Il avait 18 ans.Salut à tous, mon prénom est Sylvain et j'ai 30 ans. Le premier week-end de septembre, vacances terminées, je rentrais doucement de l'Ardèche. N'étant pas pressé, je choisis de faire la route en deux jours en empruntant les nationales. Le dimanche matin, huit heures je roulais sur la RN 6 déserte. J'avais mis un CD de jazz et tranquillement, vitre ouverte je roulais. A la sortie de Macon, je vis devant moi une auto stoppeur. A cette heure matinale, c'était surprenant. En m'avançant je détaillais un petit mec d'un mètre soixante dix maxi, très mince, les cheveux bruns en bataille et un minois de gosse. Il était vêtu d'un panta-court blanc d'un marcel jaune par dessous une veste de survêtement blanche aussi. Le temps était doux j'étais moi même en short et tee shirt .Nous entreprîmes la discutions. Il se prénommait Nicolas et rentrait sur saint Remy de Chevreuse ou il résidait Nous avons bien rigolé de l'aventure. Chance pour lui, je me rendais à Versailles il ne pouvait pas mieux tomber en stop. Au bout de quelques kilomètres, je le vis dodeliner de la tête le sommeil lui tendait les bras. Le temps de régler son siège il était déjà dans les bras de Morphée. Tout en roulant je le détaillais. Ses mollets n'avaient presque pas de poils, son visage fin et poupin n'avait aucune barbe et je voyais à travers son marcel deux petits tétons hauts placés. Craquant le gamin. Puis le silence s'installa un grand moment. Tout à coup je le vis reluquer dans le vide poche de la console centrale. " C'est des capotes que vous avez la ? " je venais de me rendre compte que j'avais laisser traîner mes capotes et mes doses de gel que j'avais récupéré au sauna. Naturellement, il ne pouvait avoir aucun doute sur ma sexualité, vu le sigle du SNEG et la pub pour un site homo imprimé sur les emballages " ben oui...mais je suis désolé j'ai laissé ma réserve dans le vide poche je ne savais pas qu'un auto stoppeur se trouverait à huit heure du mat sur ma route ! ". Le silence se réinstallait entre nous rompu bientôt par Nicolas. " Vous êtes homo ? " " ben oui, je vivais avec mon ami depuis 8 ans et nous nous sommes séparé en juin...dur dur pour moi mais c'est comme tout les couples, la vie doit continuer. " Au bout de quelques instants, Nicolas revenait à la charge. Je dévisageais cette fois mon petit mec qui me faisait sa proposition comme une supplique. En baissant le regard, je vis son survêtement tendu à la hauteur du sexe. Le silence se réinstallait de nouveau. Puis Nicolas plaqua son dos sur son siège, décolla ses fesses du fauteuil et tout d'un coup baissa son pantalon et son slip blanc jusqu'au genoux. J'avais devant les yeux une petite queue bien bandée, de 15/16 cm très fine avec une petite couronne de poils bruns un régal. Nicolas avait remonté son marcel pour que je puisse voir son ventre plat et ses tétons le tout parfaitement glabre. Tout en me donnants sa réponse il avançait sa main sur ma queue bandée et commençait à me frotter. Je bifurquais sur une route transversale et m'arrêtais à l'orée d'un petit bois ;A perte de vue c'était des champs et des prairie sans aucune construction visible. Dés que le moteur fut arrêté, Nicolas posait sa tête sur ma bite à travers mon short et entrepris de faire glisser la fermeture éclaire. Comme je ne portais jamais de sous vêtement mon chibre de 17 cm se dressa comme une sentinelle. Sans attendre Nicolas plaqua sa bouche sur mon gland et je sentais la chaleur de sa langue aspirer les première goutte de mon sperme. Je prenais la tête de Nicolas pour lui faire débuter une fellation qu'il semblait désirer. Alors, tendrement, je lubrifiai cette petite rondelle rose imberbe. Etait ce naturellement imberbe ou étais ce rasé ? " Je suis heureux me dit il, c'est plus facile que je le pensais. Quel pied de sentir votre queue dans mes boyaux. " Après nous être nettoyés avec des Kleenex, nous avons repris la route. Et tout de même pendant les quelques heures du voyage, Nicolas repris l'initiative à trois reprises de m'exciter la bitte, de me sucer et deux fois de se faire à nouveau enculer pour le plus grand plaisir réciproque ; Vers 16h nous sommes arrivé à Saint Remy ou j'ai déposé mon petit ange ; Nous avons échangé nos numéros de téléphone. Il m'a appelé le lendemain matin pour me remercier et nous fixer rendez vous au vendredi soir. Cette fois c'est dans mon lit que nous avons poursuivi notre initiation en prélude par de longs baisers tendres. SylvainRêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |