Cyrillo

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LE PARI

Cette histoire suppose que le Sida n'existe pas . ou qu'un vaccin a enfin été mis au point . ATTENTION RESTEZ PRUDENT !!

"Je te parie tout ce que tu veux !" ai-je dit sûr de moi à mon voisin de chambre de ma résidence d'étudiants.

"Tout ?" m'a bien redemandé Samir, un étudiant arabe que je trouvais beau comme un dieu.

"Tout, mais tes requêtes dans ce cas seront limitées à la durée d'un week-end. Tout sauf du fric, j'en ai pas !"

Samir je l'avais vu plusieurs fois à poil dans les douches ! Mince, du muscle, pas de poil, une bite d'âne (mais circoncise), des couilles de taureau, un sourire d'ange ...

Des gays, il n'y en n'avait pas beaucoup, du moins officiellement déclaré. La plus part était plus folle que moi et moi, j'aimais les mecs virils genre hétéro. Donc et malgré quelques déboires, j'avais préféré me rabattre sur ceux là, quitte à me ramasser de temps en temps !

Moi j'étais le PD déclaré, officiel. J'avais fait savoir que j'étais une bonne salope prête à éponger tous les beaux males en manque de câlin ... Malheureusement, le seul moment propice, c'était le retour des boites le vendredi ou le samedi soir. Les mecs (hétéros ou soi-disant), déçus, un peu fatigués par l'alcool n'étaient pas difficiles ! A poil, j'allais faire un tour dans les douches. J'étais mignon, un peu efféminé, un cul rebondi, des cheveux mi-longs châtain clair bouclés et j'arrivais sans peine à sucer ou mieux à me faire prendre. Mon cul et ma bouche connaissaient donc plus d'une bite à l'étage !

C'était l'époque bénie avant le sida et tout était permis.

Samir connaissait ma réputation alors qu'il venait juste d'arriver à la résidence. Je ne l'avais pas encore "rencontré" un samedi soir.

Lui, il a parié 50 dollars !

J'avais parié pour perdre devant ce "tout". J'ai perdu ! Nous étions un vendredi en début d'après-midi.

"Je connais ta réputation d'homo prêt à te faire niquer par tous les mecs du campus en manque. Alors, j'ai envie de tenter une expérience avec toi ; tu seras mon esclave sexuel pendant ce week-end ! Tu devras assouvir tous mes fantasmes " m'a dit Samir dans sa piaule "je veux voir jusqu'où tu pourras aller".

"D'abord tu te fous à poil !".

Jusque là, ça me plaisait. J'étais en survêt et me suis donc foutu à poil ! Il a ouvert la fenêtre qui donnait sur le boulevard et a jeté tous mes vêtements sauf mes tennis ! Samir, lui il était en tee-shirt et en caleçon moulant noir, très sexy. On voyait bien toute sa panoplie en relief sur le caleçon.

J'ai gueulé et Samir qui était plus fort que moi m'a poussé sur son lit à plat ventre et m'a foutu une fessée. Le derrière en feu, ça m'a excité et ça m'a fait bander.

Quand je me suis retourné, Samir avait une trique qui déformait son sous-vêtement.

Il s'est assis sur son lit et m'a dit :

"Retire-moi mon caleçon et suce-moi !".

L'idée me plaisait et après avoir fait glisser le caleçon sur ses jambes et libéré le sexe, j'ai ouvert la bouche sur son gland et j'ai commencé à pomper la grosse bite brune ! Samir en bon arabe était circoncis et ses poils rasés tant du pubis que des couilles. Ses burnes étaient rondes, tendues et apparemment bien pleines !

"Maintenant lèche-moi le cul !" m'a ordonné le garçon en se retournant et tout en se mettant à quatre pattes sur le lit, en écartant les jambes, il a ajouté "tu vas bien me nettoyer avec ta langue, je viens d'aller chier, j'ai peut-être mal essuyé !".

Samir a écarté sa raie avec ses mains, le sillon était propre et imberbe et le petit trou noir semblait me faire de l'oil ! L'arabe a retiré ses mains pour prendre appui sur le lit.

Tenant ses lobes bien écartés avec mes mains, j'ai léché la fente des couilles jusqu'au bas du dos.

"Écarte-moi l'anus avec tes doigts et entre ta langue dedans !".

Je lui ai bouffé la rondelle qui s'est dilatée et ouverte et j'ai entré la langue dans le trou sous les gémissements de Samir.

"C'est bon, t'es une belle salope !" m'a dit l'étudiant en se dégageant et en se retournant.

"Arrêtes ! Tu bandes de trop ! Mets-toi debout devant moi et branle-toi dans ce verre. Vide toi les couilles dedans !".

Je me suis masturbé et quelques minutes après, j'ai vidé mes couilles dans le verre.

Samir m'a pris le verre englué de foutre blanc et l'a posé sur son bureau.

"Bon, t'as trop de poils au cul ! Je vais te raser tout ça !" m'a dit Samir qui, la queue raide, est parti vers le coin lavabo de sa chambre pour y chercher, ciseaux, mousse et rasoir.

J'ai pu voir son cul, ferme, imberbe et cambré dont je connaissais l'intimité et j'ai eu envie de le prendre !

Samir m'a fait asseoir sur le lit, protégé d'une serviette et m'a coupé tous les poils. Il a étalé la mousse sur mon ventre d'abord et m'a rasé consciencieusement mon petit tapis. Puis il m'a fait allonger et relever les jambes pour s'attaquer à mes rares poils de couilles. Il m'a fait bander en répartissant la mousse ! Il a fait très attention en me rasant, ma queue raide lui facilitait la manouvre !

"Allez retourne-toi, à quatre pattes, guibolles bien ouvertes. Voilà, écarte ta raie au max avec tes mains !".

Il a, à nouveau, mis de la mousse dans mon sillon et la lame a glissé. Là aussi je n'avais presque aucun poil et l'opération de désherbage a été rapide.

"Mignonne ta rondelle ! J'ai du mal à croire qu'elle a accueilli les grosses queues de nos potes !" m'a dit Samir en y enfonçant un doigt qui s'y pénétra sans peine.

"Bon, allez retourne-toi ! On va faire connaissance ! J'ai envie de t'enculer ! J'ai les couilles bien pleines !".

Je me suis mis sur le dos, j'ai relevé les jambes pour me faire prendre comme une fille l Cette position m'excitait beaucoup !

Samir s'est installé sur son lit à genoux et a dirigé son zob entre mes fesses. Il a joué avec mon anus en pressant dessus avec son gland. Il s'arrêtait et recommençait. Mon trou s'écartait et se dilatait à chaque fois un peu plus. Mon anus devenait un clitoris, je gémissais sous les frottements. Mes gémissements excitaient l'arabe qui souriait béat !

Il a rentré son gland en entier dans mon trou et m'a brutalement empalé pour mon plaisir ! Les vingt bons centimètres de queue large m'éclataient la rondelle et me remplissaient le ventre.

"T'es un . quoi ?" m'a demandé Samir après m'avoir empalé. Il ne bougeait pas, comme savourant sa proie avant de la liquider.

"Un enculé ! Et j'aime ça !" lui ai-je répondu "Baise-moi et remplis-moi de ta semence !".

Samir m'a limé avec des coups de reins fermes et pénétrants. Son sexe dur et chaud comblait mes entrailles.

"C'est bon, je te nique, je t'encule, ma belle pute, tu vas recevoir une belle dose de foutre !".

Ma queue raide balançait sous les coups de bite que je prenais dans le cul. Samir sortait de mon cul pour mieux me ré empaler. Je prenais mon pied ! Mais j'ai trop vite senti Samir vider ses couilles dans mon cul. Le sperme chaud et épais m'a rempli le trou du cul. L'éjaculation a duré longtemps ! Quand Samir a retiré sa bite de mon cul, mon trou est resté ouvert et le foutre a coulé entre mes fesses.

"T'as senti ma semence ?" m'a demandé Samir.
"Oui, tous les jets ! Tu m'as rempli le cul et les entrailles ! Je suis pleine !"

Samir a été chercher le verre sur son bureau et me l'a tendu quand il a vu ma bite bandée.

Le niveau de sperme a doublé !

Samir m'a fait allonger sur le sol et relever les jambes pour ne lui présenter que mon cul. Il a été prendre sous son lavabo un gros entonnoir avec un long et large embout qu'il m'a planté dans le cul. Il y a versé le contenu du verre me remplissant de ma propre semence !

"On va aller au Hamann ! - m'a dit Samir - ton cul blanc et tes cheveux blonds vont exciter les mecs ! Tu vas devoir sucer et te faire enculer !

"Arrête ! Je veux bien mais pas par n'importe qui !" ai-je dit inquiet.

"Désolé, tu es mon esclave et je vais te prêter à mes potes. Les copains, j'en ai des jeunes de nos âges et des vieux. Les vieux aussi ont le droit de baiser !".

Le Hamann en question était dans un bâtiment voisin, appartenant à un état du Maghreb.

Samir a remis tee-shirt et caleçon et a enfilé par dessus une djellaba. Il m'en a donné une autre sous laquelle j'ai dû rester à poil. Sur le chemin, je sentais le foutre qui s'échappait de mon trou et glissait le long de mes jambes.

Au Hamann, on m'a donné une serviette que j'ai mise autour de ma taille, mais entré dans la salle embuée, Samir me l'a retirée. Plusieurs mecs ceints de serviette blanche sont venus me regarder et ont discuté en arabe avec Samir.

Samir m'a fait descendre au sous-sol dans une pièce peu éclairée au milieu de laquelle il y avait un matelas.

Un bel arabe de nos âges est entré et a retiré sa serviette. Il avait une admirable queue qui pendait sur ses couilles rondes et rasées.

Samir a retiré sa serviette aussi et m'a dit de me mettre à quatre pattes sur le matelas, de bien tendre mes fesses pour me faire enculer !

"Baise-le ! Et jute bien dans son cul ! - a-t-il dit au mec.

L'arabe a frotté sa queue sur mes fesses et dans mon sillon qu'il a écarté de ses mains. J'ai senti sa bite qui grossissait et durcissait. Le gland ferme frottait ma rondelle qui s'ouvrait doucement.

Samir m'a donné sa bite à sucer. Elle avait encore le goût du sperme ! Je pompais alors que la bite dans ma raie a forcé mon trou. Mon anus s'est dilaté aussi facilement que je venais d'ouvrir la bouche pour accueillir le zob que j'ai senti bien large. L'arabe me l'a mis jusqu'aux couilles que je sentais ballotter quand il m'a baisé à fond. J'aimais trop ça ! J'étais une vraie pute, ma bite était toute bandée ! L'arabe qui m'a enculé a joui rapidement, le foutre m'a rempli le cul.

J'ai continué de sucer Samir, l'autre s'est retiré. Mon trou est resté ouvert. J'ai vu qu'il y avait plusieurs mecs dans la pièce, tous à poil, la bite raide. Un gros chauve est passé derrière moi et m'a enculé. La bite a glissé toute seule. Je me suis encore fait niquer par un jeune et un très vieux qui ont tous deux largué leur semence dans mon cul. Mon trou me semblait ouvert et rejetait le trop plein de foutre.

C'est à ce moment là que j'ai eu une surprise. Samir qui n'avait pas joui s'est mis à quatre pattes sur le matelas, a cambré ses fesses et m'a dit :

"Maintenant c'est toi l'homme ! Baise-moi et quand t'auras pris ton pied, fais venir d'autres mecs pour m'enculer !".

Je n'allais pas me faire prier et je me suis installé devant le cul si bien offert de Samir. Sa bite était toute raide et ses couilles bien gonflées. J'ai écarté son sillon pour voir à nouveau son petit trou noir. J'ai approché ma bouche pour lécher et sucer ce petit trou que j'avais envie d'enfiler !

Samir a soupiré sous ma langue et m'a dit :

"Non baise-moi tout de suite !".

"Tu m'as dit de faire l'homme ! C'est moi qui commande et j'ai envie de lécher ton cul. Je vais en faire une chatte ! Tu vas devenir une pute Samir !".

Samir s'est laissé faire et a continué de geindre sous ma langue.

Quand j'ai senti son trou bien dilaté, j'ai approché mon gland et l'ai appuyé sur la rondelle qui s'est ouverte. D'un coup de rein j'ai enfilé ma queue dans le trou jusqu'aux couilles !

Samir a crié un peu et m'a dit :

"Mika, tu m'as dépucelé !".

"Quand j'aurais vidé mes burnes dans ton cul ma salope !".

"Fais de moi une salope ! Fais-moi niquer par d'autres mecs !" m'a crié Samir.

Samir s'est fait baiser sans rien dire. Il ne se touchait pas et sa bite raide ballottait sur son ventre. Ma jouissance n'a pas tardé et j'ai juté tout ce que j'avais dans les couilles au plus profond de son cul.

J'ai retiré ma queue du cul, le trou est resté béant de la largeur de ma queue et le sperme a coulé.

Deux beurs de nos âges avaient assisté à la baise et je les ai invités :

"Toi le tondu, viens enculer mon pote et toi le frisé tu lui baises la bouche !".

Samir n'a pas protesté et les mecs ont pris possession du cul et de la bouche !

Le tondu a pris Samir à quatre pattes. Le tondu avait un gros gland sombre et si sa queue n'était pas très longue, elle était très large. Le frisé s'était installé devant Samir, à sa tête. Samir était complètement cassé et installé à côté du tondu, je ne voyais que sa raie écartelée, ses couilles et sa bite raide collaient à son ventre plat. Le tondu a posé son gland champignon sur le petit trou noir de Samir maintenant refermé. L'anus s'est ouvert sous la pression. Les bords dilatés entouraient le gland et se sont monstrueusement écartés pour absorber le phallus en entier. La bite brune a pistonné le cul de Samir dans de grands mouvements qui la faisait ressortir presque entièrement. Le zob était blanc, tapissé de mon foutre. Lorsque la queue était entièrement dans le cul de Samir, la bite de celui-ci s'agitait de convulsions qui lui faisaient également raidir les couilles. Le frisé dont les petites fesses se contractaient baisait la bouche de Samir. Il lui mettait la queue!
;à fond, les vingt centimètres disparaissaient entièrement dans la bouche et je voyais les poils noirs du frisé frotter les lèvres de Samir.

Quand les deux mecs se sont retirés et ont quitté la pièce après s'être copieusement vidés les couilles dans le cul et la bouche de Samir, celui-ci avait du foutre partout, dans la raie et l'anus encore ouvert et tout autour de la bouche.

Un mec d'une trentaine d'année costaud et viril est entré dans la pièce. Il a retiré sa serviette et libéré un beau braquemart qui ne demandait qu'à regarder le plafond. Il s'est approché du lit sur lequel reposait Samir. Samir s'est retourné, mis à quatre pattes et a tendu son cul à l'inconnu comme une chatte en chaleur. Le costaud a fourré Samir qui a crié un peu quand la bite assez large lui a étiré l'anus !

Il a commencé à le baiser et il m'a dit :

"Mets ta queue dans sa bouche et fais-toi sucer !".

Ca m'excitait de voir la grosse queue bourrer le cul de Samir et de savoir qu'il allait se faire remplir de sperme une nouvelle fois !

Samir avait du mal à me pomper sous les coups de butoir du costaud. Le costaud a crié quand il a pris son pied, Samir m'a serré la queue plus fort entre ses lèvres et j'ai tiré mon coup dans sa bouche !

Le mec est vite parti, Samir avait l'air épuisé. Il est resté allongé sur le matelas, jambes écartées. Sa bite était toujours en érection. Je me suis assis au bord du lit. J'ai caressé sa bite et peloté ses couilles collantes du foutre du tondu et du costaud. Je me suis penché pour sucer cette belle queue !

J'ai léché, sucé, pompé le rutilant phallus que j'avalais entièrement. Samir a vite soupiré, sa queue a libéré du précum et j'ai accéléré le mouvement en faisant une gorge profonde.

Lorsque la queue de Samir a passé derrière ma glotte, il a gémi encore plus fort. J'ai reçu dans la gorge un flot de sperme, un véritable torrent de plaisir qui m'a presque fait m'étrangler.

Samir m'a proposé d'aller prendre une douche, m'a offert un thé à la menthe au bar et nous sommes rentrés à la cité universitaire pour y rejoindre sa chambre.

"Si tu avais envie de ça" ai-je dit à Samir, "tu n'avais pas besoin de moi et du pari".

"Si ! Je réalise mes fantasmes ! Voir baiser un mec mignon et en retour me faire sauter comme une salope ! Mais ce n'est pas fini, tu me dois encore cette nuit et la journée de demain ! Ca t'a pas plu de m'enculer ?".

Je l'ai rassuré ! On s'est reposé un peu dans sa chambre et vers 20 heures, Samir m'a demandé si j'aimais le couscous et sur mon affirmation, il m'a invité au restaurant.

Samir m'a raccompagné dans ma chambre pour que je m'habille.

Il a choisi mes vêtements, un tee-shirt et un jeans serré sans slip ! Il s'est habillé dans le même style et je l'ai trouvé très bandant !

Samir m'a emmené dans un restaurant dans le 3ème arrondissement, dans une ruelle. Il y avait peu de table et que des mecs. Il connaissait le patron et les serveurs tous arabes et ces derniers étaient très sexy, leur braguette était très tendue !

Un des serveurs qui s'appelait Momo était très prévenant et aux petits soins. Arrivé au dessert, il nous a offert un thé à la menthe et Samir lui a demandé si je lui plaisais.

Momo dont le visage s'est éclairé encore plus a répondu par l'affirmative et Samir lui a dit crûment :

"Tu veux l'enculer ?".

"Ok" a répondu Momo s'en s'occuper de mon avis et il a ajouté "dans l'arrière cuisine dans cinq minutes les derniers clients s'en vont".

Samir m'a fait signe de le suivre dans la pièce en question.

"Déshabille-toi ! La queue de Momo tu vas la sentir ! Mais tu ne vas pas regretter !".

Je me suis foutu à poil et Momo est entré dans la pièce. Il m'a regardé, s'est approché, m'a tripoté la queue et peloté les fesses en me titillant l'anus avec un doigt.

Puis il a descendu la fermeture éclair de sa braguette et a sorti sa queue brune circoncise et déjà bandée, un sacré beau phallus !

"Suce la un peu !" m'a dit Momo sous le regard de Samir qui avait lui aussi sorti sa queue.

Je me suis agenouillé à ses pieds et j'ai ouvert la bouche sur la belle bite qui sentait un peu la pisse mais qui avait bon goût !

"Retourne-toi maintenant, appuie-toi sur la table et écarte bien les jambes ! Je vais t'enculer comme une salope !".

Momo m'a écarté la raie et a craché dans mon sillon. J'ai senti sa salive sur mon trou et des doigts qui me l'ont élargi. J'ai senti le gland brun sur mon anus et d'un coup de reins magistral l'arabe m'a enfilé sauvagement, m'enfonçant sa bite jusqu'aux couilles et m'écartelant les entrailles !

J'étais bien pris et je jouissais du cul sous les coups de bélier ! Une porte a grincé et j'ai vu entrer dans la pièce le patron du resto, un arabe un peu plus vieux que nous, gras et ventru. Il a sorti lui aussi sa queue de son pantalon. Il était bien monté et s'est branlé en me regardant me faire mettre.

"Tu ferais mieux d'enfiler Samir ! Il est aussi salope que moi !" ai-je dit parce que je n'avais pas envie de me faire baiser par ce gros lard.

Le patron qui s'appelait Abdel, s'est retourné vers Samir. Samir se branlait en me regardant me faire niquer et il avait descendu son jeans et son slip sur ses cuisses.

Abdel lui a foutu une main au cul. Samir s'est laissé faire et a même obéi sans rechigner quand Abdel lui a dit de se foutre à poil complètement et de s'allonger dos sur la table sur laquelle je m'appuyais.

Abdel lui a relevé les jambes et lui a foutu un doigt dans le cul après l'avoir humecté de salive. Samir a gémi et Abdel en le traitant de salope a dirigé son gros boudin raide et sombre entre ses fesses. Samir a crié, a tenté de se dégager du membre, mais le patron du resto était costaud.

"On se calme ! Je t'ai pas encore tout mis !" a crié Abdel.

Samir a encore crié un peu. Le gros ventre reposait sur le ventre de Samir et on ne voyait même plus sa bite bandée. Samir les jambes complètement écartées a commencé à gémir sous le pilonnage et le ramonage soutenu de son baiseur.

Momo après m'avoir claqué les fesses tout en me baisant a fini par attraper ma queue et me l'a caressée tout doucement.

Momo a poussé un soupir et une vague de chaleur humide a envahi mes intestins.

Momo m'a libéré et m'a fait retourner pour me sucer la queue. Il m'a pompé en me mettant un doigt dans le cul plein de son foutre ! Je n'ai pas tenu plus de deux minutes et je me suis vidé dans la bouche de Momo qui a presque tout avalé.

Abdel baisait toujours Samir qui gémissait de plaisir et il a dit à Momo :

"va chercher Bambou en cuisine, il doit avoir fini la plonge"

Pendant que je reprenais mes esprits, les fesses humides et collantes, j'ai vu un grand noir très jeune et très mince, torse nu imberbe et seulement vêtu d'un short gris très large qui tenait uniquement par ses hanches.

Bambou a regardé son patron baiser Samir et une bosse proéminente a déformé la braguette de son short.

Abdel a poussé des petits cris de satisfaction en éjaculant dans le cul de Samir. Il a retiré sa bite luisante de sperme du cul de Samir. J'ai vu le trou du cul de Samir béant et gras de foutre entre ses jambes relevées. Abdel a quitté la pièce en se rebraguettant.

Bambou s'est positionné devant la table après avoir retiré son short sous lequel il ne portait rien ! Son sexe rigide ressemblait à celui d'un étalon, la longueur de l'épaisse bite la faisait courber sous le poids du gland plus large que la queue. Ses couilles imberbes étaient rondes et tendues par l'érection !

Aidé de sa main droite fine et noire, Bambou a dirigé son phallus vers l'anus dilaté de Samir qui a gémi d'impatience.

J'ai vu le membre sombre et viril pénétrer le cul de Samir. La bite faisait bien 25 centimètres et a entièrement envahi les entrailles de Samir. Le ventre plat de Bambou frottait les couilles de Samir dont la bite s'était redressée et se contractait sous les coups de reins du jeune cuisinier. J'ai reculé pour voir le spectacle par derrière. Bambou agitait ses petites fesses. Bambou était très grand et pour que sa bite soit à la bonne hauteur, il avait écarté les jambes. Sous les jolies petites fesses, je voyais ballotter les burnes noires !

Le sexe noir faisait jouir Samir qui poussait de petits cris de fille. Cela m'excitait et je me suis approché de Samir et j'ai penché la tête sur son ventre pour le sucer. Je l'ai pompé à fond en lui pelotant les couilles. Bambou s'est agité avec violence. Il a poussé un petit cri en bloquant sa bite bien au fond du cul de Samir. Il remplissait de foutre le ventre de Samir. J'ai senti Samir se crisper et j'ai reçu dans la bouche une bonne quantité de semence.

Le jeune noir a renfilé son short et est parti sans un mot.

"quel pied !" m'a dit Samir en se relevant et il a ajouté "ça va toi ?"

Je l'ai rassuré et il m'a encore dit alors que je voyais le sperme couler le long de ses jambes :

"ok, car on va encore avoir la visite de Moncer, l'autre serveur et de Petit Pierre le deuxième plongeur noir".

Moncer avait à peu près nos âges, il n'avait pas l'air du tout homo. Il était trapu et costaud. Quant à Petit Pierre, je l'avais aperçu de loin au fond des cuisines, il était très jeune, mince et de taille moyenne. On s'est assis à poil sur de gros sacs qui devaient contenir du linge.

Effectivement les deux mecs sont entrés dans la pièce quelques minutes après. Moncer était en jeans dont la braguette était ronde et tendue. Petit Pierre était torse nu et portait pour unique vêtement un short d'athlétisme bleu ciel, trop étroit pour lui. On devinait de belles fesses rondes et une queue qui avait du mal à rester discrète.

"on n'est venu vous enfiler et tirer un coup dans vos culs de salope !" a dit Moncer en ajoutant pour le plongeur : "tu veux enculer lequel ?"

"le blanc ! je vais lui péter le cul !".

"ok, on lime et on change de temps en temps de trou !" a dit Moncer qui nous considérait comme des objets.

Moncer a ouvert sa braguette et sorti une belle queue bandée brune et circoncise. Quant à Petit Pierre, il a fait glisser son short sur ses jambes. Il ne portait pas de slip, il l'a retiré. Il était aussi bien monté que Bambou bien que très jeune. Il était circoncis et son gland pointu était aussi noir que tout le reste. La bite au repos pendait sur de belles petites couilles imberbes et ressemblait à une petite trompe d'éléphant.

"suce !" m'a dit le petit noir en mettant sa queue à hauteur de ma bouche.

J'ai pris la bite entre mes lèvres. Petit Pierre a vite bandé et je lui ai pompé la bite qui a rapidement pris une belle forme. Samir à mes côtés dégustait goulûment le sexe de Moncer.

Moncer nous a fait allonger à plat ventre sur le carrelage. Le jeune noir s'est couché sur moi en me faisant écarter les jambes. Il a dirigé sa bite dure entre mes fesses. Le gland a frôlé mon anus, j'ai gémi et le jeune noir a ricané et a donné un coup de reins sec et m'a empalé de toutes ses forces.

A côté de moi, j'ai entendu Samir gémir, j'ai tourné la tête pour le voir se faire défoncer le cul par Moncer couché sur lui et qui le pilonnait avec rage !

Petit Pierre et Moncer nous ont baisé tour à tour. Ils nous ont limés longtemps et je prenais mon pied ! C'est Petit Pierre qui a joui dans mon cul en me prenant sur le dos ! Il a juté longtemps dans mon bide et la chaleur du sperme et les jets de propulsion m'ont excité au point de me faire tirer mon coup sans me toucher la queue !

Moncer a libéré Samir. Samir avait du foutre sur le ventre et Moncer la queue luisante !

On s'est rhabillé, on était crevé et repus ! Samir a payé la note à Abdel qui l'a plaisanté en lui disant :

"le foutre était offert par la maison".

Nous sommes rentrés à la résidence et Samir m'a dit :

"on va aux douches et après, j'aimerais bien que tu viennes dormir avec moi, mais tu n'es pas obligé, le pari est fini, merci pour avoir réalisé tous mes fantasmes !

Samir et moi nous sommes restés amants et raisonnables car comblés l'un par l'autre dans nos désirs amoureux et sexuels ...

MIKA YNEG

mgeny@aol.com

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