Mon colloc Homo - 2C'était la première expérience sexuelle que j'avais eue avec mon colloc et ma première expérience homosexuelle. J'avais aimé mais je ne me sentais pas plus attiré par les hommes. C'était peut-être une erreur de s'être laissés aller comme ça, je pensai. Cela allait-il changer notre relation ? Sûrement, je ne pourrais plus le regarder comme avant c'est sûr. J'espérais que notre amitié n'en serait pas ébranlée. Le lendemain, je faisais comme s'il ne s'était rien passé. On s'est évité quelques jours. Puis, j'ai ré ouvert le dialogue. C'était trop bête. On parla un moment et ça nous a soulagés. Après ça tout est redevenu normal. Enfin presque. Car maintenant, quand je le regardais, je ne voyais plus son sourire innocent mais sa bouche à pipe. Et parfois quand j'avais envie de me branler, je me disais que sa bouche était dans la pièce à côté et que je pourrais en profiter. Après une semaine, j'ai tenté le coup. Après tout, il le fait avec plein d'autres mecs. Alors pourquoi pas moi ? Moi ou un autre c'est bien pareil pour lui. Ce jour là j'avais une furieuse envie de sexe après avoir passé l'aprèm avec 2 filles de la facs super cannons. En rentrant, j'avais une gaule d'enfer que je gardais au chaud depuis 2heures déjà. J'allais pour me branler quand je l'ai vu sortir de sa chambre avec ses écouteurs pour prendre un verre de coca. Il a bu son verre d'une traite sans faire attention à moi. Une goutte s'était échappée et dégoulinait sur le coin de sa lèvre. Je revoyais mon sperme dans sa bouche et j'eus une furieuse envie de me faire sucer. Quand je me décidai, il était déjà retourné dans sa chambre. Toc Toc. Je me retournai vers lui. Son regard soumis m'indiqua qu'il était prêt et qu'il acceptait. Je me suis placé devant lui. Il s'est approché de mon pantalon et ses mains m'ont déshabillé pour la deuxième fois en tremblotant. Ma queue s'est dressée devant lui, il est descendu du lit pour s'agenouiller devant elle. Il la goba. Et commença des va-et-vient énergiques. Puis, je me suis assis sur le lit pendant qu'il me suçait, calé entre mes jambes. Il suçait bien, il y mettait tout son coeur. Cette fois ci, je me laissai aller complètement. J'en profitais au maximum. Sa langue experte s'excitait sur ma queue bouillante. Je me laissai tomber en arrière. Avec ma main je retenais sa tête enfoncée sur mon manche. J'attrapai sa main pour qu'il me caresse le torse. Après 10min de plaisir intense, les battements de mon coeur s'accéléraient, je sentais que j'allais jouir. J'éjaculai encore dans sa bouche mais sans gêne cette fois. C'est comme ça que notre relation a changé de cap et s'est engagée dans un chemin un peu plus chaotique qu'une simple relation amicale. Après cet épisode, je rentrais régulièrement dans sa chambre quand j'avais envie de sexe. Petit à petit, nos dérapages devenaient une habitude et on s'amusait en respectant un accord tacite. La plus part du temps il me suçait, parfois il me branlait. Puis, je voyais qu'il aimait et que ça l'excitait alors je me disais que c'était injuste si j'étais le seul à en profiter. Pour lui faire plaisir je le branlais de temps en temps moi aussi. Mais jamais je ne le suçais ni ne l'embrassais. C'était purement sexuel. On n'en avait jamais parlé mais chacun de nous connaissait les limites à ne pas dépasser. Mes limites. Avec le temps, on le faisait de plus en plus. Les périodes où j'étais célibataire j'allais tous les soirs dans sa chambre. Et tous les soirs je me faisais sucer. Avec la pratique, Mathieu était devenu un très bon coup et ses pipes rivalisaient largement avec toutes celles que j'avais eues auparavant. Il avait appris à me connaître et savait me satisfaire entièrement. Sa connaissance de mon corps et de mes fantasmes, tout comme son expertise buccale s'amélioraient de jour en jour. Chaque fois je l'encourageais à mieux faire. Désormais, il pouvait me prendre en entier dans sa bouche et je pouvais, sans le faire tousser, pénétrer sa gorge chaude. De mon côté, je le branlais souvent. Et une fois, il m'a demandé si je voulais bien lui mettre un doigt. Après un premier refus, je finis par accepter par curiosité et pour lui faire plaisir. Quand j'ai vu le plaisir qu'il prenait quand je le branlais en le doigtant, j'ai décidé de renouveler l'expérience. Et les doigtages sont devenus réguliers aussi. Son goût pour l'anal me donnait des idées et bientôt, je commençais à m'imaginer franchir le dernier cap. J'ai commencé à lui en parler en plaisantant au début. Puis, je suis devenu plus insistant. Et puis un soir... Paul Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |