Une levée de réserve bien particulière -2Une levée de réserve particulière. La vengeance... Après cet épisode, je reprends ma voiture. J'ai mal au cul. Je me sens souillé, humilié, rabaissé au stade de simple trou à bite. Sur la route qui me conduit à mon bureau, je ne cesse de ressasser ce que Kamel vient de me faire subir, et comment je vais me venger de cet affront. Mille plans s'échafaudent dans ma tête, mais mes réflexions sont troublées par le souvenir de cette sodomie sauvage. Toute la journée, je n'arrive pas à me concentrer sur mes tâches professionnelles. Mon assistante me fait plusieurs fois remarquer que je ne suis pas du tout à l'écoute, que je semble lointain, préoccupé. Pour la première fois depuis le début de notre collaboration, je l'envoie paitre. Aussitôt après, je regrette mon geste. Je décide de quitter le bureau plus tôt, n'étant absolument pas concentré, et après m'être excusé auprès de mon assistante, je pars faire un tour dans le parc situé à côté de ma société. Je m'installe sur un banc, ferme les yeux et tente de faire le vide dans ma tête. Faut-il se venger de cet outrage ? Oui bien sûr !!! Mais comment ??? Pourtant, j'aime les hommes, depuis peu c'est vrai, mais lorsque cela est consenti et dans le respect de l'autre. J'ai rencontré il y a peu un garçon formidable dans le RER, il s'appelle Romain et nous vivons une formidable histoire d'amour entre hommes. Il m'a fait découvrir les plaisirs masculins, et grâce à lui, j'ai découvert aussi que mon meilleur ami, Nicolas, était lui aussi attiré par les hommes en général, et par moi en particulier. Nous avons d'ailleurs vécu tous les 3 une formidable soirée entre hommes, il y a peu. Nicolas. Je vais l'appeler, je vais lui parler de ce qui vient de se passer... Je saisis mon portable et appelle mon ami. Comme toujours, il est sur messagerie. - Salut Nico, c'est Matt. Rappelle-moi, il faut que je te parle. C'est urgent. Après ce message, je quitte le parc et vais m'installer à une terrasse de café en attendant son appel. Pendant que je sirote mon verre, un plan germe insidieusement dans mon esprit. Je veux lui faire subir ce que j'ai subi. Je veux que cette petite pute de Kamel se souvienne dans son cul que l'on ne me baise pas ainsi impunément. Ma vengeance va être terrible pour sa bite et son cul... Mon portable vibre dans ma poche. C'est Nicolas. - Allô Nico. - Oui, Matthieu, que se passe t'il ? Tu avais l'air super nerveux dans ton message. Il n'est rien arrivé à Marie ou aux enfants ? - Non, de ce côté-là, tout va bien, pas de soucis. - C'est ton job ? - Non plus, c'est moi. - Que t'arrive t'il ? - Je ne peux pas en parler comme ça, on peut se voir aujourd'hui ? - Bien sûr, où veux tu que nous ne retrouvions ? - Passe à la maison, je t'expliquerai. - On dit dans 30 minutes ? - Ok, si je ne suis pas encore arrivé, tu as les clefs, entre et installe toi, ok ? Je raccroche, paie ma consomation et récupère ma voiture. Comme prévu, la circualtion est encore danstesque, et je mets 45 minutes à rejoindre mon domicile. Nicolas est déjà là, faisant les cent pas dans mon salon. - Ah te voilà, dit-il en me donnant une accolade fraternelle. - Tu veux boire un truc ? - Non ca va merci, alors dis moi ce qu'il se passe ? Je rougis, les mots n'arrivent pas à sortir. Je me pose sur le canapé, et j'éclate en sanglots. Nicolas se précipite vers moi. - Matthieu, qu'est ce qui ne va pas ? Je n'arrive pas à contrôler mes pleurs. Je sens toute la haine, l'humiliation qui rejaillit de moi comme trop retenue depuis ce matin. Nicolas me caresse doucement la nuque, me relève et me serre contre lui. Je pose ma tête dans le creux de son cou et pleure toutes les larmes de mon corps. - J'ai été violé par un mec ce matin, réussis je à dire entre deux sanglots. - QUOI ??? - Tu sais mon studio de Châtillon, j'y suis allé ce matin pour faire la levée des réserves, et je suis tombé sur mon locataire, à poil dans son pieu. Après la visite avec la responsable de l'immobilier, il m'a dit vouloir voir certains points avec moi et c'est là qu'il m'a coincé et qu'il m'a enculé comme un sale petit PD. - Tu déconnes Matthieu !!! toi tu t'es fait violer par un mec ??? Mais il faut aller lui casser la gueule à cette petite pute. Mes sanglots se calment, je me détache du corps chaud de Nicolas. Après m'être essuyé le visage baigné de larmes, je le regarde avec détermination. - Non, je ne veux pas lui casser la gueule... - Mais Matt, tu ne... - Je veux lui casser le cul. Nicolas me regarde, interdit. - Tu délires Matt, tu vas y retourner pour le baiser ??? - Oui, comme il m'a baisé et tu vas venir avec moi. - Quoi ???? - Tu vas m'aider Nico, tu vas m'accompagner chez lui et on va le baiser tous les deux. - Je ne comprends pas, Matt, et je ne suis pas certain que ce soit la meilleure des solutions... - Tu veux que je te montre ce que cela fait d'être pris pour un trou à bite ? sans ménagement ? en force ? tu veux ressentir la douleur et l'humiliation qu'il m'a infligée ? - Non, Matt, je préfère garder le souvenir de notre nuit avec Romain. - Tu es mon ami, Nico, tu m'as toujours dit que tu irais au bout du monde pour me venir en aide. - Oui Matt, mais là, on va... - On va au bout du monde Nico, - Ok Matt, je suis avec toi. - Alors écoute moi, voilà ce que l'on va faire... Après avoir expliqué mon plan, rectifié deux trois détails, et rassemblé le matériel nécessaire, Nicolas et moi partons en direction de Chatillon. Dans ma voiture, je sens Nicolas tendu, stressé par ce que nous nous apprêtons à commettre. - Tu es certain de vouloir faire ça Matt ? - Oui. Ma voix est froide, le ton ne souffrant pas de réponse. Je vais me venger, et ma vengeance va être terrible. Nicolas me lance parfois un regard en coin, mais il peut lire sur mon visage toute ma détermination à laver cet affront. Nous arrivons à l'appartement de mon locataire. Parfait, il n'est pas rentré, les volets sont mi clos et il n'y a pas de lumière. Je tape le code de la porte et pénètre dans le hall, suivi de près par Nicolas, un sac à la main. Je sors la clef de l'appartement et m'apprête à ouvrir la porte. - Attends Matthieu, sonne d'abord, imagine qu'il soit déjà là ? - Oui tu as raison. Je sonne. Pas de réponse. Je sonne encore une fois, toujours rien. - Bon, on y va. J'ouvre la porte, et pénètre dans l'appartement. Il fait sombre. Rapidement, je m'assure qu'il est bien vide de son occupant. Je baisse les volets complètement et allume la lumière. C'est le même bordel que ce matin. Il y a encore la capote du forfait qui traine au sol. Je la récupère, elle va me servir pour ma vengeance. Je sors le matériel prévu pour l'exécution de mon plan. Nicolas est fébrile, je le sens. - T'inquiète pas Nico, ca va être un mauvais moment...pour lui, dis je le visage déformé par un sourire satanique. - Si tu le dis, je te crois. - Allez mettons nous en place. Toi dans la salle de bains, moi derrière la porte d'entrée. Coupe ton portable. Mets ta cagoule, et planque-toi. Et plus un mot. - Ok Je fais de même, referme la porte à clef, et me poste derrière la porte d'entrée. J'ai coupé l'électricité pour que Kamel ne puisse pas allumer en entrant. L'attente commence. Nous restons stoïques à nos places. Nous ne nous voyons pas mais je sens la présence de Nicolas à quelques mètres de moi. J'entends sa respiration, plus rapide qu'à l'habitude. Je régule la mienne sans problème. Je suis décidé à aller jusqu'au bout de mon plan. Le temps semble suspendu. Un rapide coup d'oeil à ma montre, et les aiguilles luminescentes m'indiquent qu'il est 19h30. J'espère juste que ce petit salaud n'a pas décidé de sortir ce soir. J'entends la porte de l'ascenseur s'ouvrir. Je me plaque au mur. C'est un voisin qui rentre chez lui. L'attente continue. L'ascenseur s'ouvre de nouveau. Encore un voisin. Il est 20h00 à ma montre. J'entends Nicolas bouger un peu, chercher une position de repos. Le silence pesant de l'appartement n'est perturbé que par les rares bruits de la rue qui nous parviennent. Un voisin ressort, ses pas s'éloignant et claquant dans l'escalier. La porte de l'ascenseur chuinte à nouveau. Un trousseau de clef qui tinte. Des pas qui s'arrêtent devant la porte. Une clef qui s'introduit dans la serrure. Une gâche qui se libère. Une poignée qui se baisse. Le Voilà. L'heure de la vengeance a sonné. Ma vengeance va s'opérer. La porte s'ouvre, une main glisse sur l'interrupteur, l'actionne plusieurs fois sans résultat. - Ah merde, les plombs ont sauté, fait chier... Kamel entre à tâtons dans son appartement. Il referme la porte. Par l'embrasement et grâce à la lumière du couloir, j'ai repéré où il se tenait, et je sens que Nicolas est prêt à bondir sur lui. La porte claque derrière Kamel. Une lampe torche puissante se braque sur le visage de Kamel qui ferme les yeux pour se protéger. - Mais... Il n'a pas le temps de finir sa phrase. Je passe un bandeau noir pour l'aveugler, pendant que Nicolas lui saute dessus pour le plaquer au mur. Aussitôt après, je baisse sa veste sur ses bras pour le bloquer, Kamel tente de se débattre mais Nicolas lui écrase le visage contre le mur et pour l'empêcher de crier, lui enfourne un des slips sales trouvés par terre dans la bouche. Profitant qu'il soit immobilisé, je vire sa veste, tire ses bras en arrière et avec une corde à noeud coulissant confectionnée chez moi, je lui entrave les poignets. En moins de 30 secondes, il se retrouve aveugle, bâillonné et entravé. Nous le prenons sous les bras et le trainons jusqu'au lit. Nous le projetons à plat ventre sur la couette. Kamel s'effondre de tout son long, tente vainement de se détacher, ne faisant que resserrer son lien un peu plus fort. Je rétablis le courant pour regarder mon prisonnier. Il est en costume, propre sur lui, le jeune ingénieur commercial que débute dans la vie. Les belles chaussures bien cirées, brillantes, un peu trop pointues à mon goût, m'as-tu vu, jeune branleur.... Il se débat encore et encore, ses liens se resserrent un peu plus. Je me penche à ses côtés. Je travestis ma voix à travers un gadget que j'avais rapporté un jour des USA pour amuser mes enfants. Une voix spectrale, d'outre tombe. - Tu as commis une grosse erreur, et tu vas devoir payer une grosse réparation pour cette erreur... Je lui retire son bâillon. - Putain, mais vous voulez quoi ? Vous êtes qui ? Je sens la peur qui vrille sa voix. Les mouvements de tête désordonnés trahissent son angoisse. - Tu te tais et tout se passera sans mal, sinon, je te refous ton slip dans la bouche, compris ? - Mais... - Compris ? dis-je d'un ton autoritaire. - Oui - Oui Monsieur - Oui Monsieur, répond il avec un filet de voix étranglée par la crainte. Je le retourne sur le dos. Les bras bloqués par son propre corps, il est totalement à notre merci. Je vérifie le bandeau sur les yeux, et assuré qu'il ne bougera pas et garantira notre anonymat, je vire ma cagoule. Nicolas fait de même. Il est un peu pâle mais en me regardant, il reprend confiance et me sourit. - Quelle erreur... - Je ne t'ai pas dit de parler. - Pardon. - Tu peux parler. - Quelle erreur j'ai fait ? - Tiens, tu as perdu ton accent de petite racaille ? tu l'as uniquement quand tu baises ? - Hein ? - Et quand tu es baisé, tu le retrouves ? - Quoi ? quand je suis quoi ? eh, j'suis pas PD moi ? - Tu es sûr de cela ? - Putain, si je vous le dis... - Ce n'est pas ce que les gens racontent ici... - Quoi ? ils disent quoi ces connards ??? - Veille à rester poli, jeune homme, on ne dit pas connards mais voisins, et ce qu'ils disent, c'est que tu reçois beaucoup de garçons ici... - Des mensonges, putain que des mensonges... - Et que même le soir, il y a certains cris très...évocateurs qui filtrent à travers les murs... - et vu tout le matériel ici, capotes, gels, DVD gays, magazines..., on a du mal à te croire. - Ok, ok, oui j'aime bien les mecs, mais uniquement pour leur casser le cul. - Ah bon, tu aimes casser du cul ? - Oui, même que j'ai niqué celui de mon proprio ce matin. Je lui ai bien défoncé la rondelle à ce sale bourge...dit Kamel en souriant. Je m'arme mon poing pour lui coller dans la figure, mais Nicolas me retient. Il me fait " non " de la tête. - En tout cas, dit Kamel, il est pas né celui qui pourra dire qu'il m'a déjà enculé, déclare t'il dans une ultime bravade - Ca suffit maintenant, tu as déjà trop parlé. - Alors, vous voulez quoi ? du fric ? j'en ai pas, vous voyez où je vis ? - On se fout de ton fric, on en a plus que tu n'en auras jamais dans toute ta misérable vie. - Alors quoi merde ? - Reste poli... - J'ai rien, rien à vous donner. - Je sais que tu n'as rien à donner - Alors quoi ? - Nous allons prendre. - Hein ? - Nous ne voulons pas que tu nous donnes, nous allons nous servir nous même. - Putain je comprends rien. - Ca arrive. Et pour couper court à la conversation, je lui remets son bâillon. Il pousse des cris étouffés puis s'immobilise, le souffle court, transpirant sa peur par tous les pores de sa peau. Nicolas, d'un signe de la tête, me fait comprendre qu'il faut passer à la phase 2. J'acquiesce et monte à cheval sur Kamel. Ce dernier pousse un grognement étouffé. Je saisis sa chemise par le col et d'un coup sec, arrache tous les boutons, dévoilant son torse et son ventre. Kamel se cabre, tente de se débattre. Ma main plaque son visage dans la couette. - Tout doux l'étalon des banlieues, tout doux, ce n'est que le début. Je descends de mon destrier d'un soir, et passe mes mains sur son torse. Il est beau mec, musclé sec et torse lisse. Malgré mon esprit vengeur, je profite de ce corps exposé et soumis. Puis je glisse mes doigts sur son ventre, palpant au passage ses abdos fermes. J'arrive à la ceinture. Pendant que Nicolas le débarrasse de ses chaussures et chaussettes, j'ouvre la boucle. Kamel panique. Il cherche à botter du pied ces mains qui le déchaussent et par coup de reins et de hanches, à se débarrasser de ces mains qui ouvrent son pantalon. Nicolas se déshabille entièrement pendant que je bloque Kamel dans ses mouvements désordonnés. Totalement nu, mon ami monte sur le torse de Kamel et se frotte lascivement les bourses sur le torse luisant de sueur de Kamel. Celui-ci ne semble pas comprendre immédiatement d'où provient le chatouillement généré par les couilles de Nicolas sur ses tetons. Puis, d'un coup, il réalise qu'il a un homme nu à cheval sur lui et tente encore une fois par une ruade de s'en débarrasser. Nicolas lui plaque les épaules au lit. Kamel ne bouge plus. Je me déshabille à mon tour. Je constate avec surprise que mon sexe commence à bander. Sans doute la vue de la croupe de Nicolas... Je reprends la ceinture de Kamel et fais sauter les boutons de son pantalon d'un coup sec. Puis je tire le fut par le bas pour mettre Kamel en slip. Je glisse ma main dans son slip et trouve un sexe tout recroquevillé dans sa touffe, les couilles flasques, humides, un sexe bien loin de celui qui m'a pénétré de force ce matin. Je lui malaxe le paquet dans son slip, mais n'arrive pas à le faire bander. La peur est le meilleur contraceptif... - Tu vas bientôt connaitre le plaisir de faire la femelle, sale petite pute. - Hummpf. - Et tu vas bientôt connaitre les sensations de se faire défoncer le cul... - MMMM - Mais avant - MMMMM - Tu vas devenir une vraie fille.... - MMMMMM - Sans un poil.... - MMMMMMM - Toute lisse.... - MMMMMMMM - Toute douce de la queue et du cul.... - MMMMMMMMM - plus une trace de ta toison intime.... - MMMMMMMMMM - Plus un poil autour de ton petit trou... - MMMMMMMMMMM - Comme une pute de porno.... - MMMMMMMMMMMM - Comme une chienne... - MMMMMMMMMMMMM - Regarde, ou plutôt sens... Je passe sous son nez la bombe de mousse à raser que j'ai ramené, et dépose une goutte sous ses narines. - De la spéciale épilation intime...comme ça tu ne seras pas irrité, tu apprécieras la délicatesse et le souci de ton hygiène intime.... Nicolas sourit et s'amuse avec son sexe à dessiner des figures virtuelles sur le torse de Kamel. Il bande de plus en plus fort, et passe son sexe raide sur le visage de Kamel. Je ressors ma main du slip de Kamel. Il est toujours tout mou du gland. - Je vais te débarrasser de ton slip ma grande... Je sors du sac un couteau, le glisse entre le slip et la hanche de Kamel. Il frémit d'effroi au contact froid de la lame sur sa peau.je bascule la lame et d'un coup sec, sectionne l'élastique du slip. Je fais de même de l'autre côté et le slip glisse sur le lit. Je lui lève les fesses, et le débarrasse du morceau de tissu déchiré. Kamel est totalement nu du bas, entièrement à notre merci. Je vais dans la salle de bains, vais prendre un gant humide, une serviette et le rasoir de Kamel. J'étale la mousse sur la touffe de Kamel, une belle touffe serrée, drue, bien noire. Nicolas immobilise bien Kamel et je commence à scalper sa touffe. - Arrête de bouger comme ça, je vais finir par te couper la bite.... Kamel s'immobilise. Je continue mon rasage. D'un coup de serviette, j'efface les dernières traces de mousse. Il a le pubis totalement lisse. Puis j'enduis ses couilles et son entrejambe de mousse et poursuis ma tonte. - Voila, tu as un joli petit sexe d'ange tout doux tout lisse. Maintenant le plus dur, la rondelle. - MMMMMM... - Mais si, tu vas voir, le cul tout lisse, tout frais, plus un poil dans la douche, tu me diras merci plus tard. Nicolas se retourne sur le torse de Kamel. Il saisit les chevilles de Kamel et lui écarte bien les cuisses, m'ouvrant l'accès à son cul. Je découvre la rondelle de Kamel, une rondelle velue, brune, serrée, sans doute vierge. Je dépose une grosse noix de mousse sur son trou. Kamel tente de serrer les fesses, mais Nicolas veille et maintient ses cuisses bien ouvertes. - Ne bouge pas comme ça, je risque de te couper les couilles.... Je passe le rasoir en m'appliquant à bien lui tondre le trou qui se dévoile peu à peu, débarrassé de sa pilosité. Après 5 minutes d'un rasage minutieux, le trou de Kamel apparait au grand jour, oeillet marron tout fripé. - Voilà, tu es toute belle ma grande, prête pour la fiesta de ce soir... Nicolas relâche les cuisses de Kamel, qui retombent lourdement sur le lit. Délesté de sa pilosité virile, il apparait presque comme fragile. Son sexe est encore plus rabougri qu'avant. Seul le gland circoncis semble sortir du ventre, et ses deux couilles lisses désormais forment un coussin de peau gonflé par les deux boules. Je range mon matériel de rasage dans mon sac, jette au sol le gant, la serviette et viens m'allonger à coté de Kamel. - Alors, tu préfères te faire enculer par devant ou par derrière ? comme une fille ou comme un chien, dis-je, en lui ôtant son bâillon ? - Sale fils de pute !!! tu vas voir après ??? - Après quoi ? parce que tu crois que tu seras encore vivant après ? - Hein ? - Tu espères t'en tirer comment ? Nicolas me regarde inquiet. - Tu vas mourir Kamel.... Nicolas se lève d'un coup et me glisse à l'oreille : - Tu fais quoi là ? il n'a jamais été question de le buter bordel !!! - Mais non mec, t'inquiète. C'est une expression. - Fais pas le con, au bout du monde ne veut pas dire n'importe où !!! - Fais moi confiance, je veux juste qu'il découvre le plaisir de la pénétration anale. - Putain vous dites quoi les mecs ? - Monsieur, je te l'ai déjà dit... - Je veux pas mourir... - On meurt tous un jour, et toi, ce sera en jouissant...parce que tu vas jouir du cul, sans te toucher...une dernière giclée et hop, mort.... - Non, dit-il avec un début de sanglot dans la voix - Mais si, mort de honte !!! honte de prendre ses partenaires d'un soir pour des trous à bite, des trous pour ta bite !!! honte de ne pas faire plus attention à ceux qui t'ont fait confiance, à ceux qui voulaient juste de l'amour, pas que du cul !!! Honte de ne chercher que ton plaisir, sans jamais apprendre à en donner, sans jamais chercher à partager !!! Honte de toi, de ce que tu es, un petit con qui ne pense qu'avec son gland, alors qu'il a par ailleurs un cerveau, siège des émotions !!! Quand nous en aurons fini avec ton cul, quand tu vas être rempli de sperme, quand ta rondelle va mettre 3 jours à se refermer, alors tu réfléchiras peut être autrement !!! Kamel est en larmes sous son bandeau. Nicolas me regarde circonspect et rassuré à la fois. - Comme tu ne m'as pas répondu sur ta position préférée, on va te faire tester les deux. Allez, on va commencer par devant. Tu veux commencer, partenaire ou je déflore le joli petit trou du cul de ce PD bientôt passif ? - A toi l'honneur... - Merci, c'est fort aimable. Allez Kamel, on ouvre ses cuisses et on se met en position. Bien sûr Kamel ne s'exécute pas. - Mets-y un peu du tien, sinon on en a pour la nuit, et je suis attendu pour diner... - Sale bâtard... - Remets lui son bâillon, de toute façon je ne vais ni l'embrasser, ni me faire sucer, donc pas besoin de sa bouche. Nicolas lui enfourne son slip en bouche. Kamel respire fortement par le nez. - Bien, je vais mettre une capote, pas pour toi, mais pour moi, comme je ne sais pas si les culs que tu as défoncés étaient sains, je veux bien te niquer, mais pas choper la chtouille... Je me caresse la bite, histoire de la redresser, et enfile une capote, et l'enduit de gel. Je fais ensuite signe à Nicolas de lui relever les cuisses. La rondelle apparait de nouveau. - Allez, on va tenter à sec, histoire que tu sentes bien passer ta première bite dans le cul, enfin de ce que tu dis... Nicolas est assis sur le torse de Kamel, lui ouvrant au maximum les cuisses, et je me positionne, gland contre la rondelle. Je commence à pousser contre le trou scellé. Bien entendu, Kamel résiste. Je pousse encore un peu plus fort. Le lubrifiant de la capote commence à faire son effet et le trou de Kamel s'écarte peu à peu. J'entends Kamel qui souffle comme un boeuf par les naseaux, au fur et à mesure que l'ultime défense de sa pseudo dignité cède face à la poussée de mon gland. Je recule un peu mon gland, donnant l'illusion à Kamel que je relâche ma pression. Je le vois relâcher son effort de contraction anale, et en profite alors pour pousser à fond ma bite dans son trou, qui surpris, s'ouvre d'un coup et me laisse le pénétrer. Ma bite s'enfonce entièrement dans son ventre, happé par ce trou qui vient brusquement de céder. Je pousse un râle de plaisir et de victoire. Kamel hurle sa douleur à travers le bâillon et resserre son sphincter sur ma queue. - Voilà, maintenant, tu sais ce que ça fait que d'être enculé par un connard !!! j'espère que tu as mal au cul, que ca te brûle les entrailles, que ca te déchire le cul, comme tu l'as fait tant de fois à d'autres. Mais ne te réjouis pas trop vite, tu vas encore avoir mal, parce que maintenant je vais te défoncer le cul. Et joignant le geste à la parole, je commence à le pilonner de ma queue avec vigueur. A grands coups de rein, je le pénètre à fond de cul, faisant claquer mon ventre sur le sien. Je lui assène des grands coups de bite dans son cul serré. A chaque coup de bite, à chaque pénétration, Kamel gémit. Il se fait ravager le ventre par mon gland qui tape toujours plus fort dans son ventre. Sa rondelle est rougie par le frottement de ma bite, qui sans relâche va et vient dans son cul. Je me saisis des cuisses de Kamel et lui bourrine le cul comme un marteau pilon. Nicolas bande lui aussi comme un fou à la vue de ce spectacle. Il se branle la bite sur le ventre de Kamel. Je l'invite à se lever pour que je puisse lui sucer la queue pendant que je continue de labourer le cul de Kamel. J'ai ma bite en Kamel et celle de Nico en bouche. L'excitation me gagne. Je vais réussir à prendre mon pied pendant que je me venge de ce matin. Mais Nicolas veut aussi sa part de cul. Je décule, le gland en feu, la bite rouge d'avoir limé frénétiquement le cul de Kamel. Sa rondelle reste ouverte malgré l'absence de bite dedans. Nicolas enfile une capote, et vient se planter dans le cul ouvert de Kamel. Celui-ci se cambre sous la pénétration en force de Nicolas. Parce que ce n'est pas le même gabarit que ma bite. Je suis monté 20*5 mais Nicolas frise les 23*6 et cette différence de taille semble être particulièrement importante pour le cul de Kamel. Mais Nicolas n'en a cure. Il participe maintenant très activement à ma vengeance et défonce le cul de Kamel avec encore plus de force et de hargne que moi. Kamel semble avoir le souffle coupé par la baise de Nicolas. Je lui enlève son bâillon pour lui donner un peu d'air. - Alors, mon joli petit trou, tu aimes te faire enculer... ? - Arrêtez... - Mais pourquoi ? tu n'aimes pas te faire défoncer ? - Ca fait mal ? - Ah bon ? pour nous, c'est super bon, je peux t'assurer que nous prenons notre pied, hein mec ? Nicolas me regarde, le visage rouge d'effort pendant qu'il ramone à fond le trou dilaté de Kamel. - Oui, il est fait pour se faire enculer ce mec, d'ailleurs, regarde sa queue, c'est une queue de tafiolle ça, pas capable de bander... Effectivement, le sexe de Kamel n'a pas grossi d'un centimètre. Il ballotte mollement au rythme des coups de verge de Nicolas sur son ventre. - Tu as raison, mec, mais souviens toi, on lui a promis de le faire jouir du cul, alors, on va lui tendre un peu la queue. - Oui branle le un peu, on verra bien, d'ici deux heures, il aura peut être une bite digne d'un homme, un vrai, un comme nous, plus comme lui... Et joignant le geste à la parole, je me saisis de la virgule de Kamel et commence à la masturber. Au début, il me faut la pincer entre deux doigts pour la tenir et de d'autre main, faire un anneau autour du bout de chair molle pour le faire un peu coulisser. Mais peu à peu, celui-ci se gonfle, se raidit, et après 5 minutes de branle, Kamel bande enfin. - Oh non, je veux pas bander, lâchez moi la bite bordel, vous avez déjà le cul... - Qu'il est ingrat, va trouver deux volontaires qui s'occupent bénévolement de ton cul et de ta queue à la fois, et tout ça pour ton plaisir.... - Putain, vous me faites mal au cul. - Oui sans doute, mais nous ça nous fait pas mal à la bite. Bon tu as vu comment s'était en missionnaire, maintenant on va te prendre en levrette. - Non pas ça... - Pourquoi donc ? - Je ne veux pas. - Mais pourquoi ? - C'est...c'est dégradant comme ça pour un mec... - Ah bon ? et tu as demandé cela avant à tous ceux que tu as pris en levrette - Non, mais j'étais l'homme. - Ah, tu étais l'HOMME !!! et bien maintenant, tu fais juste le trou à bite. Allez mec, sors de là qu'on le retourne. - NOOOON !!! Je lui remets son bâillon. Nicolas décule, la bite en feu de sa lime déchainée et m'aide à retourner Kamel sur le ventre. Nous lui relevons le fessiers, et sans attendre, Nicolas écarte ses fesses, pointe la rondelle refermée, et d'un grand coup de queue, encule Kamel d'un coup. Celui-ci se cambre, surpris par cet assaut rectal sans ménagement. Mais Nicolas s'en moque et reprend son pilonnage intensif. Il saisit les hanches de Kamel, plante ses ongles dans sa peau et commence à le limer à fond, trouvant encore la ressource d'accélérer le rythme. Le corps de Kamel tressaute à chaque coup de butoir. Il a le visage empourpré de honte, d'humiliation, de chaleur. Je constate en passant ma main sur son ventre qu'il bande encore plus fort qu'après ma branlette. Je sens même qu'il mouille abondamment. J'étale la mouille sur son gland décalotté, provoquant de soubresauts de sa queue à chaque caresse. Je maintiens mon érection en forme en matant Nicolas qui prend littéralement son pied à défoncer le cul de Kamel. Les fesses de ce dernier rougissent sous les coups de ventre de Nicolas. Celui-ci d'un coup se raidit et je vois Nicolas retenir sa respiration et d'un coup, s'enfoncer encore plus loin dans le cul de Kamel. Puis dans un râle bestial, il se vide les couilles dans sa capote, et jouit sans retenue. Il sort sa queue du cul de Kamel, et la rondelle est totalement à la circonférence de la queue de Nicolas. Je passe derrière Kamel et vient remplacer Nicolas. Sans aucune difficulté, je sodomise Kamel à fond de bite et commence à le limer avec des mouvements amples et larges du bassin. Dans un style différent de Nicolas, je ramone tout en souplesse le trou déformé de Kamel. Il semble d'ailleurs apprécié car je l'entends gémir à travers son bâillon, mais avec un gémissement de plaisir et non plus de douleur ou de honte. Je grimpe sur le cul de Kamel, ne gardant que ma queue comme point d'ancrage sur Kamel, en flexion sur les jambes. Nicolas retire sa capote pleine de son sperme. Il s'apprête à la jeter, mais je lui fais signe de la garder de côté. Ma position est certes agréable mais physiquement épuisante. Je viens alors couvrir complètement Kamel, et lime son trou par le seul mouvement du bassin. J'en profite pour lui tâter la bite, constatant à la fois une raideur totale et un flux ininterrompu de liquide séminal. Je sens monter en moi l'orgasme. J'accélère le rythme dans le cul de Kamel. Je sais que je lui tape la prostate avec le gland et d'un coup, son cul se resserre sur ma bite et je sens son ventre qui se contracte. Je passe la main sur sa bite juste au moment où débute son éjaculation. Je recueille son sperme dans ma main. La douce chaleur de son jus m'excite au point de me faire jouir à mon tour. Une vague de plaisir sans précédent me submerge et je me vide dans ma capote sans retenue. Kamel s'effondre sur son lit, m'entrainant dans sa chute. Je décule et roule sur le côté. Nicolas vient à mes côtés et m'embrasse tendrement. - Alors, tu es satisfait ? - Presque, encore deux choses et je tiens ma vengeance totalement. - Ok je vais me rincer et me rhabiller. - Je te rejoins dans 5 minutes. Kamel reprend son souffle lentement. Je lui enlève son bâillon. - Alors Kamel, ne t'avais je pas dit que tu jouirais du cul... ? - Putain c'est pas possible...je voulais pas... - Tu vois, tu es fait pour être un enculé, tu peux jouir sans avoir limé, uniquement en ayant été limé. - Et maintenant, vous allez faire quoi ? - Maintenant, je vais te laisser deux souvenirs. - Quoi, dit-il inquiet. - Tout d'abord, maintenant que tu as eu honte par le cul tu vas avoir honte par le visage, dis-je en m'emparant de sa face. Je sors un gros marqueur rouge et sur une joue, je trace un P et sur l'autre un D. - Voilà, comme cela, tout le monde sera ce que tu es, et tu devras l'assumer. Remercie-moi, je t'aide dans ton coming out. - Salaud !!!! - Et pour ton info, cette encre sur la peau met environ 8 à 10 jours à s'effacer, et sur certains types de peau, il reste toujours une trace après deux ou trois mois. Il va falloir du temps, et je crois qu'ainsi, tu devras assumer tes choix. - Je vais te.... - Tu ne vas rien faire du tout. Et l'autre cadeau, c'est pour ton cul, écarte tes cuisses - Va te faire... Je plaque la lame du couteau que j'ai ressorti du sac sur ses couilles. - Ecarte les cuisses si tu ne veux pas que je reparte moi aussi avec un souvenir très personnel de toi. - Putain... Il s'exécute. Je ressors la capote de ce matin, prends celle de Nicolas et retire la mienne. Je les mêle et les noue entre elles. Avec deux doigts, j'écarte la rondelle totalement assouplie de Kamel et lui fourre les trois capotes dans le cul, en poussant bien à fond et en m'assurant que rien ne dépasse pour faciliter le retrait. - Qu'est ce que c'est ? qu'est ce que tu m'as mis dans le cul ? - Un souvenir, Kamel, un souvenir. Tu vas être obligé de te fouiller le cul pour le trouver et le retirer...tu verras c'est super bandant de se tâter le cul, et si tu cherches bien, tu trouveras ton point G. - Enculé !!! - Non c'est toi. Allez, ce n'est pas que je m'ennuie, mais comme je te l'ai dit, j'ai un dîner en ville ce soir. Je ne te dis pas à bientôt, mais je penserai quand même très fort à toi. - Mais tu vas pas me laisser comme ça, détache-moi bordel !!!! - Tu veux rire ??? tu vas devoir te débrouiller, dis-je en lui remettant son bâillon. Je pars dans la salle de bains retrouver Nicolas. Il s'est lavé, rhabillé. Il va dans la pièce principale et ramasse tout ce qui pourrait nous identifier. Je me lave à mon tour, me rhabille également et le rejoins. Kamel tente de se retourner pour revenir sur le dos. - Kamel, je vais être sympa avec toi, je vais te retirer ton bâillon. Où est ton portable ? - Dans ma veste !!! - Ok je le récupère. Maintenant, comme dans " qui veut gagner des millions ", tu as trois jokers. Le 50-50, mais il est déjà utilisé, parce que tu es moitié un enculé, moitié un enculé. L'avis du public, et nous comme public, on t'a trouvé super comme trou à bite. Et enfin, tu as l'appel à un ami. Alors qui veux-tu appeler pour qu'il vienne te sortir de ce mauvais pas ? - Je vais pas appeler un pote, vous êtes ouf !!! - Alors tu vas mourir de faim et de soif sur ton lit, trois capotes dans le cul, et on te retrouvera tout sec sur le lit un jour, avec un gros PD sur le visage. - Et comment veux tu que je téléphone avec les mains dans le dos ? - Mec, dis je à Nicolas, retourne le sur le dos. Nicolas s'exécute. - Il reste de la corde ? - Oui ? - Attache-lui les pieds à chaque coin du lit qu'il ne risque pas de tomber en se débattant. - NON !! - Tu vois, on prend soin de ta santé et tu gueules... Nicolas l'attache rapidement. - Alors, qui j'appelle ? - Je sais pas, putain, mais je peux pas me montrer comme ça à un pote. - Tu vas te montrer tel que tu es réellement... - Appelle Kevin - Kevin, Kevin, dis-je en fouillant le répertoire, ah voilà Kevin. Je fais signe à Nicolas de sortir. - Voila, je vais composer le numéro. Ah ça sonne, Kevin.... Ah, Allô, Kevin. Non, ce n'est pas Kamel, je suis Jean Pierre Faucul et Kamel a besoin de vous pour se sortir d'un mauvais pas. Ne quittez pas, je vous le passe. Je me penche à côté de Kamel, cache le micro, et lui dit : - Je vais te le passer pour qu'il vienne te libérer. Je voudrais être petite souris pour voir comment tu vas lui expliquer cela, mais bon, ce n'est pas possible, alors... Je retire ma main du micro. - En tout cas, j'ai pris beaucoup de plaisir à t'enculer Kamel, vraiment, tu es un super coup au lit et je pense que tes potes seraient ravis de savoir à quel point ton cul est bon comme une chatte de femelle, en tout cas moi maintenant je le sais. Kevin, oui, c'est Jean Pierre, je vous passe Kamel, et je vous mets sur haut parleur parce qu'il va avoir du mal à tenir le téléphone, ne quittez pas. J'actionne le haut parleur, et pose le téléphone à côté de Kamel. - Allez mon kamelou, je t'embrasse, et je laisse la porte ouverte pour que Kevin vienne te voir. Dans le téléphone, j'entends : - Allô Kamel, putain c'est quoi ce délire ? - Kevin, Kevin, putain viens vite à l'appart. - Arrête je suis avec une meuf en train de ... La suite ne m'intéressant pas, je quitte l'appartement en veillant à ne pas claquer la porte comme promis et pars rejoindre Nicolas qui m'attend sur le trottoir en bas, en tain de fumer une cigarette. - Tu fumes toi ? - Oui parfois quand je fais des choses hors norme. - Viens on avance... - Quelle histoire de ouf !!! mais putain quel cul ce mec, j'ai vraiment pris mon pied !!! - J'en suis heureux, et je te remercie de ton amitié et de ta confiance en moi. Merci de m'avoir aidé à laver mon honneur. - Tu es terrifiant dans la vengeance Matthieu !!! J'ai vraiment cru que tu allais le buter. - Mais non, pourquoi veux tu que j'abrège ses souffrances. Je ne lui donne pas deux jours pour me dire qu'il rompt le bail. - Tu crois. - J'en suis certain, allez monte, je t'invite à diner, et après, on ira chez moi. J'ai envie de faire l'amour, mais le vrai amour. Le lendemain, alors que Nicolas se douchait après notre nuit d'ébats masculins, mon portable sonne. - Allô ? - Oui bonjour, on ne se connait pas je suis Kevin, un pote de Kamel votre locataire. - Oui, bonjour. - Euh, je vous appelle parce que Kamel va devoir quitter Paris et il voudrait rendre son appartement. - Ah bon, ok, mais quand puis je le rencontrer ? - Euh, en fait, il a quitté Paris hier soir. - Ah Bon, mais rien de grave ? - Non, mais il a besoin de se mettre au vert. - Très bien, alors qu'il m'envoie une lettre pour rompre le bail. Bien sûr je garderai la caution pour rupture anticipée de son fait. - Ok je lui dirai. - Merci. Bonne journée, et mon meilleur souvenir à Kamel. - AU revoir Monsieur. - Au revoir. Nicolas sort de la salle de bain avec un sourire béat. - Deux jours, tu t'es bien planté. Deux heures oui... - En tout cas pour la prochaine location, je prends une fille. Vu mes attirances actuelles, elle ne risque rien.... - C'est certain conclut Nicolas, en partant dans un grand éclat de rire communicatif. Romain JMromainjm@hotmail.fr
Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |