaires sur mon bronzage. Nous étions en août et j'avais fait de l'intégral tout l'été. Mon voisin rit beaucoup de ces commentaires et me souhaita mon courage alors que l'on m'emmena.

De retour dans la chambre, nous passâmes les trois premiers jours à nous raconter nos vies (il était avec une fille) et pour ma part ouvertement homo et en couple. Nous passions nos après-midi à jouer au scrabble.

Au fur et à mesure que la semaine se passait, prétextant la chaleur, nous avions viré slip et chaussettes, ne gardant sur nous que la chemise d'hopital, le plus souvent détachée.

Chaque fois que Jean-Marc se déplaçait, sa chemise bougeait et j'avais un aperçu impeccable sur une magnifique paire de fesses poilues ou un torse très viril, voire parfois sa queue.

Autant dire que je commencai vraiment à bouillir de l'intérieur, mais je n'osais rien tenter pensant qu'il était 100% hétéro.

L'avant dernier soir, après la tournée des infirmières, alors que nous allions attaquer une xème partie de scrabble, tout à trac, il me dit :

- Ecoute, cela fait des mois que j'ai envie d'essayer avec un mec....
- Pourquoi tu me dis ça ?
- Parce que tu m'excites et que j'ai envie de toi
- Toi aussi tu m'excites et cela fait une semaine que je fantasme sur toi
- Parce que tu crois que je me ballade presque à poil pourquoi ?

Dans le feu de la discussion, je me lève et pousse mon lit afin qu'il soit prêt du sien.

Il enlève sa chemise et alors je le vois enfin entièrement nu. Ce qu'il est beau
environ 1m80, blond, très poilu, très musclé, un ventre plat et une splendide verge encore au repos.

Pour ma part, j'enlève aussi ma chemise, je suis un peu plus petit que lui, noireaud, très poilu, pas trop musclé.

Je passe ma main dans ses cheveux et approche ma bouche de la sienne. Nous nous roulons une pelle d'enfer. Puis je me recule et plonge mon regard dans ses yeux bleus. Là mon coeur s'emballe, ce mec me rend réellement dingue.

Lentement, des mains, puis de la langue, j'explore son corps. Je suce lentement un de ses tétons et descend le long de ses abdos jusqu'à sa queue qui entretemps s'est redressée fièrement.

Je suce cette belle verge puis passe ma langue sur son scrotum, en lui mordillant les testicules et repars aussi sec sur sa queue.

Après de longues minutes, il m'arrête et me dit,

- c'est à mon tour maintenant de te goûter et de te découvrir.

Il se met alors à me caresser, me lécher, me sucer. En s'interrompant, il me demande, si, pour un novice, il s'en sort bien.

- Tu es divin, tu fais mieux que t'en sortir bien, tu rends complétement dingue

Après quelques minutes, nous entamons alors un 69 endiablé.

A la fin, n'en pouvant plus, nous jouissons l'un sur l'autre.

Nous séparons alors nos lits et nous souhaitons bonne nuit avec une pelle d'enfer.

Le lendemain soir, nous remettons le couvert et c'est encore plus chaud...

Nous avons ensuite quitté la clinique et je suis parti en vacances à Mykonos avec mon copain d'alors (qui savait tout).

J'ai revu quelques fois Jean-Marc, uniquement en ami et j'en ai rêvé des mois entiers...

Etant timide, je n'ai jamais osé lui avouer que j'étais amoureux de lui et les années ont passé. Mais je garde un souvenir lumineux de nos deux soirs d'amour et de notre semaine de partage.

JeffPoilu

Hpoilu@hotmail.com

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