Mon jeune blackil est jeune et beau, on s'est contactés ici, échanges de photos, il reçoit chez lui... "viens demain matin me dit il, dès 8h30, je suis seul à la maison, on sera tranquilles toute la matinée..." très jeune, 186, 75 black des îles sombre et brillant de peau satinée et douce, imberbe totalement il me reçoit habillé de blanc et noir, en costume sans rien dessous comme demandé, il a laissé sa queue sortie, pieds nus, et il me sourit tendrement en se caressant ses lèvres de sa langue rose et tentatrice...son long prépuce tétine mouille déjà d'un miel brillant....il est totalement lisse de peau, sauf sa touffe noire et dense....même ses jolies couilles lourdes et bombées sont imberbes, .....sa queue fait 21x6, elle est veinée et palpitante sous ses doigts, son corps légèrement musclé, se dandine sous le costume serré, mais offrant la queue la plus belle que j'ai jamais vue... je m'approche et l'embrasse tendrement mais déjà sa langue me fouille la bouche et ses lèvres mordillent les miennes, ses dents blanches rient de bonheur de s'offrir à moi, qui pourrait être largement son père...il commence à me parler de moi, qu'il me trouve très excitant, qu'il n'a connu qu'un seul autre homme mûr, un de ses profs, mais qu'il est toujours vierge...et voudrai que je lui apprennes tout... il se déshabille en dansant, son corps souple et agile est celui d'un jeune fauve érotique qui veut séduire son nouveau maître, il est brûlant de fièvre et de désir, il se caresse en me lançant des regards de braise, langue tendue et frétillante, comment sait-il déjà faire tout cela à cet âge ? je ne peux résister et m'avançant vers lui de nouveau, lui prend la queue chaude en main et en le branlant doucement, lui embrasse les tétons en ouvrant sa ceinture et fais tomber à ses pieds le pantalon noir qui le laisse enfin entièrement nu, aussi beau et grand et fin qu'un jeune guerrier Nouba, à qui il manquerait sa lance, mais dont la fierté serait aussi grande d'être découvert, surpris, bandé, dans sa nudité de jeune mâle assoiffé de sexe, devant son maître et pédagogue admiratif de ses prouesses. il me tend ses lèvres chaudes et entreprend de me déshabiller, ayant pris soin de nouer ma cravate autour de ses reins... il me laisse nu, moi blanc et légèrement poilu, mal rasé, me frotter à son jeune corps d'ébène dont le parfum est fort et suave en même temps, nos deux queues se mêlant contre nos ventres déjà recouverts de la pellicule brillante du préjus qui coule abondamment de sa verge épaisse....il n'est que 9heures à peine ce matin et nous avons encore toute la matinée devant nous..... si vous aimez ce début, je vous raconte le reste avec plaisir... mateusRêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |