Cyrillo

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Le sondage

Il y a des mecs qui pour gagner leur vie vont de porte en porte, un pc portable sous le bras en posant des questions bidons dans le cadre d'un sondage.

Un matin l'un d'eux sonne chez moi. J'hésite à ouvrir : j'ai une gueule de bois à damner un saint car j'ai passé une nuit de glandeur esseulé à qui il n'est permis de choisir qu'entre la télé et la bouteille. Bien entendu j'ai opté pour les deux jusqu'au moment où c'est la bouteille qui a bu la télé .

Du plomb dans l'aile, je me décide à ouvrir. Il me faut quelques secondes pour faire la mise au point et comprendre à quel loustic j'ai à faire. Il présente bien ; droit comme un "I" planté dans un superbe costard velours ; tout sourire - et quel sourire ! - une barbe bien dessinée, ni rase, ni fournie, veloutée quoi, comme son costard.

Il commence à débiter, probablement sur l'objet de sa visite auquel je n'entends pas grand chose, avec un rictus un peu moqueur. Pour ma part je suis transi de froid et je finis par saisir la raison de son amusement : il gèle dehors et je suis sur le pas de ma porte avec pour seul vêtement un slip qui a pas mal vécu. Aussitôt, je l'invite à pénétrer dans mon foutoir et lui suggère de s'installer sur le canapé où traînent quelques revues pornos, mes chaussettes et le cadavre de la bouteille.

Confus à en crever, je me hâte de débarrasser mais il m'arrête aussitôt d'un geste en soulignant que c'est très bien comme ça. J'attrape au vol un tee-shirt sur le dossier en vue de l'enfiler, mais la encore il m'en empêche ; "Non, non c'est très bien comme ça."
Il me demande de m'installer à ses côtés ouvre son pc et entame son sondage qu'il dit porter sur les produits laitiers.

Première question : Vous aimez les produits laitiers ?
- Ben ouais.
Il pianote la réponse
Seconde questions : Vous aimez le lait ?
- Aussi...
- Et le yaourt ?
Il me regarde droit dans les yeux et sans pouvoir l'expliquer, je me mets à bander monstrueusement.
- Si ça vous tente j'ai un échantillon à vous faire goûter, dit-il, mais je dois me mettre à l'aise avant tout.
Je vois tout de suite ou il veut en venir. Et puisque je manque de calcium !
- Et si l'échantillon me plaît, dis-je, j'ai le droit de vous faire goûter le mien ?
- T'as le droit de me faire goûter à tout mon bonhomme !

On se redresse, il plonge aussitôt sa main dans mon slip pour s'emparer de ma queue.
Je l'arrête : "Hé là ! Lequel d'entre nous doit goûter à l'autre le premier ?"
Il obéit et ôte sa cravate, tombe la veste tandis que je me charge de la chemise.
Son torse est finement musclé, velu sans excès, la peau en est brûlante et tannée. Sans plus attendre je le savoure à pleine bouche, le brasse à pleines mains, mordille au passage ses mamelons.

Mon sexe frotte contre le velours de son pantalon. Dans un éclair j'envoie au diable le reste de ses vêtement qui me séparent de son corps tout entier. Enfin je suis face à sa queue, sa grosse queue luisante qui n'attend plus que ma gorge. Je l'avale jusqu'à la glotte à plusieurs reprises puis du bout de la langue je creuse le moindre sillon qui dessine son gland. Je le force à s'asseoir sans cesser ma dégustation, lui écarte les cuisses et les surélève de sorte que son anus soit en partie accessible. Ses couilles sont pleines à craquer, je les triture un moment, et délaissant un bref instant son sexe gonflé à bloc, les asticote d'une langue paresseuse tandis que de deux doigts je m'attaque à son trou du cul.

J'entends le sondeur gémir, haleter. Il n'en a plus pour longtemps.
J'en reviens à le pomper.
Violemment il se décharge dans ma bouche et je m'efforce d'y retenir sa semence.
Il est encore pantelant de plaisir quand je le presse de se retourner, à genoux, cul offert. Là je lui desserre ses fesses duveteuses et recrache sa semence dans la raie. Ainsi graissé je travaille son trou, tantôt avec les doigts, tantôt avec la langue, jusqu'à ce qu'il me supplie d'y aller avec plus d'épaisseur encore. Sans hésiter je m'empare de la bouteille et l'y glisse avec précautions. Il râle de contentement.

Le moment est venu, j'empoigne ma queue et l'enfonce d'un coup bien profondément , la retire et recommence plusieurs fois de suite. Je le sonde comme un forcené, son four bouillant ne me lâche plus, j'adopte alors une cadence effrénée retenant in extrémis l'instant crucial. Enfin, dans un dernier effort, je me déracine, glisse sous le corps mon partenaire et d'une main sous sa nuque l'encourage à me sucer.

Il se léchait les lèvres encore toutes collantes de mon sperme quand il m'a dit : "C'est ce que j'appelle un sondage en profondeur... "
- Au fait, j'ai demandé, il ne se résumait qu'à trois questions ton sondage ?
- Non, mais je repasserai pour te poser les autres.

meyril

meyrilcord@hotmail.com

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