Cyrillo

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Un massage particulier (1re partie)

Je sors du métro et arrive au pied d'une cité. Mon portable vibre, m'indiquant la réception d'un message : "Bâtiment 8, appart 13". Je commence à avancer, passant le long de la barre, cherchant le bon numéro. J'ai l'impression de faire un peu tache dans le coin, avec ma tenue : jeans taille basse, laissant apparaître le bandeau large du slip que je porte, polo blanc moulant mon corps fin, et veste sombre comme une toile de jeans. Mes lunettes de soleil masque un peu mon regard et je me force à ne pas fixer les jeunes hommes que je croise, métis ou black pour la plupart.

J'arrive enfin devant la bonne porte ; j'ai du parcourir toute la longueur de la barre et je sens plusieurs regards de mecs en bande peser sur mon dos. Je prends une grande respiration et sonne au 13e. Une voix grave me réponds "Je t'ouvres, c'est au 7e étage, la porte entre-ouverte. Tu rentres et vas là où s'est allumé."

L'ascenseur mets est entrain de monter dans les étages quand j'arrive dans le hall désert. Je l'appelle et attends tout en essayant de me calmer. "Que suis-je venu faire ici ?" Le hall a vécu mais, malgré quelques tags, c'est assez propre. Pourtant la cage d'escalier sombre qui descends vers les caves ne me rassure pas ; des voix s'en échappe et je prie l'ascenseur d'arriver avant que quiconque n'en sorte. À croire que celui-ci m'entends car les portes s'ouvre et je m'engouffre dans la petite cabine. Les portes sont entrain de se refermer lorsque j'aperçois une bande de lascars traverser le hall ; l'un d'eux me remarque et son regard se plante droit dans le mien au moment où les portes se ferment. Mon coeur bat la chamade pendant que les étages défilent; est-ce de l'excitation ou de la peur ? Je fini par me calmer.

Les portes s'ouvrent sur le palier et je repère la porte entre-baillée. J'entre dans un appartement plongé dans le noir, juste éclairé par un rayon de lumière sortant de sous une porte. Je m'y dirige suivant les instructions reçues plus tôt ; il s'agit d'une salle de bain, petite mais plus moderne que ce que laissait imaginer l'immeuble. L'eau coule déjà, j'en déduis donc que je dois y aller. Je me déshabille rapidement et pose mes vêtements près de la porte avant de me glisser sous le jet d'eau. Après une rapide douche, je ressors pour m'apercevoir que mes vêtements ont disparu ! Je panique un peu, imaginant les pires scénarios. Je repère une petite serviette posée près du lavabo et m'en saisi pour me sécher. Je fini après plusieurs minutes à l'attacher tant bien que mal, autour de mes hanches.

J'éteins et retourne dans l'entrée toujours plongée dans le noir. De la lumière filtre de sous une autre porte ; je m'y dirige et découvre une chambre entièrement noire avec juste un lit imposant et des bougies. Un mot posé à coté d'un bandeau attire mon regard : "Mets-le et allonge toi sur le ventre." J'obéis et alors que je m'installe, j'entends de la musique s'allumer quelques part dans l'appart.

Je sens une présence dans la pièce et un regard sur moi. "Dire que je suis là, nu ou presque, chez un inconnu sans même avoir vu sa tête, je dois être fou ! S'il m'arrive quelque chose..." Un poids s'enfonce sur le lit, et des mains défont ma serviette, dévoilant mes fesses... Je sens la présence s'éloigner à nouveau et je l'entends chercher quelque chose. Très vite elle est de retour et je sens son poids se poser sur mes fesses. Il -car à ce que je sens reposer sur mes globes de chair, c'est un homme- déverse quelques goutes d'un produit le long de ma colonne vertébrale, s'amusant de mes sursauts face à cette substance froide sur ma peau chaude. Son ricanement est chaud, profond et envoutant...

Deux mains puissantes tombent sur mes épaules et débutent un merveilleux massage. Je me détends totalement et laisse la magie de mains opérer. Ses mains parcourent mon corps, passant sur mon dos, mes reins, mes fesses... Il change de position à plusieurs reprises, notamment pour atteindre mes jambes et mes pieds. Je suis bien et le lui confirme lorsque, s'allongeant entièrement sur moi, il me le demande au creux de l'oreille. "Si je le pouvais, je ronronnerai !" Ma réponse semble l'amuser puisqu'il me répond "Voyons si je peux te faire miauler".

Je rie de sa plaisanterie mais rapidement je m'étouffe. Quelque chose d'humide et de chaud titille mon intimité, tournant autour de ma rondelle doucement... Une feuille de rose ! Mmmm quel plaisir ! Je gémis longuement, ce qui semble plaire à mon tourmenteur ; sa langue s'active plus fortement de même que ses mains, qui écartent sans pitié mes fesses. Je me sens m'ouvrir sous cet organe si doux mais si dur. Ses mains se dirige vers mon sexe, se glissant sous mon corps, pour le ramener vers l'arrière ; son geste m'arrache un crie entre plaisir et douleur ! Je commençais à bander et dans cette nouvelle position cela crée une tension légèrement douloureuse. Comme pour se faire pardonner, ou bien juste par gourmandise, sa bouche quitte mon intimité pour glisser le long de mon périnée et gober mes testicules, l'une après l'autre, les faisant doucement rouler. Je bande encore plus et la douleur revient plus forte mais plus jouissive aussi.

Il remonte doucement le long de mon corps, laissant sa langue suivre ma colonne pour finir sur ma nuque qu'il mordille doucement puis plus fortement sous mes gémissement appréciateurs. "Finalement, tu miaules bien petite chatte..." me glisse-t-il. Bloqué sous son poids, j'acquiesce doucement de la tête. Il se redresse, assis sur mes cuisses et je sens une colonne de chair s'abattre doucement sur mes fesses. J'angoisse un peu car j'ignore sa taille mais je ne peux m'empêcher de lever mes hanches, me cambrant doucement. "Tu en veux à ce que je vois... N'aie crainte, ton petit cul va être remplie ma belle."

Et effectivement, après un petit moment, je le sens pousser doucement mais fermement, forçant mon intimité à s'ouvrir pour l'accueillir. Il s'enfonce petit à petit sans jamais cesser, ni reculer. La douleur d'abord mineure devient plus forte, surpassant le plaisir et l'excitation. J'ai l'impression d'être déchiré en deux. J'essaye de me retirer mais sa main se referme sur ma nuque et sa voix gronde : "Ne bouge pas ! Elle est assez large mais pas aussi longue... Tu vas finir par aimer. Si t'as mal, dis-le mais ne te retire pas petite chatte." Je couine, sa main ressemble à un étau de fer, m'empêchant de bouger la tête. Il s'arrête mais ne se retire pas. J'en profite pour me détendre à grand coup de respirations profondes. "C'est bien petite, continue..." Ces commentaires m'excitent à nouveau ; la douleur refluent un peu. "Tu es serrée mais une fois que mon pieux aura fait son passage, ça ira mieux !" Et sur ces paroles, il s'enfonce à nouveau.

J'ai l'impression que cela dure depuis maintenant des heures lorsque je sens deux lourdes couilles heurter les miennes "Mmmmm... Eh ben voilà, tu vois c'était pas la mort !" Il se retire et re-rentre aussi tôt, dans un bruit indécent ; deux autres aller-retour et je l'entends grogner. "Trop serré ton cul, j'ai joui... Mais ce n'est pas grave, tu vas me masser correctement, et ensuite je gouterai à nouveau à ton petit trou."

Nathan

tenshi_95@hotmail.com

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