Le KinéVous avez un muscle froissé à l'épaule. Ok, le lendemain je me pointe chez le kiné. J'entre et je m'inscris. c'est une bonne femme de 50 ans qui note tout. Elle a de la moustache et des gros seins qui tombent sur son bide, et son bide tombe sur ses cuisses. Je m'assied dans la salle d'attente. Il y a deux vieux avant moi. Trois quart d'heure après, je me trouve devant le kiné Un mec d'environ 35-40 ans, dégarnit mais il a l'air costaud. Il me demande où j'ai mal tout en regardant l'ordonnance du doc. Il ne m'a pas encore regardé. Je dis: Je ne dis rien. Mais je vois ce qu'il veut dire. En effet, il doit être habituer à masser des corps flasques et ridés. Et il se trouve en présence d'un mec musclé à la taille fine et aux épaule globuleuses. Mes pecs sont puissants et mes abdo dessinés. Quant à mes cuisses, c'est ce que j'ai de plus beau. Ciselées comme pas possible par des heures de squat. Il masse professionnellement. Il me dit de m'allonger sur le dos. Je le fais. Il me masse le dos et les épaules . Ca fait un bien fou. Il se met a me masser les cuisses. Là, l'ai un doute... Putain, je suis gêné. Je ne bouge pas. Il frôle le bout de mon gland, ça me fout un secousse sur toute la longueur de ma pine raide. Je sens mes couilles qui fourmillent, les salopes de traitresses. Il le prend le sous pèse et se met à le masser doucement. Je laisse faire. Il masse et s'attarde un peu sur mes couilles. Je l'aide en écartant les cuisses. Il se penche et je vois ma pine dur qui disparait dans sa bouche. Il gémi. Je laisse faire il me suce à merveille tout en me massant les abdos, puis les couilles. Il laisse un peu ma queue et vient me sucotter le téton gauche, puis il se redresse, me regarde droit dans les yeux et se penche sur mon visage, j'entre ouvre les lèvres et il y pose les siennes. Je sens sa langue dans ma gueule il cherche ma langue et elles s'enroulent. Il me masturbe doucement tout en ma titillant la pointe du téton droit. J'aime ça, putain que c'est bon. Il se relève et me dit Tu es magnifique, j'ai pas pu résister. Tu sais je vois tellement de mecs affreux toute la journée. Et tu arrives, beau comme pas possible, avec tes muscles, ta tête de voyou, j'ai en envie de toi, de ton sexe, des tes muscles. j'ai envie que tu m'encule a fond comme une salope. Il me roule de nouveau un patin baveux. Je tâte son entre jambe et je sens une pine raide et massive. Je me lève et on se roule des pelles comme deux enragés. Il me masturbe et je me laisse faire comme une pute passive. Il lèche mes pecs, je lève mes bras et il y passe sa langue rugueuse. Il évalue le volume de mes biceps et il dit putain quel homme ! Et il remet sa langue dans ma bouche tout en me massant le trou du cul. Ok jeune homme. Je pense que ce soir vous aurez un peu mal à votre épaule suite à mes massages. Donc je vous donne mon N° de tél personnel et si vous avez trop la crampe, vous m'appelez. Je me chargerai de vous faire du bien. Je suis dans la rue. Je regarde le bout de papier qu'il m'a donné. Il y a son N° et son adresse. Et il a écrit. Viens quand tu veux, je te veux chez moi et en moi. Le soir même, à 21 h, je suis devant sa porte, il ouvre et j'entre chez lui. Il a préparé des coupes de champagne. On boit. Puis il se fait tendre. Il me caresse le genoux et me dis. On se dessape et on commence les festivités. Je suis derrière lui, ma queue plantée dans son fion et je m'active sur lui de toutes mes forces. Il couine comme une femelle. Il aime ça, une bonne teub dans les tripes. Je le ramone comme un fou. Et soudain. Il pète et l'odeur rempli le salon et s'accroche aux rideaux qui s'enfuient de terreur ainsi que les murs et tout l'immeuble. On se retrouve dehors, entièrement nu, moi en train de l'enculer devant les gens qui passent et nous jettent quelques sous. Je me vide dans ses intestins et je sors ma longe queue de son anus béant et on va boir un pot au bistro du coin. Tout le monde applaudis dans la rue et nous suit au bistro. On boit du Champagne et on se roule des pelles et tout le monde se fout à poil et s'encule et se sucent et on jouis par terre. Il y a des flaques de jutes qui rendent le sol glissant. On se vautre dedans en chantant " A ça ira, ça ira, ça ira" Mais... Ronald Mac Donald arrive avec sa soeur et nous fait débander. Alors on rentre chacun chez soit. J'ai toujours mal à l'épaule. Demain je retourne chez mon kiné et il me fera une infiltration dans le trou du cul avec sa grosse pine massive et veineuse. Pascalpascalsport@orange.fr Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |