Les aventures les plus torridesLes aventures les plus torrides n'attendent pas toujours les corps dénudés de l'été pour vous tomber dessus. Je me souviens d'un hiver glacé en Bretagne, alors que j'étais étudiant. J'avais repéré dans mon amphi, un jeune homme prénommé Louis. Il était mince et souple comme un roseau. À en juger par sa coiffure, il devait passer de longs moments le matin devant sa glace, à essayer de dompter sa chevelure brune et bouclée. Une barbe naissante, faussement négligée, donnait quelques airs d'adulte à son visage juvénile. Il était étudiant en psychologie, ce qui laissait supposer un petit bagage de névroses et autres complexités en tous genres, rien pour me déplaire. Il affichait en permanence un sourire et une assurance sans faille, deux ingrédients qui m'entraînaient à cette époque dans un désir immense. L'idée de l'approcher me terrorisait, mais celle de renoncer à l'approcher me semblait encore plus effrayante. Je rêvais de lui, je passais de longues heures à le guetter, je me réveillais la nuit en pensant à son corps nu et sa fine bouche... Après plus de trois mois d'observation silencieuse, poussé par la peur, le vice et l'envie, je me décidais finalement à passer à l'attaque. Il ignorait que j'en savais sur lui beaucoup plus que je n'allais le prétendre. En fait, je le connaissais déjà par coeur. Par un hasard soigneusement contrôlé, je me retrouvais assis à côté de lui dans le restaurant du campus. Je sympathisais avec lui, facile lorsque vous connaissez les amis, les habitudes et les lieux de sortie de votre cible... L'opération de conquête fonctionnait. De près, il était encore plus beau que je ne l'imaginais dans mes songes les plus torrides. Sa peau était un appel aux baisers, ses cils immenses encadraient des yeux qui brillaient comme une puissante invitation à la débauche. Il se savait charmant et se découvrait charmé, comme un chasseur qui se découvre une vocation en endossant le rôle de la proie. Nous décidâmes de ne pas nous rendre en cours. Le programme n'était pas expressément formulé, mais nous étions de toute évidence deux à vouloir la même chose sans oser le dire : du sexe. Mais pas n'importe quel sexe. Celui que l'on pratique sous la couette dans le froid humide d'un appartement d'étudiant mal chauffé, celui qui vous réchauffe le corps et l'âme, celui qui pourrait transformer l'amant d'un instant en un compagnon de route. Sur un prétexte musical, il m'attira chez lui. Je ne lui opposais aucune résistance. Il voulais me montrer des extraits du film Rocky Horror Picture Show, que je connaissais aussi par coeur. Nous faisions partie de cette étonnante génération, que l'on peut classer en plusieurs catégories : ceux qui connaissent ce film était forcément ouverts d'esprit. Ceux qui en connaissaient les répliques et les paroles étaient forcément des dépravés. Nous étions deux à connaître chaque seconde du film. Nous étions subjugués par la scène où le Frankenstein des back room exhibe sa créature, un jeune homme blond, outrageusement musclé et moulé dans un mini short doré. Malgré son accoutrement ridicule et l'univers farfelu du film, le jeune homme, rocky, dégage un érotisme magnétique. Cet appel au sexe n'avait pas échappé à Louis qui essayait maintenant de dissimuler une bosse naissante sous son jean taille basse. Il ne tenait plus et voyant que j'étais capable de faire durer le plaisir du film jusqu'au bout, il se pencha vers moi et m'embrassa langoureusement. Il faudrait donc renoncer à voir la scène finale, mais j'étais prêt à y consentir. Il s'appliquait à enlacer sa langue avec la mienne avec application. Ses baisers étaient des viols de la bouche, qui vous laissaient sans souffle, avec une furieuse envie d'y retourner. La peau de son visage était encore plus douce que je ne l'avais imaginée. S'il s'était placé jusqu'ici dans la posture agréable du courtisé immobile, il entreprit de me montrer comment les caresses peuvent venir récompenser quelques mois de patience et de nuits blanches. Jamais le contact d'un épiderme ne m'avait semblé si sensuel, si fusionnel, je frôlais l'orgasme. Il passait ses mains sous mon T-Shirt pendant que nous roulions sur son tapis. Je me retrouvais au dessus de lui, les mains enserrant sa taille et ses bras autour de mon cou. Je sentais son sexe tendu, chauffé à blanc, prêt à bondir hors de son short. Mais j'avais bien prévu de lui faire payer le temps qu'il avait mis à poser les yeux sur moi. Je lui retirais sa ceinture, ouvrais le bouton de son pantalon, mais laissais la fermeture éclair fermée. Il devrait libérer son sexe par ses gestes et m'offrir sa bite pour se faire pardonner. Sa constitution légère lui offrait une souplesse et une vivacité bien pratique pour se contorsionner. Il ne voulait pas retirer sa langue de ma bouche et commença à bouger dans tous les sens. Ses mains passaient très vite de mon dos à mon torse, de mon torse à mon cou, de mon cou à mon entrejambe, sans toutefois s'arrêter pour jauger la taille de la bite qu'il se prendrait peut-être dans le cul dans quelques instants. En fait, rien n'était décidé sur la suite des évènements. J'étais tout aussi prêt à le pénétrer qu'à l'accueillir, c'est sans doute le secret d'une bonne baise entre garçons. De mon côté, je le caressais à travers son boxer blanc, j'empoignais sa bonne bite et la pressais entre mes doigts à chaque fois que sa langue se rapprochait de mon oreille. Lorsqu'il me mit la langue dans l'oreille, je sentis un frisson me parcourir tout entier. J'empoignai alors sa queue directement dans son boxer. Elle était chaude comme de la braise. Une peau tendre et douce enrobait un membre raide comme du bois. Il se décida enfin à m'offrir son sexe et retira son boxer. Ma langue quitta sa bouche pour descendre lentement vers sa queue. Mais elle allait auparavant parcourir tout son corps. Son cou, dans lequel je sentais battre son coeur, j'aurais pu lui croquer la pomme d'Adam, mais je m'en prenais à son torse, imberbe et ferme, délicatement soutenu par de discrets pectoraux. Mes lèvres engloutissaient maintenant son téton droit. J'en saisissais l'extrémité entre les dents et mordillait la chair rouge et luisante. Il se mit à pousser des petits gémissements entrecoupés de profondes inspirations. Il semblait comme possédé par le diable, se tordait dans tous les sens mais en redemandait lorsque j'éloignais ma mes dents de son torse. Il était temps de changer d'endroit : ma langue glissa sur son ventre et s'arrêta quelques instants dans son nombril. La zone n'est pas spécialement érogène, mais je savais que d'ici, il pouvait sentir mon souffle chaud sur son gland rougeoyant. C'était maintenant à mon tour de le faire attendre. Ma bouche coula vers son sexe, l'effleura sans vraiment le toucher. Ma langue était trop occupée à suivre le pli délicat de son aine et à glisser vers ses couilles, que je commençais à lécher du bout de la langue. Pas un endroit de ses bourses n'échappa à mon entreprise de lèche soigneuse. Ses bourses étaient souples et bien remplies, je les aspirais et me retrouvais avec sa paire de couilles dans la bouche. Je le branlais tout en faisant tourner ses deux grosses boules avec ma langue; je les aspirais... il se tordait toujours un peu plus. Lorsqu'elles furent bien humides, je les recrachais et les regardais se recroqueviller au contact de l'air frais. J'allais maintenant lui réchauffer la bite, pour créer un chaud-froid dont il se souviendrait longtemps. J'engloutis sa bite toute entière, d'un seul trait. Il se dressa sur ses genoux et me laboura la bouche en poussant des cris à peine étouffés. Lorsqu'il atteint mes amygdales, il se retira brusquement, il avait peur de gicler et préférait s'accorder une pause. Nos corps luisants de sueur s'affalèrent sur son lit. Dans la pénombre, son torse haletant réfléchissait la lumière rasante d'un ciel voilé d'hiver. Sa respiration ralentissait, il se mit à grelotter et se blottit contre mon corps qui devait lui sembler immense. Le silence était entrecoupé de nos souffles. Entre deux respirations, il s'empara de ma bite. La cadence de nos inspirations reprit de plus belle. Il me branlait avec dévouement, puis approcha sa bouche de ma queue. Sa bouche entourait complètement mon membre, sa langue lui servait de terrain d'accueil, chaud et humide. Il me suçait avec ardeur, tout en me palpant les couilles. Je l'empoignait par la nuque et entrepris de lui faire avaler ma bite toute entière. Il ne s'étouffa pas ni ne manifesta de signe de fatigue, il pompait sans relâche. Pendant que sa main gauche me tenait par les couilles, sa main droite se frayait un chemin entre mes cuisses. Je sentis un doigt légèrement humecté me glisser sur la rondelle, fraîche et accueillante. Il me pointait du doigt et dessinait un mouvement circulaire. On savait donc maintenant lequel des deux allait se faire sodomiser, c'était moi et je m'en réjouissais d'avance. Les mouvements de son doigt irradiaient mon cul. Je te tenais maintenant cambré, la tête dans l'oreiller, tout offert à ce doigt qui annonçait l'arrivée imminente d'un braquemart correctement proportionné, un peu plus large au milieu qu'à la base et au gland. J'étais à mille lieux de m'imaginer quelles sensations pouvait procurer une bite de cette forme. Il s'empara d'une capote et d'un tube de gel, et s'empressa de m'enfiler avec application. Je sentais son ogive me défoncer le fondement. Lorsqu'il me la mettait toute entière dans le cul, je visualisais ma rondelle se refermer sur la base plus étroite de sa bite, puis dans son mouvement de va et viens, je sentais mon cul se dilater à nouveau. Inspire, expire... dilate, contracte... Il me limait avec une parfaite maîtrise du geste, en jouant à la fois sur les rythme de la musique et sur des accélérations qui avaient le don de m'exciter au plus haut point. Je sentais ma jouissance poindre, comme une onde qui s'envole du fondement pour gagner tout le corps et faire exploser la tête. Je lui fit signe que j'étais prêt de jouir, ce qui provoqua chez lui les premiers signes d'un orgasme naissant. Je criais maintenant, il poussait lui aussi des cris, puis je sentis sa bite se contracter en même temps qu'il criait. Il était en train de jouir dans mon cul, de me remplir de foutre. De sa main droite, il me branlait. Il se retira et la capote resta en place. Au moment où je jouissais, il la retira violemment, m'offrant une dernière dilatation pour la route. J'ai jouis comme jamais. Une semaine sans me branler, une excitation phénoménale... j'avais maculé son lit de sept ou huit bonnes giclées de foutre, pour s'amuser il me vida le contenu de la capote sur le torse. Puis baignés de bonheur et gluants de sperme, nous nous enlaçâmes avant de nous endormir l'un contre l'autre. G&Klavleb88@yahoo.fr Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |