Le jardinier des voisins.Mes voisins sont de grands voyageurs et pendant leurs longues absences, un jardinier vient entretenir leur petite propriété qui n'est séparée de chez moi que par un petit muret de pierres moussues. C'est un mec quelconque d'une trentaine d'années, blond, cheveux très courts, il est en jeans, tee-shirt, me semble assez baraqué. Je mate tout de suite qu'il a de belles fesses bien pommées et un pacsif qui remplirait largement ma main inoccupée. Il me voit, me dit bonjour et se dirige vers le local où sont rangés les outils de jardin. Il se met aussitôt au travail, il arrache de l'herbe dans les allées, il a le cul en l'air et attiré par ce joli postérieur, mine de rien je n'arrête pas de le mater, je sens des fourmillements dans mon calbar et j'imagine déjà en train de faire un tas de choses, mais comment s'y prendre ? D'abord, est ce qu'il aime les mecs ? Comment amorcer le truc ? Je ne voudrais pas prendre un râteau ! Soudain, il vient près du muret, m'appelle et me demande si je sais où sont les sécateurs. Je franchis le muret et je lui dis de me suivre dans le local aux outils. Dans ce local, il y a une grande table au milieu, les outils, la tondeuse et la brouette sont alignés dans un coin et sur le mur du fond s'appuient des étagères garnies de pots de fleurs vides, de produits de jardinage et de graines de toutes sortes. Normalement, les sécateurs sont dans un tiroir de la grande table. Il me couche d'autorité sur la table, arrache mon froc et mon tee-shirt. Je me retrouve à poil, le dos sur la table, la bite en l'air. En moins de deux, il s'est foutu à poil lui aussi. Il me caresse partout, m'embrasse, me suce la bite et les couilles, me broute le cul, me doigte sauvagement, je bande à m'en éclater la bite ! Comme mon cul est au bord de la table, il présente son zob (après l'avoir protégé), me le rentre dans le cul d'un seul coup. Aïe ! Ça fait mal ! Mais pas longtemps, car quand je le matais dans le jardin, je mouillais déjà ! Il me baise de plus en plus vite, de plus en plus fort (va falloir qu'il s'arrête car je vais gicler avant lui), je prends un pied super ! Voulant sans doute profiter aussi de mon zob, il se retire, me pousse plus loin sur la table, me pose une capote, monte sur la table, s'accroupit au dessus de ma bite et s'empale dessus comme une fleur. Il dirige les opérations pendant que je m'occupe de lui titiller les roustons et lui taquiner la tige. Il serre et desserre les fesses quand il monte ou qu'il descend, je me sens encore prêt à éclater. C'est que du bonheur ! On baise comme ça longtemps, on s'échange sans avoir encore déchargé, on prend d'autres positions, on fait le chien, on baise debout, puis on retire les capotes, on se suce à tour de rôle tout en se fouillant le cul dégoulinant de mouille. Reviens vite, jardinier ! Zicom sylvestig@wanadoo.fr Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |