Cyrillo

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Le jeune éboueur

Je m'appelle Philippe, 45 ans, divorcé, je vis seul dans un quartier résidentiel d'une ville de banlieue parisienne. Je suis CRS mais une méchante blessure par balle il y a 6 mois me garde éloigné du terrain. Je partage mon temps entre du boulot administratif à la brigade et des rendez-vous réguliers avec le docteur. Je fais aussi beaucoup de sport pour me remettre en forme. Le mardi et le samedi sont rapidement devenus mes jours préférés de la semaine. Ce sont les journées du ramassage des ordures ménagères. Vous vous demandez pourquoi? Voici la raison :

Un mardi matin, je suis dans mon lit à mi-chemin entre sommeil et réveil. Je suis content car mon rendez-vous chez le médecin n'est qu'à 11h30. J'ai donc tout le temps pour me réveiller en douceur. J'entends un bruit lointain venant du bout de la rue.

MERDE!!!

C'est le bruit du camion de la voirie. Je sursaute car j'ai oublié de sortir la poubelle. J'enfile un caleçon et je cours dans la cuisine pour prendre la poubelle. Puis, je me précipite à l'extérieur et là, je tombe nez à nez avec le plus beau, le plus ravissant, le plus sexy mec qu'il m'ait été donné la chance de voir. Il sourit et me dit quelque chose. Mais moi j'entends rien car je suis dans une sorte d'état de choc devant tant de perfection. Ma gorge est nouée. Mes mains sont moites et ma tête commence à tourner. Comme c'est l'été, le gars porte une sorte de salopette et de débardeur à l'intérieur. Sa peau bronzée contraste avec le blanc de sa tenue. ;J'ai envie de croquer ses biceps.

Je le vois se pencher vers moi et me prendre délicatement le sac des mains. Puis, il rougit et d'un air un peu gêné, il pointe du doigt vers mon entrejambe. Je regarde et là, c'est la catastrophe! Je bande comme un con et ma bite bien dure est sortie de l'ouverture de mon caleçon. Je pense à m'excuser auprès du jeune homme mais celui-ci est déjà reparti avec le camion.

Il me faut une bonne dizaine de minutes pour reprendre mes esprits et comprendre ce qui vient de se passer. Le gars sexy était l'un des trois éboueurs. Et moi comme un con, je suis resté muet et en érection devant lui. Il doit me prendre pour le mec le plus pervers de la Terre.

Le reste de la semaine passe mais je n'arrive pas à m'enlever l'image de l'éboueur sexy. J'essaye de glaner des informations sur lui. Il est jeune. Il a un type arabe ou méditerranéen. Et il a un physique époustouflant!

Le samedi arrive enfin et je me tiens prêt pour l'accueillir. Quand j'entends le camion arriver, je sors sur le trottoir avec mon sac poubelle. Cette fois, je suis habillé en survêtement. Il fait aussi chaud que la dernière fois et j'espère que le jeune homme sera encore plus dévêtu que la dernière fois.

Quand le camion arrive à mon niveau, je retiens mon souffle. Deux hommes agrippés à l'arrière du camion descendent. Le plus vieux se dirige vers l'autre trottoir et mon prince charmant se dirige vers moi tout sourire.

-Vous savez monsieur ce n'est pas la peine de me remettre la poubelle en personne.

Je souris car en plus d'être drôle, mon bel éboueur a joli accent d'un pays du soleil.

-Je voulais juste m'excuser en personne pour "l'incident" de la dernière fois. Vous avez dû penser que je suis un gros pervers.

-Je pense surtout que vous êtes bien monté!! Mais pas autant que moi comme même!

Je suis bouche bée. Je ne trouve pas de répartie. A-t-il bien dit ce que je viens d'entendre ou est-ce un jeu cruel que me joue mon cerveau?

Le vieux black choisit ce moment pour crier sur le jeune rebeu :

-Hé le nouveau, on a pas toute la journée!

Le jeune éboueur me dit au revoir et s'en va sans que je ne sois plus avancé.

Dans les jours qui suivent, j'obsède sur le beau petit arabe. J'envisage même d'aller au siège de la compagnie qui s'occupe de la voirie. Mais je me ravise. Je décide d'attendre le prochain jour des poubelles.

Le mardi suivant, je sors ma poubelle tôt le matin et j'accroche un post-it jaune sur le haut du sac. J'y inscris mon téléphone et un petit mot :

"J'aimerai te rencontrer. Appelle-moi au xxxxxxxxxx. Philippe"

De la fenêtre de ma chambre, j'attends le passage du camion. Comme prévu, le jeune éboueur se dirige tout de suite vers ma maison et il a l'air un peu déçu de ne pas me trouver dehors. Il prend le sac et remarque le post-it. Il le décolle et le glisse discrètement dans sa poche. Je suis ravi!

J'attends son appel toute la journée. Je commence à penser que j'ai mal interprété ses intentions, qu'il ne va jamais m'appeler. Mais vers 19h, je reçois son appel.

-Salut. Philippe?

-Salut, jeune homme.

-Tu peux m'appeler Rahim.

La conversation avec Rahim ne dure pas longtemps. Je lui demande ce qu'il compte faire ce soir. Il me dit qu'il est libre. Alors je l'invite à passer chez moi. Rendez-vous est fixé à 21h.

Il arrive à l'heure. Comme c'est la canicule, il porte uniquement un tee shirt bleu, un pantacourt de survêtement et des baskets.

Le courant passe très bien. Il est surpris quand je lui dis que je suis CRS mais ça ne semble pas lui poser de problème. J'apprends qu'il a 24 ans et qu'il est venu en France il y a 4 à l'aventure, sans plan précis. Il a enchainé les petits boulots jusqu'à obtenir ce job d'éboueur qui lui permet d'avoir enfin une certaine stabilité.

Je ne me suis jamais senti aussi à l'aise lors d'un rendez-vous. Rahim est superbe. Je remarque seulement maintenant qu'il a de jolies petites fossettes quand il parle. Je me demande s'il en a sur le cul. J'ai sacrément envie de lui. Rahim semble être sur la même longueur d'onde car il est en train d'avancer vers moi sur le canapé. Il m'embrasse une fois, puis deux fois. Quand il voit que je suis bien excité, il m'embrasse encore mais avec plus de profondeur et de passion. Il murmure ensuite "Suce moi" à mon oreille.

Je ne me le fais pas dire deux fois. Son pantacourt et son boxer s'en vont dans la seconde qui suit. Je suis à genoux entre ses jambes écartées. Je peux enfin admirer le superbe zob de Rahim. Le jeune homme n'avait pas menti en disant qu'il était mieux monté que moi. Ma queue fait 18cm. La sienne doit faire 21 ou 22 cm, circoncise et épaisse.

Je suce sa grosse bite avec enthousiasme et plaisir. Il gémit et je sens qu'il prend son pied grâce à ma bouche talentueuse. Pour ne pas le faire jouir trop vite, je descends un peu et je m'occupe de ses jolies couilles bien lourdes. Je ne m'arrête pas en si bon chemin et je continue à descendre vers sa rondelle bien serrée. Rahim apprécie l'exploration. Il soulève ses jambes pour me faciliter l'accès à son trou.

Excité au maximum, le jeune homme n'en peut plus et se lève brusquement. Il me prend par les épaules et me met à quatre pattes sur le canapé. Puis, il se met à genoux et écarte mes fesses. Sa langue me lèche la rondelle pendant de longues minutes. Je gémis, je ronronne et je le supplie d'enfoncer son sexe dans mon cul. Il sourit de me voir si excité.

Quand son gland pénètre mon anneau, j'ai l'impression que je vais me couper en deux. Sa bite est vraiment large mais je l'encourage à poursuivre. Rahim est un sacré baiseur. Il donne des coups de reins qui m'envoient au septième ciel. Je me retourne pour le voir lui même en plein effort. Son torse musclé est luisant de sueur. Ses cheveux sont dans tous les sens comme s'il venait de se réveiller après une bonne nuit de sommeil. Il est en train de mordre sa lèvre inférieure. Ses yeux noirs ne quittent pas une seule seconde l'endroit où sa bite s'enfonce dans mon cul.

Il a la présence d'esprit de prendre ma queue en main et de me branler en même temps qu'il m'encule. Je suis tellement chaud que le simple contact suffit à me faire cracher tout mon foutre dans sa main. Par derrière, Rahim accélère le rythme. Il pousse des grognements virils un peu comme les tennismen en plein match. Sa main pleine de mon sperme se porte à mon visage et il me demande de la nettoyer. Jamais on ne me l'avait fait celle-là. Le goût de mon sperme semble différent, meilleur dans sa main. Après avoir tout léché, je suce chacun de ses doigts.

Rahim est super endurant car cela fait déjà un bon bout de temps qu'il me ramone à un rythme très soutenu. D'un seul coup, il se retire et me dit qu'il veut juter dans ma bouche. Je me retourne rapidement et je me place à genoux devant lui, bouche ouverte, langue tirée. J'ai l'impression d'être une porn star. Mes mains caressent ses cuisses, son torse, ses fesses. Quand son orgasme approche, je regarde son beau visage, ses yeux qui se ferment et je vois le foutre sortir de son zob et aller direct dans sur ma langue. Un peu de jus s'échappe et atterri sur ma joue. Il le recueille avec ses doigts et le remet délicatement dans ma bouche déjà pleine de sperme. J'avale avec plaisir son bon nectar de rebeu. Après ça, on s'effondre sur le canapé. Nos corps entrelacés et trempés de sueur. Il me dit qu'il est désolé de s'être montré aussi "sauvage" durant le sexe. Il explique qu'il aime prendre les choses en main au lit mais qu'il aurait dû au moins me prévenir avant de me sauter dessus. Je m'empresse de lui dire qu'il n'a pas à s'excuser et que j'adore me faire baiser de cette façon. Il sourit alors avec ses jolies fossettes puis il se met à m'embrasser.

J'invite Rahim à rester passer la nuit. Mais il me dit qu'il doit se lever très tôt demain matin pour aller au travail. Nous échangeons nos mails et numéros de portable. Puis il m'embrasse et s'en va. Je ne peux m'empêcher de mater son joli petit cul au moment où il me tourne le dos et sort par la porte. J'anticipe déjà ma prochaine rencontre avec Rahim, le plus sexy des éboueurs.

Phil92

philippecrs@yahoo.com

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