A Paris, un imprévu, et pourtant pas le hasard...Après une journée dense et fatigante et avant de rentrer à mon hôtel, j'avais très envie de voir du monde et de prendre du recul comme trouver une autre ambiance... voire peut être rencontrer pour parler d'autre chose. C'est donc vers une brasserie parisienne que je me dirige et m'installe à une table pour commander un plat et surtout boire un bon verre de vin. Je suis seul à cette table et deux table plus loin un couple qui semble finir son repas. Il s'agit d'un jeune homme de moins de 30 ans à première vue et d'une dame pouvant être à la fois sa propre mère ou de sa famille. C'est vrai que le visage de ce jeune homme m'avait fait tilt et très vite je l'avais dévisagé. Ce qui fait que de temps en temps nos regards se croisaient. J'ai très vite compris qu'à ce moment de la soirée il était à cours de discussion avec la dame assise devant lui et qu'il avait sans doute lui aussi envie de dialoguer avec une autre personne. J'imaginais à ce moment là que peut être c'était quelqu'un de sa famille qui était venu le voir à Paris alors qu'il y faisait des études ou qu'il y travaillait depuis peu. C'était un célibataire et qu'il devait bien vivre tout seul dans une chambre proche de ce restaurant. Mais comment faire pour le contacter, l'inviter à revenir pour une discussion qu'il semblait vouloir entamer. J'avais d'ailleurs pour principe que quand quelqu'un me paraissait sympathique et intéressant, je devais accepter des échanges, des conversations sans envisager autre chose à la minute. Mais quelque chose me disait que je ne devais pas en rester là et que je devais en faire le premier pas... je ne pouvais plus me dérober et le laisser partir. Nous échangeâmes un sourire qui en disait long ; il semblait ne pouvoir faire autrement que de raccompagner cette femme d'un certain age et l'exprimait dans son regard. Je pris donc un bout de papier de mon bloc-notes, sur lequel j'inscrivis le nom du restaurant, mon prénom et le numéro de portable... que je le posais délicatement à l'angle de ma table tout en m'assurant que le jeune homme comprenne qu'il était pour lui. Alors que je poursuivais mon repas dans ce restaurant, je vis le jeune homme se lever et discrètement se glisser entre ma table et la table voisine pour saisir le bout de papier. A ce moment je pus apprécier et sa taille et son savoir faire. Je devais maintenant attendre son appel... et je me donnais quelques minutes. En effet moins de dix minutes plus tard je recevais un SMS avec les mentions suivantes : " vs rappll dans 15mn. Tom. " Et 15 mn plus tard j'avais l'appel de Tom qui en fait se dénommait Thomas. Il me remerciait timidement d'avoir trouvé ce subterfuge. Et me proposait de le rencontrer soit au bar du restaurant, ou dans un autre endroit de mon choix. Je luis fis part de l'adresse de mon hôtel et que je l'attendais à l'entrée. C'est donc là, au pied de l'hôtel, que je retrouvais Thomas. Et pour ne pas rester dans le froid je l'invitais au bar de l'hôtel où nous serions plus tranquille pour faire connaissance. A ce moment précis je savais qu'il avait plus envie de parler de lui et avec quelqu'un qu'autre chose. Thomas me raconta qu'il venait de province et qu'il venait d'aménager dans un appartement que sa mère s'occupait de meubler alors qu'il travaillait dans une banque. Il me parlait de ses difficultés à rencontrer des gens intéressants et acceptait cette rencontre pour se prouver à lui-même que les rencontres n'étaient pas impossibles. D'ailleurs il me raconta ses rencontres sans suite qui l'avaient mis sur ses gardes. Comme je voyais qu'il cherchait le contact physique et pour ne pas attirer l'attention des autres clients, je lui proposais de me rejoindre discrètement dans ma chambre d'hôtel où nous pourrions être plus tranquilles. Il accepta et se leva comme s'il allait me quitter. Je restais pour régler l'addition et m'assurer que personne ne pouvait me soupçonner de quelque autre intention. Arrivé à la porte de ma chambre, Thomas était là comme convenu. J'ouvris le fis entrer et l'invitais à s'asseoir. On poursuivit notre discussion qui se faisait plus précise. Mais comme je ne voulais pas que les choses se précipitent je le laissais faire tout en acquiesçant de gestes explicites. Et en très peu de temps Thomas se dévoilait davantage et ce type d'ami me convenait tout à fait. Il semblait avoir confiance en moi et savait très certainement se contrôler et ne pas laisser créer entre nous deux de faux espoirs ou une rencontre sans lendemain... pour le simple plaisir de... Cela me convenait tout à fait et très vite on se retrouva allongés sur le lit, l'un contre l'autre à s'embrasser : chaque mouvement, chaque geste tendre nous rapprochaient l'un de l'autre. J'ai toujours aimé embrasser longuement avec chaleur et je sais que très souvent cela donne de la teneur à une relation tout en étant la preuve d'une envie partagée et d'un premier engagement. Et avec Thomas, c'était bien - il embrassait divinement et se laissait aller aux autres caresses - très rapidement il se retrouvait allongé sur moi et on se regardait dans les yeux. - ; ; tu sais, me dit-il, je ne peux pas rester trop longtemps avec toi ce soir mais j'ai vraiment envie que l'on se revoit demain soir. - ; ; OK, moi aussi et pour une première fois j'aime prendre le temps... même si maintenant j'ai très envie de glisser les mains sous ta chemise, sur ta peau, sur tes fesses... - ; ; Tu peux... Thomas posa de nouveau ses lèvres sur les miennes et se laissa caresser. Je glissais les mains sous sa chemise pour les poser sur son dos puis ensuite les glisser sous la ceinture de son pantalon et les presser sous ses fesses nues puisqu'il portait un string. A ce moment je sentis son érection contre la mienne... Mais nous devions en rester là car nous avions besoin de réfléchir à ce que nous allions entreprendre et apprendre à nous connaître, à nous supporter. C'est du moins ce qui ressortait de cette première rencontre. Thomas se releva et se rhabilla tout en déboutonnant son pantalon pour y glisser sa chemise et je pus apercevoir ce string mauve tendu et qui mettait en valeur sa sensualité. J'en profitais pour poser la main sur ce tissu très fin et de me rapprocher de lui et l'embrasser de nouveau. Ce fut un moment très tendre... mais je m'en tenais à ce dernier geste pour ne pas laisser entre nous deux une dernière et mauvaise impression. Sur ce Thomas me redonna son numéro de portable et me communiqua son adresse car il voulait que je visite son appartement le lendemain soir, car il serait seul et chez lui. J'ai aimé cette confiance et ainsi je devenais autre chose qu'un homme de passage et de chambre d'hôtel. A peine rentré chez lui, Thomas m'appela pour me poser quelques questions et surtout me dire qu'il avait aimé être avec moi et qu'il voulait que l'on construise quelque chose d'encore plus profond, dans les deux sens du terme, comme il aimait le dire. Moi aussi je lui confiais que j'étais bouleversé par cette rencontrer et que je savais que nous pouvions nous aimer encore davantage. On se dévoila encore un peu plus et tout cela allait dans le sens d'une meilleure prochaine rencontre. - ; ; tu sais, Thomas, si dans la nuit tu veux m'appeler, tu peux... et je suis à ta disposition pour me dévoiler, pour t'entendre. - ; ; Ok merci Jean Francois, j'ai vraiment envie d'être avec toi en ce moment... - ; ; Je comprends, moi aussi alors à plus tard. C'est donc dans la nuit que Thomas me rappela, il n'arrivait pas à dormir et était sans doute très excité. Je sentais au téléphone qu'il était très fébrile et sans doute nu sous sa couette je le devinais en train de se caresser. - ; ; si tu veux venir me rejoindre tu sais que tu le peux - ; ; oui j'en ai vraiment envie... mais le froid va quand m'inviter à ne pas bouger. On en resta là et pendant les heures qui suivirent ou je recevais un SMS ou un nouvel appel. Thomas semblait heureux ; je l'avais réveillé et maintenant il semblait pressé d'être éveillé à autre chose. Il comptait sur moi, je devais le conforter sur mes intentions et surtout ne pas le décevoir. J'essayais donc d'être à la fois son ami, son grand frère, son confident pour mieux devenir son amant. Je ne voulais pas échouer. Thomas était sans doute qui pouvait m'accompagner dans ma triste vie d'homme d'affaires et que je pouvais retrouver sans que cela ne nuise dans sa vie. Le soir venu, je m'apprêtais à me rendre chez lui quand il m'appela pour me dire qu'il aurait un peu de retard car il venait de raccompagner sa mère au train. Mais à l'heure dite je sonnais à sa porte. Il ouvra et il était devant moi tout souriant. Il s'empressa de fermer la porte pour tomber dans mes bras. Et là c'était le bonheur. Nous avions tellement attendu, nous nous étions tellement réconforté au téléphone qu'on savait que maintenant la voie était libre pour tout. Nous devions cependant nous respecter, nous écouter, et savoir laisser venir ces moments que l'on peut partager que si l'on veut être amoureux, toujours plus proche, plus fébrile avec des sensations à fleur de peau. Thomas m'invita à visiter son appartement refait à neuf ; il y avait trois pièces : le salon qui servait de chambre, la salle de bain aussi grande que la cuisine qui semblait lui servir également de bureau. C'était à la fois sobre et harmonieusement décoré. Thomas avait accroché de vrais tableaux de peintre et les couleurs donnaient à cet endroit une belle image de lui. Et je pouvais comprendre le plaisir que on pouvait trouver à y vivre après une longue journée de travail. Thomas me montra ses différents vêtements accrochés dans un meuble, ses sous-vêtements étaient ainsi visibles et il semblait porter principalement des dessous assez provoquant.... J'aimais assez. De retour dans la pièce principale maintenant je pouvais m'asseoir sur le lit et ainsi contempler mon Thomas plus à l'aise que jamais. - ; ; tu sais hier quand j'enfilais mon pantalon et que tu t'es approché de moi, j'ai cru que j'allais craquer. Tu m'as donné envie d'aller plus loin. Mais aujourd'hui je suis trop content qu'on ait attendu. Je comprends mieux l'importance du désir et c'est vrai chez les gays c'est oui ou c'est non... pour ensuite regretter. - ; ; Moi aussi, lui répondis-je, j'avais également envie d'aller plus loin et ce pantalon ouvert c'était une belle invitation. Au fait tu portes toujours des strings ? - ; ; Eh oui très souvent... j'aime trop me sentir envelopper ainsi et quand je suis dans la rue j'ai souvent l'impression que certains regards le devinent. alors ça me fait des choses. Et toi ? - ; ; Non j'ai essayé mais je ne m'y habitue pas et vu mon age cela ne me va pas du tout. Mais j'ai vu que tu avais une belle collection. - ; ; Oui c'est vrai, je pourrais te la montrer. - ; ; Ou l'essayer devant moi. - ; ; Oui très coquin tout ça... Et Thomas profite du moment pour s'asseoir sur mes genoux, jambes écartées et face à moi, et poser ses lèvres sur les miennes. Nous nous étreignions ainsi, puis Thomas se ressaisit. - ; ; Qu'as-tu prévu pour ce soir ? - ; ; J'ai pensé que nous pourrions aller au restaurant. Je t'invite mais je pense que j'ai plus envie d'être avec toi, d'apprendre à te connaître. Et j'ai surtout très envie de bien faire l'amour avec toi pour mieux te sentir. - ; ; C'est vrai ? et moi qu'est ce que tu crois que j'ai envie, me lança t'il en me poussant en arrière pour ainsi me retrouver allongé sur le dos. Thomas vient se blottir contre moi et me parle de lui, de ce qu'il ressent depuis qu'il m'a rencontré, de ce dont il a envie avec moi et surtout de ne pas être déçu pour ensuite se retrouver seul. A mon tour je lui avoue que j'ai vraiment envie d'être amoureux et d'aller plus loin avec lui pour que cette rencontre soit plus constructive que destructive comme trop souvent dans ce genre de rencontres. Tout en lui parlant et en l'embrassant comme en mélangeant nos langues mes mains s'affairaient à déboutonner sa chemise. Maintenant Thomas semble s'offrir et m'aide à le déshabiller. S'il n'y a pas d'empressement réciproque, il y a volonté de bien faire, de respecter, d'être tendre. Thomas se retrouve très vite en string rouge et moi en boxer. Nous nous mélangeons et nous essayons de trouver les mots qui nous lient encore davantage. Il n'y a pas d'urgence et c'est ainsi que nous restons longuement à nous caresser, à nous contempler ou à nous regarder partout quand Thomas prend l'initiative de retirer mon boxer et de me libérer de cette tension très présente. - ; ; Ooooh me dit-il... c'est pour moi tout ça ? - ; ; ;Et oui mais tu en prends soin et je voudrais bien que ce ne soit que pour toi et pour très longtemps. Cela nous éviterait les protections si nous voulons aller plus fort, plus loin ensemble. - ; ; De ce côté sois assuré car je suis en train de m'accrocher et que je ne vais pas te laisser filer sans raison importante. Et Thomas de reprendre son souffle et de me gober comme un affamé. Que c'était bon et ceci me permettait de respirer à la même cadence pour mieux contrôler la situation. Puis Thomas tout en maintenant mon gland sur ses lèvres se retourna pour me présenter ses belles fesses. Il ne me reste plus qu'à les caresser avant qu'il ne repose le tout sur mon visage. Cela me rend fou d'excitation et j'écarte l'élastique de son string pour mieux voir sa rondelle toute rose. J'en profite pour lui ôter le string et libérer son sexe tendu qui se colle à ma poitrine. Nous restons ainsi quelques longues minutes et nous partageons un premier bonheur dans ce corps à corps qui promet une suite encore plus chaleureuse et plus surprenante. Thomas sait faire glisser mon sexe le long de sa langue puis de temps en temps au fond de sa gorge comme pour bien me montrer qu'il est prêt à tout, qu'il m'a adopté et que tout cela lui convient à merveille. On se repose de nos ébats quelques temps car comme moi Thomas aime bien parler, se confier et dire son bonheur. Nous avons tout le temps devant nous et il ne faut pas que notre relation naissante ne se limite à une partie de sexe. Je veux que nous restions conscients qu'il y a entre nous deux autre chose que du charnel pur et dur. Je veux qu'il me fasse part de ses moments de bonheur comme de ceux moins heureux, voire même tristes. Tout ce qui concerne sa vie m'intéresse maintenant : ses angoisses, ses joies, sa vie en général, ses amis, sa famille. Je veux tout savoir et comprendre dans quel océan nage t'il. Il se relève et remet son string alors que je reste allongé sur le ventre. Il revient de la cuisine avec un verre d'eau qu'il sait partager. - ; ; Tu veux bien rester avec moi cette nuit, me demande-t'il ? - ; ; Oui bien sûr, je veux même davantage car je suis un homme très occupé par mon travail et je crains que la séparation épisodique pèse sur toi comme sur moi. Tu as le droit d'être gourmand... mais il va falloir se résoudre à me voir qu'une ou deux nuits par semaine. Est-ce suffisant ? - ; ; Tu sais, cela je l'ai bien compris... mais nous allons nous adapter à la situation et tout faire pour aller de l'avant. - ; ; Merci Thomas, cela me réconforte et à chaque problème sa solution. Après avoir bu une gorgée d'eau, nous nous retrouvons l'un contre l'autre. Thomas est allongé sur moi avec son string. J'en profite pour y glisser mon sexe. Puis nous nous embrassons longuement pour encore mieux se goûter, mieux s'aimer. - ; ; J'ai envie de toi, tout entier now mon amour, me glisse dans l'oreille un Thomas tout excité par la situation. - ; ; Je suis à toi, avec toi et j'ai également d'être plus profondément en toi. Je fais glisser son string pour que rien ne fasse obstacle à nos ébats futurs. Nous sommes là l'un contre l'autre, peau contre peau, à nous embrasser tendrement et férocement à la fois. Rien ne peut plus nous arrêter. Mon sexe se glisse tout naturellement entre les fesses de Thomas qui s'asseoit sur moi pour mieux sentir ce premier contact si exceptionnel. Mon gland s'est logé tout naturellement sur sa rondelle... et maintenant je sais que le bonheur est à portée de main. Thomas est heureux, il le montre en se libérant totalement et en se laissant aller au plaisir. Je me rapproche de lui pour encore l'embrasser et ainsi communiquer avec le haut comme je souhaite communiquer par le bas. C'est le bonheur partagé. Puis je reviens à la raison et enfile la protection indispensable pour ce premier rapport. Puis je m'occupe de Thomas en le travaillant un peu plus d'un doigt puis de eux tout y glissant suffisamment de vaseline. Je lui demande également de laisser le temps au temps et ne pas précipiter du fait de son excitation. Puis il se laisse pénétrer sans trop de difficultés Il est vrai que je ne l'ai pas suffisamment travaillé mais le plaisir se fait déjà sentir et Thomas se raidit sur moi pour mieux sentir mon sexe au plus profond de lui-même. A ce moment Thomas se livre à des déclarations d'amoureux et fait tout pour que chaque instant soit partagé et vécu comme une sorte de bonheur inexplicable. Maintenant je le sens lui et pas un autre et c'est de moi qu'il a envie, de moi tout entier en lui. Puis il retombe sur moi pour mieux me dire ce qu'il ressent de fort, de ce qui s'éveille en lui... Ainsi nous avons vécu un moment et premier amour inoubliables. Il est frai que j'ai très vite joui en lui et que je l'ai immédiatement accompagné dans son éjaculation... mais ce fut si extraordinaire que je ne voulais plus le quitter de son intérieur, de sa vie, et de son âme à la fois... Il y a eu une suite après le restaurant mais je vous la raconterais plus tard. Moi je cherche des rencontres fortes, amoureuses, uniques et exceptionnelles. J'ai 50a et j'ai un penchant pour les jeunes de 24 à 28 ans environ. Alors aux bons entendeurs ... belenos@free.frRêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |