Cyrillo

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Une merveilleuse expérience.

Cela s'est passé il y a une dizaine d'années. J'avais alors 35 ans et j'étais en déplacement dans une ville bretonne.
Malgré le fait que je sois marié j'étais quand même fortement attiré pare les hommes plus âgés.

Je m'ennuyais ferme le soir seul dans cette ville ou il y avait vraiment peu d'activités. Mon hôtel était à une quinzaine de kilomètres de la ville pour bénéficier d'un bord de mer on ne peut plus agréable.

Le soir après le boulot j'allais faire un peu de sport mais pas de rencontre, bref je trouvais les semaines très longues.

Un soir que je traînais dans la principale rue marchande, je remarquais rentrais dans un magasin de journaux et pour passer une soirée agréable à l'hôtel je me cherchais une revue X. Déjà, rien que pour faire cela j'avais du me forcer pour lutter contre ma timidité.
Je choisissais une seconde revue d'ordinateur pour cacher mon premier achat et me dirigeais vers la caisse.
Un homme d'une cinquantaine d'année " trônait derrière la caisse, il prit mes revues, pris un mail plaisir à mettre la revue X sur le dessus, en me souriant, et me fit payer.

Je rentrais directement à ma chambre et durant toute la route je repensais à cet homme.
Je m'allongeais en rentrant et très excité, je me masturbais en regardant ces photos très chaudes, mais là je fixais plus les sexes tendus que les attributs des miss se faisant câliner.

J'allais manger, seul, et en revenant à ma chambre, je pris une douche et recommençais ma petite séance de plaisir solitaire en pensant à cet homme qui m'avait excité rien que par son sourire plein de sous-entendus

Au matin, ma décision était prise j'y retournerais le soir même. Autant vous dire que la journée fut longue. Je me baladais 2 heures dans cette ville et vers 19 H je me décidais enfin et rentrais dans la boutique.
Je fus accueilli par un " bonjour " du patron auquel je répondis, un peu gêné, il enchaîna en disant bien fort dans le magasin qu'il allait fermer et qu'il demandait aux personnes présentes de bien vouloir hâter leur achat.
Les quatre rangs de rayonnages se vidèrent, et moi, j'étais toujours devant le rayon des revues X en train de mater et essayer de choisir ou d'attendre.
Il rentra les présentoirs et passait dans les rangs pour vérifier l'absence de client. Il arriva derrière moi silencieusement et me dit :

- je peux vous aider ?
- heu, excuser moi je vais faire vite,
- prenez votre temps ce n'est pas grave, je reviens de suite.
Alors la j'étais vraiment dans tous mes états : inquiet, excité, Je l'entendis fermer la porte et revenir vers moi. Je me retournais et me trouvais face à lui.
- vous voulez une revue comme hier ? Elle n'était pas bien ?
Et là je ne sais pas comment j'ai réussi à lui sortir cette phrase :
- si mais il n'y avait pas beaucoup de photos d'hommes
- je vais vous en trouver des mieux, mais venez par ici car le magasin est fermé et je voudrais éteindre.
Je le suivais dans son arrière boutique : il y avait juste un bureau dans cette pièce. Je restais devant le bureau et le suivais des yeux alors qu'il fermait sa boutique.
Il revint avec des revues homos " soft ", il me les posa sur le bureau et me dis de choisir. Je commençais à les feuilleter et j'étais au comble de l'excitation.
Je le sentais derrière moi, regarder mes réactions par-dessus mon épaule.
- je vais t'en chercher d'autres
Je profitais de son absence pour replacer mon paquet bien tendu dans mon slip.
La seconde série était, cette fois-ci très hot, on voyait tous les actes possibles entre hommes et je découvrais cela pour la première fois et cela m'excitait énormément. Je n'étais pas le seul :
- tu aimes ?

Et en disant cela il se colla à moi, je le sentais dur contre moi mon pantalon en toile ne faisait pratiquement pas barrage. Il commença à m'ouvrir ma chemise en m'embrassant dans le cou. C'était merveilleusement bon, je me laissais faire et j'aimais ça.
Il retira ma chemise, je voulu me retourner mais il m'obligea à rester dans cette position et me dit : laisse toi faire, pour ta première fois je vais m'occuper de toi. Je devais vraiment être gauche pour qu'il le devine de suite.
Ces mains se posèrent sur mes pectoraux et ses doigts jouaient avec mes pointes de sein. Je gémissais de plaisir.

Sa main droite descendit et s'attaqua à la ceinture et au bouton qui retenait mon pantalon. Ce ne devait pas être une première pour lui car en peu de temps je me retrouvais en slip. Mes mains cherchaient son corps mais il me les repoussait, sous le charme je me laissai faire.

Sa main gauche jouait avec ma pointe de sein et la droite caressait mon slip, je la sentais et la regardais aller et venir le long de mon sexe tendu, partir vers mes couilles, les caresser, les faire rouler et repartir vers mes fesses pendant que ses lèvres effleuraient mon cou.
Il m'embrassa dans la nuque et je sentis ses baisers descendre le long de ma colonne alors qu'il retirait en même temps mon slip.
J'étais nu avec un homme entrain de me faire l'amour et j'aimais cela.
Il se releva, me fit retourner et m'embrassa sur la bouche. Jamais je ne m'aurais cru capable d'embrasser un homme et pourtant je le faisais et j'aimais ça.
Tout en m'embrassant, il repoussa les revues et me fit asseoir sur le bureau. Sa bouche descendit le long de mon cou alors que ces mains me torturaient délicieusement les pointes de sein.

Sa bouche remplaça ses mains, je pensais que j'allais jouir sous l'effet de ses caresses. Il me prit les couilles et recommença à me les malaxer sa bouche était maintenant sur mon nombril, sa langue virevoltait dedans, son autre main titillait mes seins : que de bonheur.
Il s'arrêta quelques secondes pour me regarder offert et tendu, il retira sa chemise, me dévoila un beau torse poilu et me demanda de m'allonger, je ne pouvais rien lui refuser.

Il me décalotta doucement de ses lèvres et commença un lent va et vient je sentais la chaleur de sa bouche autour de moi ses mains se posèrent à nouveau sur mes couilles alors que sa bouche montait et descendait lentement, je n'en pouvais plus, et il le sentais, je commençais à me tordre pour éviter de jouir et retarder cet instant, il accéléra en me serrant encore plus fort les couilles, c'était plus que je ne pouvais en supporter et je ne pu me retenir et jouissais au fond de sa bouche, c'était l'extase, je me sentais vidé, heureux et, le temps de reprendre mes esprits, tout honteux et gêné.

Il me fit me remettre assis et m'embrassa, força ma bouche et je me retrouvais à partager mon sperme avec lui, et le pire de tout c'est que je n'étais pas dégoûté mais au contraire très excité.
Doucement il me fit me relever et me demanda de me mettre a genoux devant lui les mains derrière le dos. Après ce qu'il venait de m'offrir je ne pouvais pas lui refuser.
Il retira son pantalon et debout devant moi, le slip tendu il me dit de m'occuper de lui. J'y suis allé à l'instinct, ce slip tendu me cachait un sexe que j'avais envie de sucer à mon tour. J'approchais mes mains mais il me les repoussa, je compris qu'il voulait ma bouche. Cette situation m'excitait, je sentais mon sexe durcir à nouveau.

Je commençais à le mordiller à travers son slip et pris l'élastique dans mes dents pour lui retirer. Je me sentais maladroit mais je sentais que cela l'excitait il m'aida à le retirer et un beau sexe tendu s'offrait à ma vue. Je me mis à téter le bout du gland, l'effet était prodigieux, doux, chaud, vibrant, le décalottais et l'enfonçais dans ma bouche. Ma langue jouait avec le frein, avec le petit trou, enfin je suçais un homme !!!

Je montais et descendais le long de son sexe tendu je l'entendais gémir. Il me demanda d'arrêter et me releva. Nous nous sommes embrassé, les deux sexes tendus l'un contre l'autre, il les prit et commença à les masturber en même temps d'une main. Il me demanda si je souhaitais aller plus loin.
Oui j'en avais envie, il avait pris possession de mon esprit et de mon corps, je ne vibrais plus que pour le sexe.

Il me fit allonger sur le bureau et il reprit mon sexe tendu en bouche. Il me fit poser mes jambes sur ses épaules et je sentais ses mains caresser mes couilles, puis doucement sa bouche s'empara de mes couilles alors qu'il commençait doucement à me caresser entre les couilles et l'anus. La pression augmentait doucement alors que ces doigts maintenant commençaient à caresser les contours. Sa langue vint se poser sur mon anus et commença à me titiller de façon délicieuse, je ne pensais pas que cela serait si bon.

Elle fut vite remplacée par un doigt qu'il fit entrer et sortir doucement. Il s'arrêta et me demanda de me caresser pour lui. Je ne pouvais rien lui refuser, mais alors que je prenais mon sexe en main il me précisa qu'il voulait me voir jouer avec mon cul. Je passais doucement la main sur mon cul légèrement ouvert et humide et commençais en entrant un doigt au plus profond de moi.

Il appréciait de me voir ainsi et me demanda en s'approchant du bord du bureau de le sucer sans m'arrêter. Son sexe était très tendu et je voyais de la mouille au bout du gland, je le happais avec gourmandise. Au bout de plusieurs va et vient il se retira et me dit de continuer sur moi et qu'il allait chercher ce qu'il fallait.

Ce ne fut pas long et je le vis revenir et se remettre entre mes jambes.
Je retirais ma main et sentis un doigt froid sur mon anus (je compris un peu plus tard que c'était le gel). Il rentra facilement et fut suivi d'un second. Pour une première fois, je tombais sur un homme patient attentionné, tout ce qu'il me fallait.
Il me préparait doucement en faisant de lent va et vient de ses deux doigts, je me tordais de plaisir et lui demandais de me prendre.

Il retira ses doigts, enfila un préservatif et je sentis son sexe contre mon anus, il poussa doucement, cela me faisait un peu mal et il le senti, il ralenti et d'un coup la douleur disparu, le gland était passé. Il resta quelques instants immobile, le temps que je puisse m'habituer et il s'enfonça à fond doucement. La nouvelle sensation de son sexe contre ma prostate me mettait au bord de la jouissance.
Il commença alors à entrer et sortir en accélérant doucement, il m'attrapa les couilles te les malaxa d'une main alors que de l'autre il me branlait au même rythme que ses pénétrations. Au moment je jouissais pour la seconde fois je le vis se tendre, lui aussi, de plaisir, il jouissait en moi.

J'étais crevé, et lui aussi, il se colla contre moi et m'embrassa tendrement, je le sentais mollir et ressortir de mon cul nous restâmes un bon moment ainsi, à nous caresser et embrasser, j'étais aux anges.
Il me dit qu'il devait rentrer chez lui et nous nous séparâmes après une douche pleine de caresses et tendresse dans l'arrière boutique. Il me restait une semaine et demi de déplacement dans cette ville et je promis de revenir le voir.

Faites moi savoir si mon histoire vous a plu et si voulez la suite ... C'est la première fois que j'écris, soyez indulgents.

thom_orl

thom_orl@hotmail.com

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